Ils l'appelaient : ''mahfoud polisario'', autant dire qu'il n'y a pas d'autres qualificatifs pour le grand connaisseur de tout ce qui touche au dossier du polisario et autour de son organisation et la marche de sa vie a l'intérieur et à l'extérieur de l'Algérie .
la décision d'expulser l’homme est venu de tebnoune en personne ,lui-même, qui a nommé le général Jamal Kahal, plus connu sous le nom de Majdoub, à la tête de ce service hautement sensible.
Il faut ajouter que la Direction générale de la documentation et de la sécurité extérieure (DGDSE) s'est retrouvée au centre d'une tempête il y a quelques mois, après avoir ouvert une enquête contre son ancien directeur général, le général Youssef Bouzit, et plusieurs cadres de la fondation. Ce général est incarcéré à la prison militaire de Blida.
tebboune a également sacrifié Hussein Boulahia, chargé de traquer les opposants à l'étranger, celui-ci a cependant donné quelques résultats, avec des livraisons depuis l'Espagne, comme celle de Mohamed Ben Halima, en mars dernier.
Mahfoud polisario et Hussein Boulahia, ont fait également les frais de la colère du Canada après que cet état ait découvert sur son sol un réseau d'espionnage ciblant les opposants algériens.
Mais le coup de grâce a été le rapprochement entre Rabat et Madrid en mars dernier. En fait, les services de renseignement ne s'attendaient pas à ce que l'Espagne soutienne le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour le Sahara.
un tel échec retentissant, pour tebboune et son acolyte le militaire incontinent, constitue la goutte d'eau qui a fait déborder le vase,et l'expulsion de mahfoud polisario est tombé sur ce dernier sèche comme la lame d'une guillotine.
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