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Afrique du Sud- Maroc: commet comprendre leur inimité?

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  • Afrique du Sud- Maroc: commet comprendre leur inimité?

    La dictature marocaine se focalise généralement sur l'Algérie afin de berner son peuple et créer une aversion entre Algériens et Marocains, mais pourquoi elle (dictature marocaine) est muette à propos de son hostilité envers l'Afrique du Sud depuis son soutien à l'apartheid?

    A vous?

  • #2
    Pour rappel:

    - Histoire : Quand le Maroc livrait des armes à l’ANC de Mandela

    En 1962, la première livraison d’armes aux combattants de l’ANC a été marocaine. Nelson Mandela avait même séjourné quelques mois au royaume. Abdelkrim El Khatib avait joué un rôle très important dans le rapprochement entre Hassan II et Mandela. Les deux hommes allaient se rencontrer, une deuxième fois, en 1994 à Rabat, mais cette fois-ci plutôt par courtoisie. Durant les longues années d’incarcération de Mandela, le Maroc s’est éloigné de l’ANC et s’est rapproché du régime sud-africain.

    Ya...bi

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    • #3

      Maroc-Afrique du Sud: le match qu’il ne faut pas perdre.

      L'équipe nationale va croiser le fer avec l'Afrique du Sud au stade Assalam du Caire à 17h (heure marocaine), dans le cadre de la troisième et dernière journée de la phase de poules


      Sur quelles chaines suivre le match ?

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      • #4
        Il paraît que le peuple marocain méconnaît totalement l'animosité qui oppose la dictature marocaine à l'Afrique du Sud (dixit mon épouse d'origine du Rif mais native de Mohammédia).

        Cela en dit long sur l'imposture marocaine envers son peuple.
        Dernière modification par rago, 16 mars 2022, 12h45.

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        • #5
          A la vérité est que Madame Nkosazana Dlamini-Zuma exigeait que la dictature marocaine ratifie les Statuts de l'Union africaine (UA) auparavant d'adhérer à l'UA,. Dès lors que la dictature marocaine avait ratifier lesdits Statuts- synonyme de l reconnaissance de la RASD- aucun obstacle se posait à l'adhésion marocaine sinon que payer les arriérés de ses subventions (de 1984 à 1986).

          - Nkosazana Dlamini-Zuma, le «cauchemar» sud-africain du Maroc ?

          Quelle en est l’origine ? C’est la question que nous avons posé à Khalid Cherkaoui Semmouni, directeur du Centre de Rabat pour les études politiques et stratégiques (CREPS), selon qui la réponse à cette question est «la politique d’obstruction menée par la présidente de la Commission de l'UA pour empêcher le Maroc d’achever le processus d’adhésion à l'Union africaine». Il fait également savoir que :

          «Les tentatives de la présidente de la Commission de l'Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, d’entraver l’adhésion du Maroc à l'Union africaine en retardant la distribution de la demande du royaume aux Etats membres est un acte injustifiée qui se contredit avec son devoir d'impartialité. La présidente de la CUA est Sud-africaine, donc issue d’un Etat qui soutient la thèse du Polisario.»

          Tout en rappelant que la demande du Maroc été approuvée par «la majorité des États membres et le chiffre dépasse nettement celui indiqué par l’Acte fondateur de l'Union africaine, en particulier les dispositions des paragraphes 1 et 2 de l'article 29», notre interlocuteur pense savoir les raisons derrières de tels actes. «La présidente de la commission espère ne pas inscrire la demande du Maroc à l'ordre du jour du sommet de l'UA qui se tiendra en janvier 2017 à Addis-Abeba, pour que le royaume perde l'occasion de récupérer sa place, ce qui est incompatible avec le principe des bonnes intentions, un des piliers des relations internationales», nous indique-t-il.

          «Arrêter de créer des victoires fictives» et «s’adresser à l’opinion internationale»

          Pour sa part, Mohamed Hafid, professeur des relations internationales à l’Université Sultan Moulay Slimane de Béni Mellal et membre du bureau politique du Parti socialiste unifié pointe du doigt les réels points de faiblesse de la diplomatie marocaine. «Il y a plusieurs Etats en Afrique qu’on peut mettre dans trois catégories : les pays qui soutiennent l’intégrité territoriale du Maroc, ceux qui restent neutres sur cette question, et enfin les pays qui soutiennent la thèse de la "République arabe sahraouie démocratique". Cette question devait occuper une place centrale avant toute action ou réaction», nous dit-il.

          Ya..bi


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          • #6
            En soutenant l'apartheid sud-africain, la dictature avait commis sa plus grave erreur de tous les temps. En effet, ladite dictature se voit opposée au trio Afrique du Sud, Algérie et Nigéria; à savoir les seuls pays véritablement crédibles du continent africain.

            - Guerre en Ukraine : pourquoi l’Afrique du Sud ne veut pas prendre parti

            ANALYSE. Le pays est l’un des 35 à s’être abstenus lors du vote aux Nations unies de la résolution exigeant que la Russie cesse son intervention, comme 14 autres pays africains.

            Alors que la majorité des pays du globe ont condamné mercredi 2 mars l'invasion de l'Ukraine par la Russie, exigeant dans une résolution qu'elle « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires », un certain nombre de nations se sont abstenues de s'exprimer, et parmi elles : l'Afrique du Sud. « La résolution que nous avons étudiée aujourd'hui ne crée pas un environnement propice au dialogue démocratique et à la médiation », a justifié l'ambassadeur d'Afrique du Sud aux Nations unies.

            Dans la nation arc-en-ciel, ce vote « blanc » n'est pas une surprise. Depuis le début du conflit en Ukraine. Le président Cyril Ramaphosa appelle à une « médiation », plutôt qu'au retrait des troupes russes. Même discours pour son parti, l'ANC, qui estime que ce n'est pas dans la ligne du parti d'exiger des Russes un tel retrait.

            « Ce n'est pas dans la tradition ou dans l'histoire du parti de condamner, » explique Candice Moore, politologue à l'université de Witswatersrand, à Johannesburg. « Les seules fois où l'Afrique du Sud a pris parti, c'est avec la Palestine et le Sahara occidental. Le parti est très fier de son histoire et de la façon dont il a résolu le conflit à la fin de l'apartheid. Il se voit toujours plutôt comme un acteur qui peut partager son expertise avec des pays dans la même situation. »

            Le Point.fr

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            • #7
              Soubhan allah les ragots initiés par le membre rago sont tous sous forme de monologue, il parle à lui-même. Personne ne s'intéresse. Quelqu'un a une explication ?

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              • #8
                Rappelons-nous que l'Afrique fut la première nation africaine à s'opposer à la candidature marocaine pour l'acquisition de l'organisation de la coupe du monde de football de 2026 car la dictature la dictature marocaine avait disputé au pays de Mandela l'octroi de la coupe du monde de 2010.

                Connaissiez-vous cette incurie de la dictature alaouite?

                - En 2003, la compétition pour la désignation du pays hôte de la Coupe du monde de football en 2010 met aux prises… l’Afrique du Sud et le Maroc. De part et d’autre, la campagne prend un tour nationaliste malsain, et les arguments échangés – qui vont jusqu’à la mise en cause de ces deux institutions que sont la monarchie et la personne de Nelson Mandela – laissent des traces au sein de l’opinion. Le Maroc perd et, dans ce contexte, la réitération de l’offre sud-africaine de médiation ne pouvait qu’être mal accueillie à Rabat-.

                Jeune Afrique

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                • #9
                  A relever que la dictature marocaine est le seul pays d'Afrique à être en brouille avec l'Afrique du Sud et c'est peu dire!

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                  • #10
                    - Le bourbier diplomatique du Maroc

                    Alors que les tensions avec ses alliés s’accumulent et que croît l’hostilité avec ses ennemis, le pays est sur une pente dangereuse.

                    Au-delà de la gestion précipitée de la pandémie de Covid-19 par l’État, de l’atteinte progressive aux droits de l’homme et à la liberté d’expression, et du taux de chômage du pays qui a atteint son paroxysme depuis 2001, le pays a essuyé de nombreux revers au niveau diplomatique.

                    La réticence des États-Unis à apporter une aide militaire ou le refus de vendre des drones d’attaque au Maroc sont autant de signes supplémentaires qui montrent le refroidissement des relations entre ces deux pays

                    Refroidissement d’une amitié historique avec les États-Unis

                    Pourtant, le Maroc a toujours été le protégé des cercles politiques américains, et ce, depuis la création des États-Unis. Le Maroc a d’ailleurs été le premier à avoir reconnu l’indépendance des États-Unis en 1777. Pour comprendre la situation actuelle, il faut donc remonter en 2015, lorsque le roi Mohammed VI avait fait une promesse de don de 12 millions de dollars à la Fondation Clinton, s’opposant ainsi de facto à Donald Trump. Le Maroc s’était alors retrouvé dans le collimateur de Donald Trump lors de la campagne présidentielle de 2016, ainsi que durant son mandat présidentiel, puisqu’aucune réunion officielle n’avait eu lieu entre les deux pays. Ce n’est qu’à la toute fin du mandat de Donald Trump qu’un revirement avait eu lieu avec la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le territoire contesté du Sahara occidental, en échange de la normalisation des liens du Maroc avec Israël. Cette décision unilatérale a été vivement critiquée par de nombreuses personnalités politiques au sein de l’establishment américain, à la fois chez les démocrates et chez les républicains.

                    Celles-ci demandent encore aujourd’hui à leur président, Joe Biden, de revenir sur la décision de son prédécesseur, car ils considèrent les revendications du Royaume du Maroc comme “illégitimes”. L’administration Biden, qui a pris soin de rester neutre sur ce sujet, se retrouve donc en difficulté puisqu’elle ne semble pas résolue à approfondir la mise en œuvre de la proclamation de souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara. Mais elle ne peut pas non plus faire marche arrière sous peine de mettre en danger le rétablissement des relations entre Israël et le royaume chérifien.

                    Le Nouvel Economiste


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