Lundi soir, au moins une quinzaine de soldats ont été tués lors d’une attaque de groupes armés dans le nord du Burkina Faso près de la frontière du Mali.
La lutte anti-djihadiste au Sahel reste très compliquée. Encore lundi soir, au moins une quinzaine de soldats ont été tués lors d’une attaque de groupes armés dans le nord du Burkina Faso près de la frontière du Mali, a-t-on appris mardi auprès de sources sécuritaires. « Hier soir le détachement de Tin-Akoff a été la cible d’une violente attaque », a indiqué une première source sécuritaire, évoquant un bilan d’une « quinzaine de morts » et des « éléments qui manquent à l’appel ».
Une deuxième source sécuritaire interrogée par l’AFP a confirmé cette attaque, avançant de son côté un bilan de 19 morts et « des dizaines de disparus ». Selon la première source, la riposte aérienne et terrestre de l’armée burkinabè a permis de « neutraliser » (tuer, ndlr) des « dizaines de terroristes ». « Les opérations se poursuivent sur le terrain et sont concentrées sur la province de l’Oudalan, au niveau des trois frontières (aux confins du Niger et du Mali) qui connaît un regain de violences depuis quelques jours », a poursuivi cette source.
Spirale de violences djihadistes
C’est dans cette province qu’au moins 51 soldats ont été tués vendredi dans une embuscade, un bilan qui est encore provisoire, selon l’armée. Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière depuis l’arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, lors d’un putsch fin septembre 2022.
20 Minutes
La lutte anti-djihadiste au Sahel reste très compliquée. Encore lundi soir, au moins une quinzaine de soldats ont été tués lors d’une attaque de groupes armés dans le nord du Burkina Faso près de la frontière du Mali, a-t-on appris mardi auprès de sources sécuritaires. « Hier soir le détachement de Tin-Akoff a été la cible d’une violente attaque », a indiqué une première source sécuritaire, évoquant un bilan d’une « quinzaine de morts » et des « éléments qui manquent à l’appel ».
Une deuxième source sécuritaire interrogée par l’AFP a confirmé cette attaque, avançant de son côté un bilan de 19 morts et « des dizaines de disparus ». Selon la première source, la riposte aérienne et terrestre de l’armée burkinabè a permis de « neutraliser » (tuer, ndlr) des « dizaines de terroristes ». « Les opérations se poursuivent sur le terrain et sont concentrées sur la province de l’Oudalan, au niveau des trois frontières (aux confins du Niger et du Mali) qui connaît un regain de violences depuis quelques jours », a poursuivi cette source.
Spirale de violences djihadistes
C’est dans cette province qu’au moins 51 soldats ont été tués vendredi dans une embuscade, un bilan qui est encore provisoire, selon l’armée. Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière depuis l’arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, lors d’un putsch fin septembre 2022.
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