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Les Tunisiens manifestent contre le racisme

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  • Les Tunisiens manifestent contre le racisme

    Plusieurs organisations, activistes et personnalités publiques ont participé à la manifestation de soutien aux migrants et contre le racisme. Les migrants originaires de pays subsahariens font l’objet depuis plusieurs semaines de campagnes d'incitations et de harcèlements. Celles-ci se sont transformées en attaques et agressions physiques et verbales suite aux déclarations du président de la République, Kaïs Saïed. Il avait affirmé que les migrants subsahariens cherchaient à coloniser la Tunisie et menaçaient l'identité arabo-musulmane.



    Photo : Ghassen Ksibi
    Plusieurs organisations, activistes et personnalités publiques ont participé à la manifestation de soutien aux migrants et contre le racisme. Les migrants originaires de pays subsahariens font l’objet depuis plusieurs semaines de campagnes d'incitations et de harcèlements. Celles-ci se sont transformées en attaques et agressions physiques et verbales suite aux déclarations du président de la République, Kaïs Saïed. Il avait affirmé que les migrants subsahariens cherchaient à coloniser la Tunisie et menaçaient l'identité arabo-musulmane.

    Plusieurs acteurs de la société civile, militants pour les droits humains, visages connus et jeunes ont participé à la manifestation qui a eu lieu le 25 février 2023. Ils ont scandé plusieurs slogans afin d'exprimer leur solidarité avec les migrants et d’appeler à la régularisation de la situation de ceux qui se trouvant en situation irrégulière.


    businessnews.com.tn/



  • #2
    il existe encore des gens sensés...
    y a toujours de l'espoir
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3



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      • #4
        Tin!

        Ya tjrs des celles qui semblent être des A.B****** en t^te du cortège.

        Mais avaient elles vu leur alter ego subsaharienne manifester pour une Afrique du Nord ... without whites !!!!...

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        • #5
          Le Lobbies Turque Quatar entre les migrants syriens et subsaharienne.

          Qui bloque les aide humanitaire sur les frontières Turque aux syriens
          Dernière modification par katiaret, 25 février 2023, 22h46.
          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            le président raciste ne represente pas le peuple tunisien, il a fait une grosse bourde, l'algerie ne devrait pas s'afficher avec ce haineux ni meme financer sa politique

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            • #7
              Il faut reconnaître que la Tunisie n'a pas de moyen pour contenir ces vagues d'immigration vers le nord.mais il faut chercher une solution de les rapatrier a leur pays sans passer a ce type de discours qui ne sera a rien déjà nous vue au Maroc comment ils ont traiter ces immigrants aux frontières avec l'Espagne
              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Bravo à eux..

                Bien que l'Europe n'a pas aussi les moyens, comme les migrants maghrébins, les subsahariens ont le droit de migrer tout naturellement pour raisons économiques climatiques politiques guerres......Ce "président" tunisien n'a aucune leçon à donner et surtout pas propager la haine, d'autant plus que des tas de tunisiens migrants vont en Europe.
                Les migrants subsahariens veulent surtout aller en Europe. Chaque jour beaucoup meurent en mer comme hier 40 migrants dont enfants retrouvés morts au large des côtes sud italiennes. Souvent pas mal d'entre eux sont dépouillés de leurs économies en Afrique du nord ou victimes des marchands mafieux de la mort avec des bateaux épaves......le pire en Libye en passant par la Tunisie par exemple.

                Les migrants ne sont pas responsables de la forte inflation et de la crise politique économique en Tunisie.


                "Une série d’arrestations fait craindre une répression accrue

                Une série d’arrestations dans les milieux politico-médiatiques et des affaires en Tunisie fait craindre une répression accrue dans un pays englué dans une grave crise politique et économique depuis que le président Kais Saied a accaparé les pouvoirs en juillet 2021.

                Si plusieurs opposants, appartenant notamment au parti islamoconservateur Ennahdha et ses alliés, ont été arrêtés ou interrogés ces derniers mois, un cap semble avoir été franchi avec l’arrestation ce week-end d’un très influent homme d’affaires, suivie lundi par celle du directeur de la plus grande radio privée de Tunisie, Mosaïque FM.

                Ce coup de filet est survenu au moment où M. Saied poursuit l’édification de son système hyperprésidentialiste en faisant peu de cas du boycottage massif de toutes les échéances électorales et consultatives censées jalonner ce processus.

                Outre les divisions politiques, le pays est plongé dans de graves difficultés économiques marquées notamment par des pénuries récurrentes de produits alimentaires et une inflation qui a fait plonger le pouvoir d’achat des Tunisiens.

                Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, Volker Türk, a dénoncé mardi « l’aggravation de la répression » en Tunisie après les dernières interpellations.

                Lors d’un point-presse à Genève, son porte-parole, Jeremy Laurence, a indiqué que M. Türk exprimait « sa préoccupation face à l’aggravation de la répression contre ceux qui sont perçus comme des opposants politiques et de la société civile en Tunisie, notamment par l’intermédiaire de mesures prises par les autorités qui continuent de saper l’indépendance du pouvoir judiciaire ».

                « Avertissement »

                Un chef d’Ennahdha, Noureddine Bhiri, le directeur de Mosaïque FM, la radio la plus écoutée en Tunisie, Noureddine Boutar, ainsi que l’ancien ministre Lazhar Akremi, ont été arrêtés lundi soir.

                Plusieurs autres personnalités avaient été arrêtées samedi, notamment le très influent homme d’affaires Kamel Eltaïef, ex-éminence grise du président déchu Zine el Abidine Ben Ali, l’activiste politique Khayam Turki, ainsi que deux anciens magistrats.

                Homme de l’ombre, mais très introduit dans les milieux politiques, M. Eltaïef, 68 ans, est vu par de nombreux Tunisiens comme l’un des symboles de la corruption dans le pays.

                Dans une vidéo diffusée mardi par la présidence, M. Saied a affirmé que certaines personnes parmi celles qui ont été arrêtées étaient impliquées « dans des complots contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État » et étaient à l’origine de pénuries de produits alimentaires pour en faire monter les prix.

                « C’est un avertissement signifiant à ceux qui contrôlent les circuits de distribution qu’ils ne pourront pas échapper à la loi », a-t-il dit en recevant la ministre du Commerce.

                Depuis le coup de force du président Saied qui a fait vaciller la démocratie née en 2011 de la première révolte du Printemps arabe, plusieurs hommes politiques font l’objet de poursuites dénoncées par l’opposition comme des règlements de comptes.

                L’avocat Ghazi Chouachi, qui défend l’activiste Khyam Turki, a affirmé que les dernières arrestations « visent à détourner l’attention de l’opinion publique (des problèmes du pays) et à terroriser l’opposition ».

                « Le président semble avoir une hantise sécuritaire. Le pays se trouve à un tournant et traverse une crise d’une extrême gravité », décrypte l’analyste politique Abdellatif Hannachi.

                « Ligne éditoriale »

                Dans un communiqué, les personnels de Mosaïque FM ont exprimé leur « soutien inconditionnel » à leur directeur général. Ils ont exigé sa « libération immédiate » et condamné « les atteintes récurrentes portées à Mosaïque FM pour faire taire sa voix libre ».

                Selon le communiqué, « la garde à vue du directeur général est en lien avec la ligne éditoriale de la radio et n’a rien à voir avec l’affaire de complot contre la sécurité de l’État ».

                « L’arrestation du directeur de Radio Mosaïque FM, Noureddine Boutar, sans mandat d’arrêt ni raison officielle, son interrogatoire qui a porté sur ses choix éditoriaux, est tout aussi inacceptable que tristement révélateur de la répression qui s’abat sur la presse en Tunisie », a déploré l’ONG Reporters sans Frontières (RSF).

                La semaine dernière, plus de 65 ONG, partis politiques et personnalités en Tunisie ont exprimé leur « soutien total » à la centrale syndicale UGTT, après l’interpellation d’un de ses responsables dans la foulée d’un discours du président Saied dénonçant une instrumentalisation du droit de grève « à des fins politiques »."

                lapresse.ca 14 02 2023




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                • #9
                  Oui bien sûr que la Tunisie officielle a fait une bourde
                  le président Tunisien a fait dans la précipitation sur la pression de certains partis et la rue aussi .
                  manifester contre le racisme c’est bien ´ dénoncer le racisme est un devoir mais cela ne doit pas donner raison à l’immigration de masse des sub sahariens et autres africains .
                  l'Afrique ne leurs appartient pas l’Afrique n’est pas définit par là couleur de peau comme ils le prétendent .
                  Ils doivent rester chez eux et arrêter d’en merder le monde .
                  ils doivent faire les formalités nécessaires pour rentrer dans un pays étranger.

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                  • #10
                    les tunisiens parlent mais au maroc le pouvoir massacre les émigrés

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                    • #11
                      les tunisiens parlent mais au maroc le pouvoir massacre les émigrés
                      Même si c'est du bla bla et d'ailleurs tu en es conscient et convaincu, machi mochkil on descend à ton niveau et njawbok.

                      En matière de politique migratoire, la Tunisie et l’Algérie gagneraient à s’inspirer du Maroc.



                      Algérie-Tunisie : Un racisme très contagieux ! Racisme d’Etat


                      Rappelons qu’il y a quelques années, l'Algérie avait organisé une vaste opération d'expulsion de migrants subsahariens, «dans un contexte de violence et de brutalité qui choque la conscience universelle», dénonçait une coalition d’ONG africaines actives à Genève. Des ONG européennes et des organismes de défense des droits de l’Homme avaient même saisi les instances onusiennes et la communauté internationale pour dénoncer le traitement dégradant et inhumain infligé par les autorités algériennes aux migrants subsahariens. Dans des opérations menées de manière organisée par les autorités algériennes, des centaines de migrants arrêtés arbitrairement avaient été abandonnés en plein désert dans la zone frontalière au sud du pays pour les inciter à quitter le territoire.

                      le professeur à l’université Pompeu Fabra en Espagne et Senior Fellow au Policy Center for the New South (PCNS), Ivan Martin, a souligné que le Maroc entreprend de grands efforts dans le domaine de la migration, grâce à la Stratégie nationale d'immigration et d'asile, qui s'inscrit dans le cadre d'une approche humanitaire et globale visant à favoriser l'accès des réfugiés à l'éducation et au marché du travail.

                      «De nos jours, tous les pays doivent adopter des politiques de migration et de protection des migrants, en plus du pacte sur la migration», a-t-il ajouté. Ce que ne font ni l’Algérie ni la Tunisie. Pays qui gagneraient à s’inspirer du Maroc et de la politique migratoire initiée par le Roi Mohammed VI. «Le Maroc compte parmi les premiers pays du Sud à avoir adopté une politique solidaire authentique pour accueillir les migrants subsahariens, selon une approche humaine intégrée, qui protège leurs droits et préserve leurs dignité», avait déclaré le Souverain dans son discours du 20 aout 2016, à l'occasion de la fête de la Révolution du Roi et du Peuple.
                      laquotidienne

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