Par le passé, déjà la presse avait état de ce Maroc fictif qui est la pire dictature du continent africain et l'exode sans commune mesure de son peuple (cf. Maroc: pourquoi partent-ils tous?) le prouve si besoin est.
Il faut savoir que les Marocains ne fuient pas la dictature marocaine que pour cause de la misère endémique propre à ce pays ( "personnes désespérées fuyant la misère") bien davantage en raison d'atteintes à des libertés élémentaire comme l'obligation de baiser la main du narcotrafiquant et addictif à la coke ainsi qu'alcoolo l'empereur M6.
- «Le Maroc fictif que Mohamed VI tente de nous vendre. Son coup d’État manqué à Ceuta est un tournant : sachez que l’Europe n’a pas affaire à un despote éclairé mais à un despote oriental. »
Une attention particulière a été portée à la couverture de l’émission « Affaires étrangères », de la chaîne culturelle publique « France Culture », présentée par Christine Ockrent, référence en Géopolitique de la Francophonie, qui invite régulièrement des chercheurs normalement de première ligne. Dans son émission sur Ceuta « Maroc-Espagne: l’arme migratoire », du 25-02-2021, Ockrent elle-même a parlé de « personnes désespérées fuyant la misère » du Maghreb arabe vers un « El Dorado » européen, en utilisant la rhétorique typique du « drame de l’immigration »; Il a également déclaré que : « entre Rabat et Madrid, il y a aussi des indications d’une longue histoire, celle d’un empire colonial espagnol maintenant réduit à deux enclaves sur le territoire marocain » (sic), avec le contrepoint de prétendus experts, clairement islamophiles, devenant porte-parole de Rabat mais sans compter sur personne de Madrid.
(...).
Le professeur de l’Université de León, Romualdo Bermejo, montre également que, selon le droit international, Ceuta et Melilla sont des enclaves espagnoles depuis des temps immémoriaux. Ceuta, à 23 km d’Algésiras, a été unie par l’empereur Dioclétien au diocèse d’Hispanie péninsulaire au IIIe siècle. Lié à cela depuis lors, devenant la capitale de la Transfretana Hispania pendant les siècles de la « Spania Ghotorum », de la monarchie hispano-gothique, couvrant non seulement toute la péninsule, mais les îles Baléares et une partie du Maroc actuel, y compris le Narbonne gaulois.
Par conséquent, les seuls « squatters » de Ceuta auraient été les Berbères musulmans qui, au VIIIe siècle, ont envahi le territoire chrétien – Ceuta et Melilla inclus – avec la collaboration et la trahison de certains nobles de Ceuta dans leur lutte de succession, tels que Don Julián et l’évêque Don Opas. Après sa dépendance au califat de Cordoue, il a ensuite été contesté par le royaume de Grenade et celui de Fès, tout à fait indépendant des deux, pour son rôle important dans le commerce international. Profondément influencés par l’Espagne et les marchands des puissances européennes méditerranéennes, ils s’unissent en 1417 sous le drapeau portugais pour reconquérir la ville. La domination musulmane arriérée est donc rapidement laissée pour compte, et depuis que Philippe II a réunifié les royaumes d’Espagne et du Portugal en 1580, Ceuta continuera à être unie à l’Espagne avec son caractère ethnique, distinctement espagnol, péninsulaire, qui la définit singulièrement aujourd’hui-.
A suivre
La Razon
Il faut savoir que les Marocains ne fuient pas la dictature marocaine que pour cause de la misère endémique propre à ce pays ( "personnes désespérées fuyant la misère") bien davantage en raison d'atteintes à des libertés élémentaire comme l'obligation de baiser la main du narcotrafiquant et addictif à la coke ainsi qu'alcoolo l'empereur M6.
- «Le Maroc fictif que Mohamed VI tente de nous vendre. Son coup d’État manqué à Ceuta est un tournant : sachez que l’Europe n’a pas affaire à un despote éclairé mais à un despote oriental. »
Une attention particulière a été portée à la couverture de l’émission « Affaires étrangères », de la chaîne culturelle publique « France Culture », présentée par Christine Ockrent, référence en Géopolitique de la Francophonie, qui invite régulièrement des chercheurs normalement de première ligne. Dans son émission sur Ceuta « Maroc-Espagne: l’arme migratoire », du 25-02-2021, Ockrent elle-même a parlé de « personnes désespérées fuyant la misère » du Maghreb arabe vers un « El Dorado » européen, en utilisant la rhétorique typique du « drame de l’immigration »; Il a également déclaré que : « entre Rabat et Madrid, il y a aussi des indications d’une longue histoire, celle d’un empire colonial espagnol maintenant réduit à deux enclaves sur le territoire marocain » (sic), avec le contrepoint de prétendus experts, clairement islamophiles, devenant porte-parole de Rabat mais sans compter sur personne de Madrid.
(...).
Le professeur de l’Université de León, Romualdo Bermejo, montre également que, selon le droit international, Ceuta et Melilla sont des enclaves espagnoles depuis des temps immémoriaux. Ceuta, à 23 km d’Algésiras, a été unie par l’empereur Dioclétien au diocèse d’Hispanie péninsulaire au IIIe siècle. Lié à cela depuis lors, devenant la capitale de la Transfretana Hispania pendant les siècles de la « Spania Ghotorum », de la monarchie hispano-gothique, couvrant non seulement toute la péninsule, mais les îles Baléares et une partie du Maroc actuel, y compris le Narbonne gaulois.
Par conséquent, les seuls « squatters » de Ceuta auraient été les Berbères musulmans qui, au VIIIe siècle, ont envahi le territoire chrétien – Ceuta et Melilla inclus – avec la collaboration et la trahison de certains nobles de Ceuta dans leur lutte de succession, tels que Don Julián et l’évêque Don Opas. Après sa dépendance au califat de Cordoue, il a ensuite été contesté par le royaume de Grenade et celui de Fès, tout à fait indépendant des deux, pour son rôle important dans le commerce international. Profondément influencés par l’Espagne et les marchands des puissances européennes méditerranéennes, ils s’unissent en 1417 sous le drapeau portugais pour reconquérir la ville. La domination musulmane arriérée est donc rapidement laissée pour compte, et depuis que Philippe II a réunifié les royaumes d’Espagne et du Portugal en 1580, Ceuta continuera à être unie à l’Espagne avec son caractère ethnique, distinctement espagnol, péninsulaire, qui la définit singulièrement aujourd’hui-.
A suivre
La Razon
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