Espagne-Maroc: quelles relations après Sanchez?

[rago]

Des relations tendues indéniablement. Quant au risque d'un conflit armé...pas sûr?

A votre vis?

[Bachi]

y aura pas de conflit armé.
Mais beaucoup de tiraillements.

[rago]

Si l'Espagne n'était pas membre de l'Otan, il va sans dire que la dictature marocaine lui aurait déclaré la guerre.

- Le Polisario accuse Sánchez d’éviter les questions et de montrer sa solitude parlementaire
(...).
Le Polisario entretient des contacts directs et des rencontres avec les formations politiques espagnoles, à l’exception du PSOE. « La politique étrangère espagnole ne peut pas être basée sur la violation des droits du peuple sahraoui », dénonce Arabi. « Tout moment est bon pour revenir sur la voie de la légalité internationale, comme il sied à la puissance administrante d’un territoire non autonome, comme l’Espagne en ce qui concerne le Sahara occidental. »

Margallo parie sur l’autodétermination

Sánchez a invité les autres parties à fixer leur position dans le différend du Sahara. Et dans les rangs du PP, José Manuel García Margallo, qui a été ministre des Affaires étrangères de Mariano Rajoy, a été le premier à se positionner. « La mienne est simple, qui peut se résumer en deux mots : légalité internationale et démocratie », répond le populaire eurodéputé.

« Je parle de respecter les résolutions des Nations Unies qui exhortent les parties à reprendre les négociations en vue de parvenir à une solution juste, durable et acceptable pour tous, qui prévoit l’autodétermination du peuple du Sahara occidental dans le cadre des dispositions conformément aux principes et aux objectifs des Nations Unies », a déclaré García-Margallo.

L'Indépendant