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Alors que le Président français Macron paraît faire la sourde oreille aux injonctions puériles de sa pupille marocaine, la France et l'Algérie- à l'instar du Vietnam et des USA- ne devraient-elles envisager une reconciliation win-win?
A titre personnel-de la vieille garde- sans contritions françaises- je m'oppose à une telle hypothèse.
Et vous de la nouvelle génération qu'en dites-vous?
- France-Algérie: Instabilité d’humeurs !
La relation entre la France et l’Algérie est un chemin semé d’embûches. Mais sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune et du général Said Chengriha, elle est en dents de scie. De surprise en surprise, de rupture en rabibochage… ainsi va le très particulier rapport de l’Algérie à la France.
En effet, la relation entre Paris et Alger aura toujours un caractère aussi spécifique qu’imprévisible. Même quand l’agenda d’une visite d’Etat est inscrit dans le marbre institutionnel, les deux pays ne sont pas à l’abri d’une annulation de dernière minute. Les humeurs et les divergences dominent.
C’est ce qui vient justement d’arriver entre Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron. Les deux hommes n’ont économisé aucun effort pour tenter de mettre en scène une relation magnifiée entre les deux pays. Une importante visite de Macron en Algérie, suivie de la visite de la moitié du gouvernement dirigé par Elisabeth Borne. Puis est venue une spectaculaire et inédite visite du chef de l’état major de l’armée algérienne Said Chengriha à Paris.
Emmanuel Macron avait fait du tropisme algérien un signe distinctif de ses deux mandats. Il ambitionne ouvertement d’être le premier président français à réaliser des évolutions inédites sur le terrain de la réconciliation mémorielle. Pour atteindre cet objectif, il s’est dit prêt à accepter les caprices d’un régime pourtant contesté et peu fréquentable.
Hespress.ma (extraits)
A titre personnel-de la vieille garde- sans contritions françaises- je m'oppose à une telle hypothèse.
Et vous de la nouvelle génération qu'en dites-vous?
- France-Algérie: Instabilité d’humeurs !
La relation entre la France et l’Algérie est un chemin semé d’embûches. Mais sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune et du général Said Chengriha, elle est en dents de scie. De surprise en surprise, de rupture en rabibochage… ainsi va le très particulier rapport de l’Algérie à la France.
En effet, la relation entre Paris et Alger aura toujours un caractère aussi spécifique qu’imprévisible. Même quand l’agenda d’une visite d’Etat est inscrit dans le marbre institutionnel, les deux pays ne sont pas à l’abri d’une annulation de dernière minute. Les humeurs et les divergences dominent.
C’est ce qui vient justement d’arriver entre Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron. Les deux hommes n’ont économisé aucun effort pour tenter de mettre en scène une relation magnifiée entre les deux pays. Une importante visite de Macron en Algérie, suivie de la visite de la moitié du gouvernement dirigé par Elisabeth Borne. Puis est venue une spectaculaire et inédite visite du chef de l’état major de l’armée algérienne Said Chengriha à Paris.
Emmanuel Macron avait fait du tropisme algérien un signe distinctif de ses deux mandats. Il ambitionne ouvertement d’être le premier président français à réaliser des évolutions inédites sur le terrain de la réconciliation mémorielle. Pour atteindre cet objectif, il s’est dit prêt à accepter les caprices d’un régime pourtant contesté et peu fréquentable.
Hespress.ma (extraits)
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