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En territoires espagnols d'Afrique du Nord, c'est guère plus de 5% d'ibériques qui saluent le pacte passé entre le despote Sanchez et le narcotrafiquant et addictif à la coke l'empereur M6. Mais ce pacte est illégal en Espagne et ce faisant, peu d'Espagnols en sont concernés.
Comme en dictature marocaine avec M6, seul le roi Felipe VI peut conclure un tel acte.
- Environ 48% des Espagnols n’appuient pas les accords conclus entre leur chef du gouvernement et le roi Mohammed VI, indique un sondage réalisé au profit d’un média ibérique. Ils estiment que la «nouvelle étape» dans les relations entre les deux pays, initiée dans le sillage du soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d’autonomie au Sahara occidental, serait «préjudiciable» aux intérêts de leur pays. En revanche, 25% des personnes ayant fait l’objet de l’enquête d’opinion, menée du 20 au 22 avril, pensent le contraire alors que 28% n’ont pas souhaité répondre à la question.
La répartition des votes a montré que 38,3% des partisans d’Unidas-Podemos soutiennent la normalisation des relations avec Rabat, y compris le changement de la position sur la question du Sahara. Un pourcentage qui s’inscrit en faux contre la ligne suivie, depuis le 18 mars, par la direction de la coalition d’extrême gauche-.
Ya...bi
Comme en dictature marocaine avec M6, seul le roi Felipe VI peut conclure un tel acte.
- Environ 48% des Espagnols n’appuient pas les accords conclus entre leur chef du gouvernement et le roi Mohammed VI, indique un sondage réalisé au profit d’un média ibérique. Ils estiment que la «nouvelle étape» dans les relations entre les deux pays, initiée dans le sillage du soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d’autonomie au Sahara occidental, serait «préjudiciable» aux intérêts de leur pays. En revanche, 25% des personnes ayant fait l’objet de l’enquête d’opinion, menée du 20 au 22 avril, pensent le contraire alors que 28% n’ont pas souhaité répondre à la question.
La répartition des votes a montré que 38,3% des partisans d’Unidas-Podemos soutiennent la normalisation des relations avec Rabat, y compris le changement de la position sur la question du Sahara. Un pourcentage qui s’inscrit en faux contre la ligne suivie, depuis le 18 mars, par la direction de la coalition d’extrême gauche-.
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