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Les nouveaux hubs du gaz en Afrique: Mozambique, Sénégal, Tanzanie, Mauritanie, AFS, Ethiopie et le Maroc

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  • Les nouveaux hubs du gaz en Afrique: Mozambique, Sénégal, Tanzanie, Mauritanie, AFS, Ethiopie et le Maroc

    The New Hubs of Gas Extraction in Africa
    • Global Energy Trends
    • Christine Juta and Scott Zimmerman
    A seismic shift is on the horizon for gas extraction in Africa, with many of the new pre-production fields proposed in countries that historically have not exploited fossil fuels, a trend that would run counter to the global scientific consensus calling for a halt to the construction of new fossil fuel infrastructure.

    Global Energy Monitor’s (GEM) Global Oil and Gas Extraction Tracker (GOGET) includes data on 421 extraction projects, with 79 fields in the pre-production stages. While historically Nigeria, Egypt, Libya, and Algeria have had the most proven gas reserves and production, data in GOGET show that 84 percent of new reserves in pre-production are located in recent entrants to Africa’s gas market—Mozambique, Senegal, Tanzania, Mauritania, South Africa, Ethiopia, and Morocco.

    These new reserves total more than 5137.5 billion cubic meters (bcm), with potential emissions equaling about 11.9 billion tons of CO2, with production from many of these fields facing opposition due to the potential impacts to local ecosystems and communities.

    These countries are expected to drive gas development volumes in the near term, with ‘Mozambique, Mauritania, Tanzania, South Africa, and Ethiopia accounting for more than half of Africa’s gas production by 2038.’ If industry plans for this wave of new gas field extraction projects are allowed to proceed, Africa’s gas production would increase by a third by 2030. An estimated US$329 billion greenfield investment is required for the development of both gas extraction and export infrastructure.

    Yet most of these gas field developments are destined for export, doing little to address low electrification rates across the continent, while also exposing Africa’s energy mix to the volatility of gas markets. African investment in the development of extraction infrastructure in previously undeveloped areas will likely lead to serious impacts on locals’ health and the environment, while exacerbating climate change and reducing Africa’s ability to invest in its own energy transition and the electrification of its communities.

    This briefing details the emerging players in Africa’s gas market, the key fields proposed for development, and the cost and ownership structure of this build-out and concludes that the export orientation of gas developments will do little to address the challenges Africa faces in achieving universal access to clean, affordable, and reliable energy.


    Dernière modification par ayoub7, 11 mars 2023, 14h53.
    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

  • #2
    Les nouveaux hubs d'extraction de gaz en Afrique

    Tendances énergétiques mondiales
    Christine Juta et Scott Zimmerman

    Un bouleversement sismique se profile à l'horizon pour l'extraction de gaz en Afrique, avec de nombreux nouveaux gisements de pré-production proposés dans des pays qui n'ont historiquement pas exploité les combustibles fossiles, une tendance qui irait à l'encontre du consensus scientifique mondial appelant à l'arrêt de la construction de nouvelles infrastructures de combustibles fossiles.

    Le Global Oil and Gas Extraction Tracker (GOGET) de Global Energy Monitor (GEM) comprend des données sur 421 projets d'extraction, avec 79 champs en phase de pré-production. Alors qu'historiquement le Nigeria, l'Égypte, la Libye et l'Algérie ont eu les réserves et la production de gaz les plus prouvées, les données de GOGET montrent que 84 % des nouvelles réserves en pré-production sont situées chez les nouveaux entrants sur le marché du gaz en Afrique : Mozambique, Sénégal, Tanzanie, Mauritanie, Afrique du Sud, Éthiopie et Maroc.

    Ces nouvelles réserves totalisent plus de 5137,5 milliards de mètres cubes (bcm), avec des émissions potentielles équivalant à environ 11,9 milliards de tonnes de CO2, la production de bon nombre de ces champs faisant face à une opposition en raison des impacts potentiels sur les écosystèmes et les communautés locales.

    Ces pays devraient stimuler les volumes de développement gazier à court terme, « le Mozambique, la Mauritanie, la Tanzanie, l'Afrique du Sud et l'Éthiopie représentant plus de la moitié de la production de gaz de l'Afrique d'ici 2038 ». Si les plans de l'industrie pour cette vague de nouveaux projets d'extraction de gisements de gaz sont autorisés, la production de gaz de l'Afrique augmentera d'un tiers d'ici 2030. Un investissement nouveau estimé à 329 milliards de dollars américains est nécessaire pour le développement des infrastructures d'extraction et d'exportation de gaz.

    Pourtant, la plupart de ces développements de gisements de gaz sont destinés à l'exportation, ne faisant pas grand-chose pour remédier aux faibles taux d'électrification à travers le continent, tout en exposant le mix énergétique de l'Afrique à la volatilité des marchés du gaz. entraîner de graves impacts sur la santé des populations locales et l'environnement, tout en aggravant le changement climatique et en réduisant la capacité de l'Afrique à investir dans sa propre transition énergétique et l'électrification de ses communautés.

    Ce briefing détaille les acteurs émergents sur le marché du gaz en Afrique, les domaines clés proposés pour le développement, ainsi que la structure de coût et de propriété de cette construction et conclut que l'orientation vers l'exportation des développements gaziers ne fera pas grand-chose pour relever les défis auxquels l'unification de l'Afrique est confrontée à jamais. accéder à une énergie propre, abordable et fiable.
    Dernière modification par ayoub7, 11 mars 2023, 14h53.
    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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    • #3
      Je ne vois pas le Maroc parmis Les nouveaux hubs d'extraction de gaz en Afrique dans un avenir proche et même lointain. S'il arrive à satisfaire ses propres besoins, c'est déja pas mal.

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      • #4
        On est au tout debut de l'exploration au Maroc, donc tout est possble, mais effectivement, si le Maroc arrive juste a eliminer sa facture energetique, il sera, et de loin, la premiere économie africaine et son industrialisation sera accélérée vu qu'il pourra fournir un cout faible energetique aux investisseurs industriels.
        Dernière modification par ayoub7, 11 mars 2023, 17h39.
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        • #5
          Désolé, mais c'est haddou qui a l'exclusivité des topic de FA concernant les hubs gazier.

          Lui avez vous demandé son autorisation ?
          J'aime surfer sur la vague du chaos.

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