3 mars 2022
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise, dit l’adage. Vladimir Poutine a dit « stop ! Ça suffit ! » Voilà des années que la Russie voit s’implanter des bases de l’OTAN tout autour de son territoire, de plus en plus proches. L’OTAN n’en finit pas de mener des manœuvres au plus près des frontières russes avec une arrogance allant crescendo. 175 000 soldats de l’OTAN sont déjà positionnés aux frontières de la Russie avec une puissance de feu massive et des formations aériennes et navales entourant le pays de toutes parts. C’était intenable pour la Russie. Poutine a pourtant fait preuve d’une grande patience et a voulu négocier à maintes reprises mais les Etats-Unis sont restés intraitables. Malgré leur promesse de ne jamais étendre l’OTAN à l’est lors de la réunification de l’Allemagne, ils ont grignoté le territoire des anciens pays de l’ex-Union soviétique jusqu’aux portes de la Russie.
L’Occident est allé trop loin en fomentant un coup d’Etat en Ukraine en 2014 suite aux nombreuses manifestations organisées à Kiev en réaction à l’annonce du président Ianoukovytch de préférer conclure des accords avec la Russie plutôt qu’avec l’Europe. Derrière ces manifestations appelées « l’Euromaïdan », on trouve la CIA et sa Radio Free Europe/Radio Liberty qui émet en Europe et au Moyen Orient, offrant des programmes dans toutes les langues pour déstabiliser des pays. Réalisé par un mélange répugnant composé d’une belle brochette de charognards, tels que des agents de la CIA et autres services de pays de l’OTAN, d’ONGs dont International Renaissance Foundation de George Soros, des nazis de Svoboda et autres nostalgiques de Stepan Bandera, un nationaliste ukrainien qui s’est illustré au cours de la seconde guerre mondiale en collaborant avec l’Allemagne nazie et en créant la Légion ukrainienne sous commandement de la Wehrmacht, ce coup d’Etat a mené à la fuite puis à la destitution du président Viktor Ianoukovytch considéré comme trop proche de la Russie. Depuis la chute de l’URSS, l’Ukraine était le point de concentration de toute l’attention de l’empire qui n’a de cesse de vouloir déstabiliser la Russie en créant de fausses « révolutions » dans tous les pays qui l’entourent et toujours avec le financement des ONG de George Soros. Déjà en 2004, on avait vu la « révolution orange » qui a marqué le rapprochement de l’Ukraine avec l’Europe et l’OTAN.
L’empire avait donc gagné et a installé ses marionnettes à la tête de l’Ukraine livrée à une bande de nazis et de bandits rivalisant d’ignominie. Quand on donne le pouvoir aux fascistes, on peut s’attendre au pire. La haine ethnique s’est installée, propagée par les médias et le pouvoir. Les partis nazis Svoboda et Pravy Sektor financés par les Occidentaux, organisaient des camps d’entraînement et formaient des bataillons paramilitaires qui défilaient dans les rues sous les acclamations des civils, comme au bon vieux temps de Tonton Adolphe. Et le pire est arrivé, avec la bénédiction des « grandes démocraties » que sont les Etats-Unis et l’Union européenne. Tout ce qui était pro-Russe, communiste, antifasciste, rom, était pourchassé et lynché dans les rues. C’est le massacre d’Odessa, le 2 mai 2014, qui a montré au monde ce dont étaient capables ces nazis soutenus par Oncle Sam et l’UE. 48 personnes d’ascendance russe qui s’étaient rassemblées devant la Maison des Syndicats, ont été massacrées, les Ukrainiens « innocents » ayant mis le feu au bâtiment où elles s’étaient réfugiées pour échapper à la folie furieuse de cette horde de nazis bavant la haine. La plupart ont été brûlés vifs, dont des gamins de 16 ans et des pensionnés, et ceux qui sautaient dans le vide pour échapper aux flammes étaient battus à mort avec des barres de fer. Une femme enceinte a été étranglée avec le cordon d’un téléphone dans l’un des bureaux. Et pendant ce temps-là, des civils au-dehors remplissaient des cocktails molotov pour aviver l’incendie. Voilà ce qu’est l’Ukraine aujourd’hui : un peuple de nazis pour la plupart, et fiers de l’être. Les autres vivent dans la terreur depuis des années. D’ailleurs, beaucoup de ceux qui fuient le pays devant l’avancée de l’armée russe savent qu’il va leur en cuire pour ce qu’ils ont fait ou laissé faire. La preuve, c’est que malgré le fait qu’ils soient devenus des réfugiés, cela ne les empêche pas de montrer leur racisme dégoûtant en refoulant les personnes noires, arabes ou asiatiques pour les précéder au passage de la frontière. Et ce sont ces gens-là que l’Europe accueille à bras ouverts…
Dans l’est de l’Ukraine, le Donbass, région minière, où s’étaient installés des familles russes du temps de l’URSS, la population étant forcément proche de la Russie à travers des liens de parenté et de culture, s’est vu interdire de parler la langue russe et a été considérée ouvertement comme une sous-race : bombardements, pogroms, viols, crucifixions, et toutes les horreurs que peuvent commettre les fascistes lorsqu’ils sont déchaînés. Leur but était de « nettoyer » cette région de tout russophone. Comprenant qu’elle était destinée à être exterminée, la population du Donbass s’est rassemblée et a fait sécession, réclamant son autonomie. Le Protocole de Minsk a été mis en place pour mettre fin à la guerre qui sévissait au Donbass, l’armée ukrainienne pilonnant sans relâche la région autonome. Il y eu 14 000 morts au Donbass depuis 2014, pour la plupart des civils, sans que l’UE ne bronche. L’accord réclamant un cessez-le-feu immédiat a été signé le 5 septembre 2014 par les représentants de l’Ukraine, de la Russie, de la République populaire de Donetsk (DNR) et de la République populaire de Lougansk (LNR) pour mettre fin à la guerre en Ukraine orientale. Il n’a jamais été respecté par Kiev. Voici un petit aperçu de la façon dont les gens du Donbass sont perçus par l’Ukraine avec le discours de l’ancien président Porochenko en décembre 2014 : « Nous aurons du travail et eux non ! Nous aurons les retraites et eux non ! Nous aurons des avantages pour les retraités et les enfants, eux non ! Nos enfants iront à l’école et à la garderie, leurs enfants resteront dans les caves ! Parce qu’ils ne savent rien faire ! Et c’est comme ça, précisément comme ça, que nous gagnerons cette guerre ! ». Entretemps, l’armée américaine entraînait les milices nazies qui faisaient des émules et grossissaient, pour finir par intégrer la garde nationale, dont le Bataillon Azov basé à Marioupol. A titre d’information, il est intéressant de noter que ce bataillon nazi est financé par l’oligarque milliardaire ukraino-israélien Ihor Kolomoïsky qui finance aussi les bataillons Aidar, Donbass, Dnipro 1, tous nazis et chargés du nettoyage ethnique du Donbass.
Le nouvel homme de l’OTAN et de l’UE, le « héros » actuel de l’Ukraine, Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, a remplacé Porochenko à la tête de l’Ukraine depuis le 20mai 2019. D’origine juive et sioniste convaincu, c’est un guignol au sens propre du terme puisqu’il était un humoriste très populaire en Ukraine et qu’il a notamment dansé en talons aiguilles et a joué du piano avec son sexe. Il suffit de taper son nom sur internet pour avoir accès à ses « prestations ». Il a donné le nom de son émission télévisée « Serviteur du peuple » à son parti et a ouvertement déclaré qu’il voulait que l’Ukraine entre dans l’UE et dans l’OTAN. Cela signifierait accepter des bombes nucléaires américaines sur le territoire ukrainien…
C’en était trop. Vladimir Poutine a sifflé la fin de la partie. Après avoir reconnu le 21 février l’indépendance des deux républiques du Donbass, Donetsk et Lougansk, le président Poutine a décidé d’envoyer les troupes russes le 24 février en Ukraine pour protéger son pays contre l’encerclement de l’OTAN, démilitariser l’Ukraine, en faire un pays neutre et le « dénazifier ». Contrairement à la propagande occidentale, ce n’est pas une guerre entre la Russie et l’Ukraine que nous voyons, c’est une guerre entre la Russie et les Etats-Unis et l’OTAN. La preuve, le président russe a lancé un appel à l’armée ukrainienne pour qu’elle se rende et refuse d’obéir à une « clique de toxicomanes et de nazis », qu’il ne sera fait aucun mal aux soldats qui se rendent à condition qu’ils s’engagent à ne plus combattre, et qu’ils pourront rentrer chez eux. Zalensky a aussitôt crié au secours auprès de l’Europe – n’oublions pas que c’est un comédien – en disant que c’était sans doute la dernière fois qu’on le verrait vivant, mais qu’il résisterait à l’envahisseur. Il a quitté Kiev, la capitale, pour se réfugier à Lviv. Alors que la Russie lui proposait de s’asseoir à la table des négociations, il a signé un décret accordant l’entrée de l’Ukraine à tous les mercenaires étrangers qui voudraient venir combattre et a décidé de faire distribuer des armes à la population civile en l’encourageant à résister et à constituer des réserves de cocktails molotov. En outre, il a fait libérer et armer tous les prisonniers de droit commun qui avaient des notions militaires et a déclaré le couvre-feu, menaçant tous ceux qui circulent en rue après une certaine heure d’être considérés comme des saboteurs ou des agents ennemis. Depuis, c’est le chaos : les nazis, les gangs, les allumés, tout le monde pille et s’entretue. Des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux montrent des scènes de lynchage dans les rues. Mais ces monstres sont les protégés de l’Occident, n’est-ce pas ?
Pendant ce temps-là, l’armée russe avance inexorablement. Elle est dans les faubourgs de Kiev, a démoli toutes les infrastructures militaires ukrainiennes, a sécurisé les centrales nucléaires, y compris en partenariat avec des soldats ukrainiens comme à Tchernobyl, a pris des villes dont les autorités se sont rendues, et pratique l’encerclement des points stratégiques. Poutine a aussi confié à son armée la tâche de détruire les 15 laboratoires américains d’armes biologiques disséminés un peu partout en Ukraine. Les bataillons nazis sachant qu’ils sont condamnés à brève échéance font ce qu’ils savent faire le mieux : massacrer et prendre les populations en otage. Ils retiennent les civils pour en faire des boucliers humains et les empêchent de fuir. Ils sont désormais pris en tenaille par les troupes russes qui pratiquent la tactique du « chaudron » et il est clair qu’ils bouilliront dans ces chaudrons. On peut compter sur les forces spéciales tchétchènes pour leur régler leur compte sans mettre des gants. Ces criminels ne bénéficieront d’aucune pitié de la part des Russes et de l’armée du Donbass dont le peuple continue à souffrir de leurs exactions. L’histoire se répète. L’armée russe a déjà combattu cette vermine et les soldats russes la délogeront maison par maison, pierre par pierre, comme leurs grands-parents l’ont fait jadis. Actuellement, la Russie a coupé toute la côte ukrainienne de la mer d’Azov et Marioupol est le premier « chaudron » à être officiellement verrouillé.
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise, dit l’adage. Vladimir Poutine a dit « stop ! Ça suffit ! » Voilà des années que la Russie voit s’implanter des bases de l’OTAN tout autour de son territoire, de plus en plus proches. L’OTAN n’en finit pas de mener des manœuvres au plus près des frontières russes avec une arrogance allant crescendo. 175 000 soldats de l’OTAN sont déjà positionnés aux frontières de la Russie avec une puissance de feu massive et des formations aériennes et navales entourant le pays de toutes parts. C’était intenable pour la Russie. Poutine a pourtant fait preuve d’une grande patience et a voulu négocier à maintes reprises mais les Etats-Unis sont restés intraitables. Malgré leur promesse de ne jamais étendre l’OTAN à l’est lors de la réunification de l’Allemagne, ils ont grignoté le territoire des anciens pays de l’ex-Union soviétique jusqu’aux portes de la Russie.
L’Occident est allé trop loin en fomentant un coup d’Etat en Ukraine en 2014 suite aux nombreuses manifestations organisées à Kiev en réaction à l’annonce du président Ianoukovytch de préférer conclure des accords avec la Russie plutôt qu’avec l’Europe. Derrière ces manifestations appelées « l’Euromaïdan », on trouve la CIA et sa Radio Free Europe/Radio Liberty qui émet en Europe et au Moyen Orient, offrant des programmes dans toutes les langues pour déstabiliser des pays. Réalisé par un mélange répugnant composé d’une belle brochette de charognards, tels que des agents de la CIA et autres services de pays de l’OTAN, d’ONGs dont International Renaissance Foundation de George Soros, des nazis de Svoboda et autres nostalgiques de Stepan Bandera, un nationaliste ukrainien qui s’est illustré au cours de la seconde guerre mondiale en collaborant avec l’Allemagne nazie et en créant la Légion ukrainienne sous commandement de la Wehrmacht, ce coup d’Etat a mené à la fuite puis à la destitution du président Viktor Ianoukovytch considéré comme trop proche de la Russie. Depuis la chute de l’URSS, l’Ukraine était le point de concentration de toute l’attention de l’empire qui n’a de cesse de vouloir déstabiliser la Russie en créant de fausses « révolutions » dans tous les pays qui l’entourent et toujours avec le financement des ONG de George Soros. Déjà en 2004, on avait vu la « révolution orange » qui a marqué le rapprochement de l’Ukraine avec l’Europe et l’OTAN.
L’empire avait donc gagné et a installé ses marionnettes à la tête de l’Ukraine livrée à une bande de nazis et de bandits rivalisant d’ignominie. Quand on donne le pouvoir aux fascistes, on peut s’attendre au pire. La haine ethnique s’est installée, propagée par les médias et le pouvoir. Les partis nazis Svoboda et Pravy Sektor financés par les Occidentaux, organisaient des camps d’entraînement et formaient des bataillons paramilitaires qui défilaient dans les rues sous les acclamations des civils, comme au bon vieux temps de Tonton Adolphe. Et le pire est arrivé, avec la bénédiction des « grandes démocraties » que sont les Etats-Unis et l’Union européenne. Tout ce qui était pro-Russe, communiste, antifasciste, rom, était pourchassé et lynché dans les rues. C’est le massacre d’Odessa, le 2 mai 2014, qui a montré au monde ce dont étaient capables ces nazis soutenus par Oncle Sam et l’UE. 48 personnes d’ascendance russe qui s’étaient rassemblées devant la Maison des Syndicats, ont été massacrées, les Ukrainiens « innocents » ayant mis le feu au bâtiment où elles s’étaient réfugiées pour échapper à la folie furieuse de cette horde de nazis bavant la haine. La plupart ont été brûlés vifs, dont des gamins de 16 ans et des pensionnés, et ceux qui sautaient dans le vide pour échapper aux flammes étaient battus à mort avec des barres de fer. Une femme enceinte a été étranglée avec le cordon d’un téléphone dans l’un des bureaux. Et pendant ce temps-là, des civils au-dehors remplissaient des cocktails molotov pour aviver l’incendie. Voilà ce qu’est l’Ukraine aujourd’hui : un peuple de nazis pour la plupart, et fiers de l’être. Les autres vivent dans la terreur depuis des années. D’ailleurs, beaucoup de ceux qui fuient le pays devant l’avancée de l’armée russe savent qu’il va leur en cuire pour ce qu’ils ont fait ou laissé faire. La preuve, c’est que malgré le fait qu’ils soient devenus des réfugiés, cela ne les empêche pas de montrer leur racisme dégoûtant en refoulant les personnes noires, arabes ou asiatiques pour les précéder au passage de la frontière. Et ce sont ces gens-là que l’Europe accueille à bras ouverts…
Dans l’est de l’Ukraine, le Donbass, région minière, où s’étaient installés des familles russes du temps de l’URSS, la population étant forcément proche de la Russie à travers des liens de parenté et de culture, s’est vu interdire de parler la langue russe et a été considérée ouvertement comme une sous-race : bombardements, pogroms, viols, crucifixions, et toutes les horreurs que peuvent commettre les fascistes lorsqu’ils sont déchaînés. Leur but était de « nettoyer » cette région de tout russophone. Comprenant qu’elle était destinée à être exterminée, la population du Donbass s’est rassemblée et a fait sécession, réclamant son autonomie. Le Protocole de Minsk a été mis en place pour mettre fin à la guerre qui sévissait au Donbass, l’armée ukrainienne pilonnant sans relâche la région autonome. Il y eu 14 000 morts au Donbass depuis 2014, pour la plupart des civils, sans que l’UE ne bronche. L’accord réclamant un cessez-le-feu immédiat a été signé le 5 septembre 2014 par les représentants de l’Ukraine, de la Russie, de la République populaire de Donetsk (DNR) et de la République populaire de Lougansk (LNR) pour mettre fin à la guerre en Ukraine orientale. Il n’a jamais été respecté par Kiev. Voici un petit aperçu de la façon dont les gens du Donbass sont perçus par l’Ukraine avec le discours de l’ancien président Porochenko en décembre 2014 : « Nous aurons du travail et eux non ! Nous aurons les retraites et eux non ! Nous aurons des avantages pour les retraités et les enfants, eux non ! Nos enfants iront à l’école et à la garderie, leurs enfants resteront dans les caves ! Parce qu’ils ne savent rien faire ! Et c’est comme ça, précisément comme ça, que nous gagnerons cette guerre ! ». Entretemps, l’armée américaine entraînait les milices nazies qui faisaient des émules et grossissaient, pour finir par intégrer la garde nationale, dont le Bataillon Azov basé à Marioupol. A titre d’information, il est intéressant de noter que ce bataillon nazi est financé par l’oligarque milliardaire ukraino-israélien Ihor Kolomoïsky qui finance aussi les bataillons Aidar, Donbass, Dnipro 1, tous nazis et chargés du nettoyage ethnique du Donbass.
Le nouvel homme de l’OTAN et de l’UE, le « héros » actuel de l’Ukraine, Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, a remplacé Porochenko à la tête de l’Ukraine depuis le 20mai 2019. D’origine juive et sioniste convaincu, c’est un guignol au sens propre du terme puisqu’il était un humoriste très populaire en Ukraine et qu’il a notamment dansé en talons aiguilles et a joué du piano avec son sexe. Il suffit de taper son nom sur internet pour avoir accès à ses « prestations ». Il a donné le nom de son émission télévisée « Serviteur du peuple » à son parti et a ouvertement déclaré qu’il voulait que l’Ukraine entre dans l’UE et dans l’OTAN. Cela signifierait accepter des bombes nucléaires américaines sur le territoire ukrainien…
C’en était trop. Vladimir Poutine a sifflé la fin de la partie. Après avoir reconnu le 21 février l’indépendance des deux républiques du Donbass, Donetsk et Lougansk, le président Poutine a décidé d’envoyer les troupes russes le 24 février en Ukraine pour protéger son pays contre l’encerclement de l’OTAN, démilitariser l’Ukraine, en faire un pays neutre et le « dénazifier ». Contrairement à la propagande occidentale, ce n’est pas une guerre entre la Russie et l’Ukraine que nous voyons, c’est une guerre entre la Russie et les Etats-Unis et l’OTAN. La preuve, le président russe a lancé un appel à l’armée ukrainienne pour qu’elle se rende et refuse d’obéir à une « clique de toxicomanes et de nazis », qu’il ne sera fait aucun mal aux soldats qui se rendent à condition qu’ils s’engagent à ne plus combattre, et qu’ils pourront rentrer chez eux. Zalensky a aussitôt crié au secours auprès de l’Europe – n’oublions pas que c’est un comédien – en disant que c’était sans doute la dernière fois qu’on le verrait vivant, mais qu’il résisterait à l’envahisseur. Il a quitté Kiev, la capitale, pour se réfugier à Lviv. Alors que la Russie lui proposait de s’asseoir à la table des négociations, il a signé un décret accordant l’entrée de l’Ukraine à tous les mercenaires étrangers qui voudraient venir combattre et a décidé de faire distribuer des armes à la population civile en l’encourageant à résister et à constituer des réserves de cocktails molotov. En outre, il a fait libérer et armer tous les prisonniers de droit commun qui avaient des notions militaires et a déclaré le couvre-feu, menaçant tous ceux qui circulent en rue après une certaine heure d’être considérés comme des saboteurs ou des agents ennemis. Depuis, c’est le chaos : les nazis, les gangs, les allumés, tout le monde pille et s’entretue. Des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux montrent des scènes de lynchage dans les rues. Mais ces monstres sont les protégés de l’Occident, n’est-ce pas ?
Pendant ce temps-là, l’armée russe avance inexorablement. Elle est dans les faubourgs de Kiev, a démoli toutes les infrastructures militaires ukrainiennes, a sécurisé les centrales nucléaires, y compris en partenariat avec des soldats ukrainiens comme à Tchernobyl, a pris des villes dont les autorités se sont rendues, et pratique l’encerclement des points stratégiques. Poutine a aussi confié à son armée la tâche de détruire les 15 laboratoires américains d’armes biologiques disséminés un peu partout en Ukraine. Les bataillons nazis sachant qu’ils sont condamnés à brève échéance font ce qu’ils savent faire le mieux : massacrer et prendre les populations en otage. Ils retiennent les civils pour en faire des boucliers humains et les empêchent de fuir. Ils sont désormais pris en tenaille par les troupes russes qui pratiquent la tactique du « chaudron » et il est clair qu’ils bouilliront dans ces chaudrons. On peut compter sur les forces spéciales tchétchènes pour leur régler leur compte sans mettre des gants. Ces criminels ne bénéficieront d’aucune pitié de la part des Russes et de l’armée du Donbass dont le peuple continue à souffrir de leurs exactions. L’histoire se répète. L’armée russe a déjà combattu cette vermine et les soldats russes la délogeront maison par maison, pierre par pierre, comme leurs grands-parents l’ont fait jadis. Actuellement, la Russie a coupé toute la côte ukrainienne de la mer d’Azov et Marioupol est le premier « chaudron » à être officiellement verrouillé.
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