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Difficile à croire qu'une vedette comme ce chanteur marocain s'en vienne à devoir violer une femme alors qu'il puisse recourir à des prostitués. Se croyait-il au Maroc où le viol- à certaines conditions- n'est pas pénalisé?
- Le chanteur comparaît toute la semaine devant la cour d’assises de Paris. Il est accusé de viol et violence aggravés, des faits commis sur une jeune femme dans un palace en 2016 et qu’il nie. L’artiste de 37 ans encourt 20 ans de réclusion.
Une jeune femme de 20 ans, au visage griffé et au t-shirt déchiré, sort paniquée dans le couloir du Mariott, fuyant un homme en caleçon, agité et manifestement éméché. Le 26 octobre 2016 vers 9h15, l’agent de sécurité de ce palace parisien est alerté d’un différend au 7e étage. Cette scène ne ressemble pas à ces incidents que les hôtels prestigieux doivent parfois gérer en toute discrétion avec des clients célèbres.
Le client de la chambre 714, qui à genoux supplie en anglais le garçon d’étage de ne pas appeler la police, a beau s’appeler Saad Lamjarred, la pop star marocaine qui promet d’enflammer le Palais des Congrès trois jours plus tard, le personnel de l’établissement fait son devoir. Aux policiers qui interviennent, la jeune femme raconte avoir été violée, séquestrée et frappée. Le coupable qu’elle désigne lâche, aux mêmes agents : « no proof (pas de preuves) ».
Le Parisien.fr
- Le chanteur comparaît toute la semaine devant la cour d’assises de Paris. Il est accusé de viol et violence aggravés, des faits commis sur une jeune femme dans un palace en 2016 et qu’il nie. L’artiste de 37 ans encourt 20 ans de réclusion.
Une jeune femme de 20 ans, au visage griffé et au t-shirt déchiré, sort paniquée dans le couloir du Mariott, fuyant un homme en caleçon, agité et manifestement éméché. Le 26 octobre 2016 vers 9h15, l’agent de sécurité de ce palace parisien est alerté d’un différend au 7e étage. Cette scène ne ressemble pas à ces incidents que les hôtels prestigieux doivent parfois gérer en toute discrétion avec des clients célèbres.
Le client de la chambre 714, qui à genoux supplie en anglais le garçon d’étage de ne pas appeler la police, a beau s’appeler Saad Lamjarred, la pop star marocaine qui promet d’enflammer le Palais des Congrès trois jours plus tard, le personnel de l’établissement fait son devoir. Aux policiers qui interviennent, la jeune femme raconte avoir été violée, séquestrée et frappée. Le coupable qu’elle désigne lâche, aux mêmes agents : « no proof (pas de preuves) ».
Le Parisien.fr
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