Lorsque la dictature marocaine comprendra que l'Europe ne peut tolérer d'être espionnée par sa pupille marocaine ainsi que la horde de Marocains désireux de s'exiler en Vieux-Continent, alors la dictature alaouite se reviendra à la raison.
- Pour réinventer les relations entre Bruxelles et Paris d’une part et le royaume d’autre part, la condescendance doit être bannie une fois pour toutes, sinon de quel droit l’Union européenne s’inspire pour dicter au royaume quelles seront ses lois en matière de droits de l’homme. Une relation solide peut tout à fait supporter quelques divergences d’opinion, du moment que les deux partenaires les abordent avec sérieux et transparence, mais vouloir imposer au Maroc une vision unilatérale des droits de l’homme, c’est se tromper d’époque.
(...).
Cerise sur le gâteau, Emmanuel Macron affiche ostentatoirement sa volonté de marquer sa présidence dans l’histoire de la France comme étant celui qui a choisi l’Algérie contre le Maroc tout en insultant la mémoire des Algériens, à qui, pourtant, il refuse la reconnaissance des crimes de la colonisation !
Vérité du jour n’est pas celle du lendemain, la France en premier lieu, doit comprendre deux choses essentielles : ce gouffre abyssal entre la population marocaine et ses élites francophones et qui faisait les affaires de ce lobby, voire de la mafia francophone qui a infiltré la haute administration du royaume est en train de se réduire en peau de chagrin.
Le courrier de l'Atlas (extraits).
- Pour réinventer les relations entre Bruxelles et Paris d’une part et le royaume d’autre part, la condescendance doit être bannie une fois pour toutes, sinon de quel droit l’Union européenne s’inspire pour dicter au royaume quelles seront ses lois en matière de droits de l’homme. Une relation solide peut tout à fait supporter quelques divergences d’opinion, du moment que les deux partenaires les abordent avec sérieux et transparence, mais vouloir imposer au Maroc une vision unilatérale des droits de l’homme, c’est se tromper d’époque.
(...).
Cerise sur le gâteau, Emmanuel Macron affiche ostentatoirement sa volonté de marquer sa présidence dans l’histoire de la France comme étant celui qui a choisi l’Algérie contre le Maroc tout en insultant la mémoire des Algériens, à qui, pourtant, il refuse la reconnaissance des crimes de la colonisation !
Vérité du jour n’est pas celle du lendemain, la France en premier lieu, doit comprendre deux choses essentielles : ce gouffre abyssal entre la population marocaine et ses élites francophones et qui faisait les affaires de ce lobby, voire de la mafia francophone qui a infiltré la haute administration du royaume est en train de se réduire en peau de chagrin.
Le courrier de l'Atlas (extraits).
Commentaire