14 des 26 joueurs de l’équipe nationale marocaine sont nés à l’étranger, ce qui fait d’elle l’équipe comptant le plus d’« étrangers » à la Coupe du monde. Ces binationaux, dont Achraf Hakimi et Munir Mohamedi nés en Espagne, font la force des Lions de l’Atlas qui affrontent l’Espagne ce mardi en huitièmes de finale.
Le Maroc, adversaire de l’Espagne en huitièmes de finale, compte 14 joueurs qui sont nés à l’étranger, notamment dans six pays dont ils ont également la nationalité. Parmi eux, il y a deux Espagnols : l’arrière droit Achraf Hakimi, né à Madrid et formé au Real Madrid, et le gardien de buts Munir Mohamedi, né à Melilla et qui a fait ses débuts à Sebta, fait savoir La Vanguardia, très critiquée aujourd’hui par la presse marocaine pour cet article jugé raciste.
En dehors de ces deux « Espagnols », l’équipe marocaine regorge aussi de quatre « Néerlandais ». Il s’agit d’Hakim Ziyech, Noussair Mazroui, Sofyan Amrabat et Zakaria Aboukhal. Trois autres Lions de l’Atlas sont nés en France (Sofiane Boufal, Amine Harit et Romain Saïss), un au Canada, (Yassine Bounou), un en Italie (Walid Cheddira) et trois en Belgique (Selim Amallah, Ilias Chair et Bilal El Khannous).
Ces binationaux qui font la force du Maroc, se retrouvent dans une situation embarrassante lorsque le Maroc a à disputer un match avec leur pays de naissance. C’était le cas avec les joueurs El Khannouss et Ilias Chair lors du match face à la Belgique. La même situation pourrait se produire ce mardi avec Abdelssamad Ezzalzouli, l’attaquant du FC Barcelone actuellement en prêt à Osasuna.
Ez Abde avait décliné l’offre du Maroc qui l’a convoqué en décembre dernier pour prendre part à la Coupe d’Afrique en janvier, préférant rester à Barcelone pour espérer un appel de Luis Enrique en sélection nationale. Mais l’appel tardant à venir, le jeune joueur a changé de position et a accepté l’appel du Maroc pour participer au Mondial au Qatar.
Bladi.
Le Maroc, adversaire de l’Espagne en huitièmes de finale, compte 14 joueurs qui sont nés à l’étranger, notamment dans six pays dont ils ont également la nationalité. Parmi eux, il y a deux Espagnols : l’arrière droit Achraf Hakimi, né à Madrid et formé au Real Madrid, et le gardien de buts Munir Mohamedi, né à Melilla et qui a fait ses débuts à Sebta, fait savoir La Vanguardia, très critiquée aujourd’hui par la presse marocaine pour cet article jugé raciste.
En dehors de ces deux « Espagnols », l’équipe marocaine regorge aussi de quatre « Néerlandais ». Il s’agit d’Hakim Ziyech, Noussair Mazroui, Sofyan Amrabat et Zakaria Aboukhal. Trois autres Lions de l’Atlas sont nés en France (Sofiane Boufal, Amine Harit et Romain Saïss), un au Canada, (Yassine Bounou), un en Italie (Walid Cheddira) et trois en Belgique (Selim Amallah, Ilias Chair et Bilal El Khannous).
Ces binationaux qui font la force du Maroc, se retrouvent dans une situation embarrassante lorsque le Maroc a à disputer un match avec leur pays de naissance. C’était le cas avec les joueurs El Khannouss et Ilias Chair lors du match face à la Belgique. La même situation pourrait se produire ce mardi avec Abdelssamad Ezzalzouli, l’attaquant du FC Barcelone actuellement en prêt à Osasuna.
Ez Abde avait décliné l’offre du Maroc qui l’a convoqué en décembre dernier pour prendre part à la Coupe d’Afrique en janvier, préférant rester à Barcelone pour espérer un appel de Luis Enrique en sélection nationale. Mais l’appel tardant à venir, le jeune joueur a changé de position et a accepté l’appel du Maroc pour participer au Mondial au Qatar.
Bladi.
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