Sahara : L’Espagne adresse une nouvelle mise en garde à l’Algérie
Alors qu'Alger ouvre de nouveaux fronts dans sa guerre commerciale contre l’Espagne, le gouvernement espagnol a adressé, hier et depuis la Chambre basse du Parlement, une nouvelle mise en garde à l’Algérie suite à la crise diplomatique née du soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d'autonomie au Sahara.
«L'Espagne est un membre de l'Union européenne et tout pays tiers doit savoir que tout acte dans le domaine commercial est une action contre l'UE. Pour nous c'est une grande force, car ensemble nous sommes plus forts», a averti la première vice-présidente de l’exécutif, ministre des Affaires économiques et de la Transformation digitale, Nadia Calviño.
Pour rappel, le 11 juin dernier, l’UE avait affirmé dans un communiqué, «être prête à s’opposer à tout type de mesures coercitives appliquées à l’encontre d’un Etat membre. Cela conduirait à un traitement discriminatoire d’un Etat membre de l’UE et nuirait à l’exercice des droits de l’Union au titre de l’accord» d’association conclu avec Alger en 2005.
Devant les députés, Mme Calviño a indiqué, hier, que son pays souhaite tenir les meilleures relations avec le Maroc et l’Algérie, rapporte Europa Press. Et d’enchainer en révélant que son gouvernement «travaille de manière discrète et responsable pour avoir de bonnes relations avec l’Algérie». De son côté, le ministre des Affaires étrangères,
Yabi ladi
Alors qu'Alger ouvre de nouveaux fronts dans sa guerre commerciale contre l’Espagne, le gouvernement espagnol a adressé, hier et depuis la Chambre basse du Parlement, une nouvelle mise en garde à l’Algérie suite à la crise diplomatique née du soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d'autonomie au Sahara.
«L'Espagne est un membre de l'Union européenne et tout pays tiers doit savoir que tout acte dans le domaine commercial est une action contre l'UE. Pour nous c'est une grande force, car ensemble nous sommes plus forts», a averti la première vice-présidente de l’exécutif, ministre des Affaires économiques et de la Transformation digitale, Nadia Calviño.
Pour rappel, le 11 juin dernier, l’UE avait affirmé dans un communiqué, «être prête à s’opposer à tout type de mesures coercitives appliquées à l’encontre d’un Etat membre. Cela conduirait à un traitement discriminatoire d’un Etat membre de l’UE et nuirait à l’exercice des droits de l’Union au titre de l’accord» d’association conclu avec Alger en 2005.
Devant les députés, Mme Calviño a indiqué, hier, que son pays souhaite tenir les meilleures relations avec le Maroc et l’Algérie, rapporte Europa Press. Et d’enchainer en révélant que son gouvernement «travaille de manière discrète et responsable pour avoir de bonnes relations avec l’Algérie». De son côté, le ministre des Affaires étrangères,
Yabi ladi
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