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Par Zine Haddadi
TSA
Le ministre de la Jeunesse et des Sports Abderrazak Sebgag a réagi ce mardi à l’annonce faite par le journaliste Hafid Derradji sur l’attribution de la CAN 2025 au Maroc au détriment de l’Algérie.
Alors que l’Algérie a déposé vendredi 16 décembre son dossier de candidature pour abriter la Coupe d’Afrique des nations 2025, Hafid Derradji a lâché une véritable bombe en annonçant que la CAF aurait déjà confié l’organisation au Maroc.
| LIRE AUSSI : CAN 2025 : « L’Algérie ne se porte pas candidate avec des maquettes »
Le ministre de la Jeunesse et des Sports Abderrazak Sebgag a pris acte de la révélation de Hafid Derradji. « Hafid n’est pas membre de la CAF mais en tant qu’expert en football ce qu’il dit doit être pris en considération », a déclaré Sebgag en marge de participation au forum du journal El Hiwar.
Abderrazak Sebgag estime que l’analyse de Hafid Derradji est « bonne et nous renseigne sur ce qui nous attend ».
CAN 2025 : Sebgag reste optimiste
Tout en prenant en considération ce qu’a dit Hafid Derradji, le ministre de la Jeunesse et des Sports garde sa posture optimiste quant à une décision favorable de la CAF au dossier de candidature algérienne à l’organisation de la CAN 2025.
« Personnellement, je suis optimiste concernant le dossier de candidature déposé par l’Algérie », a déclaré M. Sebgag qui s’était déjà montré confiant la semaine dernière en déclarant que l’Algérie a un avantage sur les autres dossiers de candidatures par ses infrastructures prêtes. « L’Algérie ne se présente pas avec des maquettes », a-t-il taclé.
Lundi, Hafid Derradji a jeté un véritable pavé dans la mare en sachant que le vote pour l’octroi de l’organisation de la CAN 2025 est prévu pour février 2023. La Confédération africaine de football vient de recevoir les dossiers de candidature dont celui de l’Algérie et du Maroc.
Avant le vote, les commissions de la CAF doivent d’abord inspecter les infrastructures des pays candidats avant de trancher sur l’identité de l’organisateur comme le prévoit la procédure de l’instance panafricaine de football.
Néanmoins, pour Hafid Derradji, « le choix à ce niveau n’a rien à voir avec le dossier », allusion faite au travail de coulisse où le Maroc, mené par le président de sa Fédération marocaine de football Fouzi Lekjaa, est réputé influent au niveau de la CAF et de la FIFA.
TSA
Le ministre de la Jeunesse et des Sports Abderrazak Sebgag a réagi ce mardi à l’annonce faite par le journaliste Hafid Derradji sur l’attribution de la CAN 2025 au Maroc au détriment de l’Algérie.
Alors que l’Algérie a déposé vendredi 16 décembre son dossier de candidature pour abriter la Coupe d’Afrique des nations 2025, Hafid Derradji a lâché une véritable bombe en annonçant que la CAF aurait déjà confié l’organisation au Maroc.
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Le ministre de la Jeunesse et des Sports Abderrazak Sebgag a pris acte de la révélation de Hafid Derradji. « Hafid n’est pas membre de la CAF mais en tant qu’expert en football ce qu’il dit doit être pris en considération », a déclaré Sebgag en marge de participation au forum du journal El Hiwar.
Abderrazak Sebgag estime que l’analyse de Hafid Derradji est « bonne et nous renseigne sur ce qui nous attend ».
CAN 2025 : Sebgag reste optimiste
Tout en prenant en considération ce qu’a dit Hafid Derradji, le ministre de la Jeunesse et des Sports garde sa posture optimiste quant à une décision favorable de la CAF au dossier de candidature algérienne à l’organisation de la CAN 2025.
« Personnellement, je suis optimiste concernant le dossier de candidature déposé par l’Algérie », a déclaré M. Sebgag qui s’était déjà montré confiant la semaine dernière en déclarant que l’Algérie a un avantage sur les autres dossiers de candidatures par ses infrastructures prêtes. « L’Algérie ne se présente pas avec des maquettes », a-t-il taclé.
Lundi, Hafid Derradji a jeté un véritable pavé dans la mare en sachant que le vote pour l’octroi de l’organisation de la CAN 2025 est prévu pour février 2023. La Confédération africaine de football vient de recevoir les dossiers de candidature dont celui de l’Algérie et du Maroc.
Avant le vote, les commissions de la CAF doivent d’abord inspecter les infrastructures des pays candidats avant de trancher sur l’identité de l’organisateur comme le prévoit la procédure de l’instance panafricaine de football.
Néanmoins, pour Hafid Derradji, « le choix à ce niveau n’a rien à voir avec le dossier », allusion faite au travail de coulisse où le Maroc, mené par le président de sa Fédération marocaine de football Fouzi Lekjaa, est réputé influent au niveau de la CAF et de la FIFA.
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