Comme hier Netanyahou, le premier ministre israélien Yaïr Lapid juge que l’accord international sur le nucléaire iranien est un « désastre stratégique » et voudrait convaincre Joe Biden de ne pas le signer. Mission quasi désespérée : le président américain estime que l’accord conclu par Obama et rompu par Trump était une victoire de la diplomatie démocrate. Et un pas vers la paix au Moyen-Orient.
René Backmann
27 août 2022 à 12h04
Deux jours après avoir décidé d’envoyer à Washington son conseiller à la sécurité nationale, Eyal Hulata, pour tenter de convaincre l’administration Biden de ne pas ressusciter l’accord nucléaire avec l’Iran, le premier ministre israélien Yaïr Lapid a manifestement jugé que la capacité de conviction de son émissaire était insuffisante et choisi d’augmenter singulièrement le calibre politique de son offensive diplomatique. Depuis mercredi, ce n’est plus désormais le seul Hulata (diplômé de Harvard et agent du Mossad pendant 25 ans) qui est chargé de mettre en garde les dirigeants des États Unis contre les dangers d’un retour sur à l’accord de 2015.
La suite sur mediapart
René Backmann
27 août 2022 à 12h04
Deux jours après avoir décidé d’envoyer à Washington son conseiller à la sécurité nationale, Eyal Hulata, pour tenter de convaincre l’administration Biden de ne pas ressusciter l’accord nucléaire avec l’Iran, le premier ministre israélien Yaïr Lapid a manifestement jugé que la capacité de conviction de son émissaire était insuffisante et choisi d’augmenter singulièrement le calibre politique de son offensive diplomatique. Depuis mercredi, ce n’est plus désormais le seul Hulata (diplômé de Harvard et agent du Mossad pendant 25 ans) qui est chargé de mettre en garde les dirigeants des États Unis contre les dangers d’un retour sur à l’accord de 2015.
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