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Energie: L’ue examine l’option de financement du méga-projet gazoduc nigeria-maroc

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  • Energie: L’ue examine l’option de financement du méga-projet gazoduc nigeria-maroc

    Alors que la Russie réduit peu à peu les livraisons de gaz via le gazoduc Nord Stream à l'Europe, à cause de la crise ukrainienne, l’UE examine l’option de financement du gazoduc Nigeria-Maroc. Une nouvelle source d’approvisionnement du Vieux continent. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath.

    Alors que la crise gazière est ravivée, dans le continent européen, par la guerre en Ukraine, l’Union européenne (UE) multiplie ses efforts et examine de nouvelles pistes pour assurer de nouvelles sources d’approvisionnement en gaz. Dans ce cadre, l’option du gazoduc Nigeria-Maroc, censé relier le Nigeria au Maroc jusqu’à la péninsule ibérique, serait envisagée comme «une alternative au gaz russe, devenu une arme politique pendant cette crise de la guerre en Ukraine».



    C’est d’ailleurs cette pression de la crise qui aurait poussé «les Européens à entrer en contact avec le Maroc pour ce nouveau projet de gazoduc Nigeria-Maroc», rapporte le quotidien Al Ahdath Al Maghribia dans son édition du mardi 9 août, sur la base d’informations publiées par des médias espagnols.



    La source du quotidien souligne que «la question n’est pas nouvelle puisque, depuis la fin de l’année 2021, des entreprises internationales et les gouvernements africains concernés aspiraient à ce que ce projet censé relier le Nigeria au Maroc jusqu’à l’Espagne se concrétise». Cet intérêt s’est accru dernièrement pour faire face à la crise, ajoute la même source.



    C’est ainsi, poursuit le quotidien, que le président nigérian, Muhammadu Buhari, a invité «les pays de l’Union européenne et le Royaume-Uni à investir dans ce gazoduc Nigeria-Maroc afin de résoudre la situation de crise énergétique et d’assurer une sécurité énergétique pour des pays africains, en plus de l’Europe et d’autres pays occidentaux». Et d’appeler, à ce propos, les Européens «à nouer un partenariat à long terme» afin de concrétiser «ce projet qui aiderait à résoudre la situation de crise énergétique dans le Vieux continent».



    Ce mégaprojet projet, rappelle le quotidien, lancé, en mai 2017, par le Roi du Maroc, Mohammed VI et le président nigérian, Muhammadu Buhari, est perçu comme un modèle de coopération sud-sud pour connecter ce gazoduc, qui traverserait d’autres pays africains, au marché européen. Le projet, qui jouit d’un grand soutien de la part de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, alimentera en gaz naturel des pays de l’Afrique de l’Ouest avant d’atteindre l’Europe.
    Par Mohamed Younsi


  • #2
    Article sans substance liée au titre,
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3
      le Roi du Maroc, Mohammed VI et le président nigérian, Muhammadu Buhari, est perçucomme un modèle de coopération sud-sud pour connecter ce gazoduc,
      Niveau la maternelle , article destiné aux 3ayachas
      البعره تدل على البعير

      Quand l’injustice devient la loi, la Résistance est un Devoir !✊🏼DZ

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      • #4
        Du vent!

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        • #5
          Encore de la pollution des Ayachas

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          • #6
            les voisins se sentent plus connectés à ce gazoduc que les marocains....


            tu ouvres un topic sur ce gazoduc, tout les voisins sont là pour nous expliquer que ca ne marchera pas


            reposez vous les gars, c'est un projet mort né, comme le votre

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            • #7
              Overlocker, pourtant le gazoduc Algérie Nigeria a déjà commencé

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              • #8
                oui oui, avec teboune tout a commencé....tu sais même l'Algérie nouvelle est là avec teboune

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                • #9
                  C’est d’ailleurs cette pression de la crise qui aurait poussé «les Européens à entrer en contact avec le Maroc pour ce nouveau projet de gazoduc Nigeria-Maroc»


                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    Overlocker l'universitaire. Il suffit de suivre les informations. Tu as youtube gratuit

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                    • #11
                      OUI OUI Le le gazoduc Algérie Nigeria a déjà commencé exactement comme la route transsaharienne qui n'existe que sur le journal de 20h à Alger
                      Veuillez admirer la splendeur du Transsaharienne mais non mais non !!!

                      Commentaire


                      • #12
                        . Tu as youtube gratuit

                        je comprend le truc mtn.... les youtubes de la cachirerie sont devenu la source de l'information....

                        continue à dévoiler comment vous fonctionnez, un régal...

                        Commentaire


                        • #13
                          ....sur la base d’informations publiées par des médias espagnols.
                          Le média espagnol dont il s'agit est lainformacion.com, un média espagnol basé à Madrid.


                          Atravesará una decena de países

                          La UE y Rabat estudian cómo financiar el gasoducto que unirá Nigeria y España


                          La directora general de la Oficina Nacional de Hidrocarburos y Minerales del reino aluita asegura que está en conversaciones con Europa, mientras que la CE afirma que Nigera tiene potencial para contribuir más.

                          JAVIER LEAL NOTICIA05.08.2022 - 04:30h
                          Actualizado: 06.08.2022 - 10:59h


                          El tablero geopolítico sigue agitándose cada mes al únisono de lo que marca el gas. El escenario es complejo, sobre todo para Europa, que ya contempla como una evidencia el hipotético corte de gas ruso. Una situación que les ha empujado a rastrear nuevas fuentes de suministro. Así, la directora general de la Oficina Nacional de Hidrocarburos y Minerales de Marruecos, Amina Benkhadra, aseguró en una entrevista para un medio francófobo del reino alauita que su país "está en conversaciones con Europa para garantizar la financiación del gasoducto Nigeria-Marruecos". Una espontánea declaración que en Bruselas confirman a este periódico con mayor cautela. "Estamos explorando las opciones para aumentar las importaciones de GNL de Nigeria. Este país ya es el cuarto mayor exportador a la UE, pero tiene potencial para contribuir aún más".



                          Bruselas atisba en los yacimientos nigerianos una oportunidad que llena de esperanza a los territorios europeos, por la posibilidad real de huir del yugo de Putin. Un socio -Nigeria- fiable para el Viejo Continente por su capacidad de exportar el hidrocarburo en estado líquido en estos últimos años. Además, las relaciones entre este territorio, considerado como un aliado, y la UE se han ido fortaleciendo con el paso del tiempo.

                          Este proyecto no es ninguna novedad en los despachos de Bruselas. Desde finales de 2021, compañías internacionales, diversos gobiernos africanos y organismos relevantes han estado zarandeando la posibilidad de que el gasoducto que una Nigeria con España (a través de Marruecos) sea una realidad. Un plan que, de materializarse, atravesará por mar una decena de países africanos (Benin, Togo, Ghana, Costa de Marfil, Liberia, Sierra Leona, Guinea Conakri, Guinea-Bissau, Gambia, Senegal, Mauritania, la costa del Sáhara Occidental y, por último, Marruecos). Quizá, el largo recorrido y la extensa lista de países que había que poner de acuerdo fue lo que incitó a Argel a entrometerse en la propuesta de Rabat y ofrecer a Abuja un gasoducto paralelo desde su país hasta Argelia atravesando un único territorio. Una oferta que fracasó por la desconfianza que suscitaba hacer cruzar el gas por el inestable Sahel.

                          "El nuevo gasoducto lo están construyendo por la costa oeste para evitar el conflicto que hay por Niger (al norte de Nigeria)", sostiene Anthony, un antiguo trabajador de WAPCo (la compañía que explota el gasoducto WAGP, un tubo que suministra gas desde Nigeria hasta Ghana, pasando por Togo y Benin). "Mis colegas que aún trabajan allí están especulando sobre si el 'gran tubo' que llegará a Europa desde Nigeria va a ser a partir del construido o a través de uno nuevo", sentencia.

                          Pero aunque este proyecto ya era una vieja aspiración desde hacía varios años, tuvo una fecha clave para que fuese una realidad hace relativamente poco tiempo: el 20 de diciembre de 2021. Ese día tuvo lugar una cumbre entre Rabat y Jeddah a la que asistió el vicepresidente del Banco Islámico de Desarrollo, Mansur Muhtar, y la ministra de Economía y Finanzas marroquí, Nadia Fettah. El resultado fue la firma de una serie de acuerdos de financiación para el diseño del gasoducto.

                          A partir de entonces, todo se aceleró. Así, la Oficina Nacional de Hidrocarburos y Minas marroquí junto con la compañía nacional de petróleo de Nigeria, NNPC, (integrada dentro de la joint venture de WAPCo, donde también está la norteamericana Chevron o la británica Shell) se hicieron con las riendas del nuevo proyecto. Un plan cuya viabilidad se allanó aún más tras recibir la compañía estatal nigeriana luz verde por parte de su gobierno para lograr un acuerdo con la comunidad económica Ecowas (que integra a varios de los países que se beneficiarán del recorrido del gasoducto).

                          La parada final de este megaproyecto, que costará varios miles de millones y que tendrá un recorrido de más de 7.000 kilómetros, será España. De momento, se desconoce si se construirá un nuevo gasoducto o si se aprovechará el ya construido de Magreb por donde ya no bombea gas argelino (que atraviesa el estrecho de Gibraltar hasta llegar a la provincia de Cádiz). Un nuevo escenario que podría despejar los bandazos diplomáticos ejercidos por Sánchez cuando aceptó reconocer la pasada primavera que el Sáhara Occidental -que será un lugar clave por donde pase el futuro tubo- sea una provincia autónoma bajo la jurisdicción del rey aluí Mohamed VI.

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                          • #14
                            L'Union européenne examine le projet de cannabis et n'a pas prêté attention au gazoduc israélien plus proche de l'Europe que du Nigeria

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                            • #15
                              Le gazoduc on et offshore sera d’une longueur totale de ….7000 km

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