Emmanuel Macron a reçu lundi après-midi le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez pour s'accorder sur des "solutions efficaces" à la flambée des prix de l'énergie liée à la guerre en Ukraine, à l'approche d'un sommet européen qui sera en partie consacré à cette question.
Il s'agit de "faire converger des solutions efficaces afin de limiter l’augmentation des prix du gaz, de limiter l’impact sur les prix de l’électricité, d’avoir des solutions de stockage commun en Europe et de diversifier nos sources d’approvisionnement", a déclaré le chef de l'Etat en accueillant M. Sanchez à l'Elysée.
La priorité est de "préparer la protection des ménages et des entreprises à court terme, et notre capacité à résister à moyen terme", en préservant "notre sécurité énergétique pour l’hiver prochain", a-t-il ajouté face à la presse.
Pedro Sanchez a rencontré vendredi à Rome les dirigeants italien, grec et portugais pour "définir une approche commune" afin de "pousser la Commission européenne et les autres pays membres à adopter des mesures importantes de protection pour tous les Etats", selon le chef du gouvernement italien Mario Draghi, en évoquant des achats et un stockage "communs" du gaz.
L'Allemagne s'est opposée à un embargo immédiat sur les hydrocarbures russes, dont elle dépend fortement. Le Kremlin a estimé lundi qu'un potentiel embargo européen sur le pétrole russe frapperait "tout le monde".
Il s'agit de "faire converger des solutions efficaces afin de limiter l’augmentation des prix du gaz, de limiter l’impact sur les prix de l’électricité, d’avoir des solutions de stockage commun en Europe et de diversifier nos sources d’approvisionnement", a déclaré le chef de l'Etat en accueillant M. Sanchez à l'Elysée.
La priorité est de "préparer la protection des ménages et des entreprises à court terme, et notre capacité à résister à moyen terme", en préservant "notre sécurité énergétique pour l’hiver prochain", a-t-il ajouté face à la presse.
Pedro Sanchez a rencontré vendredi à Rome les dirigeants italien, grec et portugais pour "définir une approche commune" afin de "pousser la Commission européenne et les autres pays membres à adopter des mesures importantes de protection pour tous les Etats", selon le chef du gouvernement italien Mario Draghi, en évoquant des achats et un stockage "communs" du gaz.
L'Allemagne s'est opposée à un embargo immédiat sur les hydrocarbures russes, dont elle dépend fortement. Le Kremlin a estimé lundi qu'un potentiel embargo européen sur le pétrole russe frapperait "tout le monde".
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