Tweet
Hespress FRvendredi 2 septembre 2022 - 12:13
Contacté par Hespress, l’Elysée a donné sa réponse par rapport aux récents propos du président français Emmanuel Macron qui annonçait son déplacement à Rabat fin octobre. Dans sa réponse, l’Elysée ne confirme rien, et indique qu’il existe des « options ».
Le président français Emmanuel Macron, a annoncé sa prochaine venue au Maroc fin octobre, en marge d’un festival de musique électronique samedi, le Touquet Music Beach. Le chef d’Etat français venait tout juste de terminer une visite officielle en Algérie.
Concernant cette potentielle visite au Maroc, l’Elysée n’a pas souhaité confirmer la date « pour le moment », se contentant d’affirmer qu’il existe des options.
Les relations entre le Maroc et la Franc traversent une période de froid, après la décision des autorités françaises de réduire de 50% les visas octroyés aux Marocains. La mesure a été jugée arbitraire et a été dénoncée par de nombreux Marocains qui vu leur dossier rejeté alors qu’ils ont des déplacements professionnels, ou devaient se rendre en France pour des soins médicaux…
L’image de Paris s’est dégradée au sein de royaume face à cette mesure mais également sur la manifeste indisposition de la France à bouger sur le dossier du Sahara, un dossier qui est « le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement et le critère clair et simple par lequel il mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats », avait prévenu le Roi Mohammed VI dans son discours prononcé le 20 août.
Et alors que le discours du Roi interpellait la France, sans la citer, une déclaration hasardeuse du chef de la diplomatie européenne, Josep Borell, rapidement corrigée par la suite dans un entretien à l’agence espagnole Efe, avait noté une préférence pour l’Europe d’une solution basée sur une consultation du peuple sahraoui.
Cette mégarde intervenait simultanément avec la visite de 3 jours d’Emmanuel Macron en Algérie, pays qui entretient des relations ultra-conflictuelles avec son ancien colonisateur. Pourtant, cette fois-ci, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a réservé à son homologue français une visite placée sous le signe du rapprochement et de l’amitié.
Contacté par Hespress, l’Elysée a donné sa réponse par rapport aux récents propos du président français Emmanuel Macron qui annonçait son déplacement à Rabat fin octobre. Dans sa réponse, l’Elysée ne confirme rien, et indique qu’il existe des « options ».
Le président français Emmanuel Macron, a annoncé sa prochaine venue au Maroc fin octobre, en marge d’un festival de musique électronique samedi, le Touquet Music Beach. Le chef d’Etat français venait tout juste de terminer une visite officielle en Algérie.
Concernant cette potentielle visite au Maroc, l’Elysée n’a pas souhaité confirmer la date « pour le moment », se contentant d’affirmer qu’il existe des options.
Les relations entre le Maroc et la Franc traversent une période de froid, après la décision des autorités françaises de réduire de 50% les visas octroyés aux Marocains. La mesure a été jugée arbitraire et a été dénoncée par de nombreux Marocains qui vu leur dossier rejeté alors qu’ils ont des déplacements professionnels, ou devaient se rendre en France pour des soins médicaux…
L’image de Paris s’est dégradée au sein de royaume face à cette mesure mais également sur la manifeste indisposition de la France à bouger sur le dossier du Sahara, un dossier qui est « le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement et le critère clair et simple par lequel il mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats », avait prévenu le Roi Mohammed VI dans son discours prononcé le 20 août.
Et alors que le discours du Roi interpellait la France, sans la citer, une déclaration hasardeuse du chef de la diplomatie européenne, Josep Borell, rapidement corrigée par la suite dans un entretien à l’agence espagnole Efe, avait noté une préférence pour l’Europe d’une solution basée sur une consultation du peuple sahraoui.
Cette mégarde intervenait simultanément avec la visite de 3 jours d’Emmanuel Macron en Algérie, pays qui entretient des relations ultra-conflictuelles avec son ancien colonisateur. Pourtant, cette fois-ci, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a réservé à son homologue français une visite placée sous le signe du rapprochement et de l’amitié.
Pas besoin de visite officiel et se taper tout le folklore local 
Commentaire