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La France a rejeté l’existence d’une « crise » diplomatique avec le Maroc au lendemain du vote d’une résolution sur la liberté d’expression au Maroc au Parlement européen.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre, a affirmé lors d’un point presse, que les deux pays entretiennent des relations « profondes » et a dit qu’au contraire les relations seront appelées à se développer.
« La France entretient une relation d’amitié profonde avec le Maroc avec lequel elle aborde tous les sujets y compris ceux des droits de l’homme », a-t-elle déclaré.
La responsable française a souligné que la France et le Maroc entretiennent « un partenariat d’exception que nous entendons nourrir », ajoutant que la France voudrait inscrire cette relation bilatérale « dans les 10 à 20 ans » à venir.
Un eurodéputé français ayant dirigé la campagne électorale du président Emmanuel Macron et proche du pouvoir, est ciblé par des accusations selon lesquelles il serait à l’origine de la campagne dénigrant le Maroc.
La responsable française a nié l’implication de la France dans la résolution du Parlement européen en affirmant que « le parlement exerce ses prérogatives de manière indépendante ».
Elle a rappelé la visite de la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna en décembre. « C’était une visite très positive », a-t-elle dit, soulignant « le jalon important » que constituera celle du président Emmanuel Macron, prévue au cours du premier trimestre, mais toujours pas confirmée.
Des sources ont indiqué à Hespress FR que la résolution contre le Maroc au sujet de la liberté de la presse a été dirigée par la France pour satisfaire sa nouvelle alliance avec l’Algérie. Les eurodéputés du parti présidentiel français ont tous voté pour cette résolution.
Plusieurs observateurs estiment que Paris ne serait pas satisfaite pas de la dégradation de sa position dans la nouvelle dynamique du partenariat maroco-américain suite aux « Accords d’Abraham » et au renforcement de la coopération à différents niveaux lui faisant suite.
Hespress
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre, a affirmé lors d’un point presse, que les deux pays entretiennent des relations « profondes » et a dit qu’au contraire les relations seront appelées à se développer.
« La France entretient une relation d’amitié profonde avec le Maroc avec lequel elle aborde tous les sujets y compris ceux des droits de l’homme », a-t-elle déclaré.
La responsable française a souligné que la France et le Maroc entretiennent « un partenariat d’exception que nous entendons nourrir », ajoutant que la France voudrait inscrire cette relation bilatérale « dans les 10 à 20 ans » à venir.
Un eurodéputé français ayant dirigé la campagne électorale du président Emmanuel Macron et proche du pouvoir, est ciblé par des accusations selon lesquelles il serait à l’origine de la campagne dénigrant le Maroc.
La responsable française a nié l’implication de la France dans la résolution du Parlement européen en affirmant que « le parlement exerce ses prérogatives de manière indépendante ».
Elle a rappelé la visite de la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna en décembre. « C’était une visite très positive », a-t-elle dit, soulignant « le jalon important » que constituera celle du président Emmanuel Macron, prévue au cours du premier trimestre, mais toujours pas confirmée.
Des sources ont indiqué à Hespress FR que la résolution contre le Maroc au sujet de la liberté de la presse a été dirigée par la France pour satisfaire sa nouvelle alliance avec l’Algérie. Les eurodéputés du parti présidentiel français ont tous voté pour cette résolution.
Plusieurs observateurs estiment que Paris ne serait pas satisfaite pas de la dégradation de sa position dans la nouvelle dynamique du partenariat maroco-américain suite aux « Accords d’Abraham » et au renforcement de la coopération à différents niveaux lui faisant suite.
Hespress
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