D’après une information révélée ce mercredi par le journaliste israélien d'Axios, Barak Ravid, le Maroc conditionne l'ouverture de l'ambassade à Tel Aviv à la question de la reconnaissance de la marocanité du Sahara par la diplomatie de l'État hébreu.
Après l'inauguration du bureau de liaison dirigé par Abderrahim Beyyoud, le Royaume devait élever le rang de la représentation diplomatique afin d'en faire une ambassade. Ce qui n'a toujours pas été le cas jusqu'à présent.
« Ces derniers mois, le Maroc a commencé à lier l'ouverture d'une ambassade à Tel-Aviv à la reconnaissance formelle par le gouvernement israélien de sa souveraineté au Sahara occidental », fait savoir Axios. On ajoute que la diplomatie israélienne rechigne à reconnaître la marocanité du Sahara occidental, malgré les différentes positions prises par des membres de son gouvernement : l'ex ministre de l'Intérieur Ayelet Shaked, ayant déclaré qu'Israël reconnaissait la souveraineté du Maroc mais aussi Gideon Saar, ministre de la Justice, ayant déclaré publiquement que le Sahara occidental faisait partie du Maroc.
Dans les deux situations, le ministère israélien des Affaires étrangères avait pris ses distances, en affirmant que « le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental est un développement positif ».
Le Desk
Après l'inauguration du bureau de liaison dirigé par Abderrahim Beyyoud, le Royaume devait élever le rang de la représentation diplomatique afin d'en faire une ambassade. Ce qui n'a toujours pas été le cas jusqu'à présent.
« Ces derniers mois, le Maroc a commencé à lier l'ouverture d'une ambassade à Tel-Aviv à la reconnaissance formelle par le gouvernement israélien de sa souveraineté au Sahara occidental », fait savoir Axios. On ajoute que la diplomatie israélienne rechigne à reconnaître la marocanité du Sahara occidental, malgré les différentes positions prises par des membres de son gouvernement : l'ex ministre de l'Intérieur Ayelet Shaked, ayant déclaré qu'Israël reconnaissait la souveraineté du Maroc mais aussi Gideon Saar, ministre de la Justice, ayant déclaré publiquement que le Sahara occidental faisait partie du Maroc.
Dans les deux situations, le ministère israélien des Affaires étrangères avait pris ses distances, en affirmant que « le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental est un développement positif ».
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