Tweet
par Thierry Meyssan
Chef de la DPR : Jusqu'à 200 personnes enterrées sous les décombres alors que les militants d'Azov font exploser un bâtiment à Marioupol.
L’Administration Biden sonne l’hallali, annonçant l’attaque imminente et la défaite certaine de la Russie. Pourtant, un à un, ses principaux alliés font la moue. De son côté, la Russie rappelle ses exigences du 17 décembre 2021 (le respect du Droit international par les États-Unis) et manifeste sa supériorité militaire. Le voile est sur le point de se déchirer.
DPR Head: Up to 200 People Buried Under Rubble as Azov Militants Blow Up Building in Mariupol.
Cela survient quelques minutes avant que l'évacuation des civils de Marioupol ne soit sur le point de commencer conformément à un accord conclu entre Moscou et Kiev lors de pourparlers plus tôt cette semaine. Des militants ukrainiens du bataillon "Azov" ont déclenché un engin explosif placé plus tôt, provoquant l'effondrement du bâtiment situé au 15/20 boulevard Meotida à Marioupol. Dans ce dernier cas, jusqu'à 200 personnes, dont des enfants qui se cachaient dans le sous-sol, ont été enterrées sous les décombres, a déclaré le chef de la République populaire de Donetsk, Denis Pushilin.
"L'administration de Marioupol a déclaré un couloir vers Zaporozhye... Selon nos informations, c'est extrêmement dangereux là-bas. Il est donc extrêmement problématique pour nous d'assumer la responsabilité car des bataillons nationalistes sont là et des provocations ont déjà été commises. Juste quelques minutes Il y a quelques jours, les militants d'Azov ont activé des engins explosifs installés plus tôt, ce qui a entraîné l'effondrement de la maison située au 15/20, boulevard Meotida. Jusqu'à 200 personnes sont restées au sous-sol à l'époque, principalement des femmes et des enfants. Il est donc extrêmement problématique pour nous d'assumer la responsabilité de ce corridor », a déclaré Pushilin.
Il a ajouté que les autorités de la DPR recueillent actuellement des informations, y compris avec l'utilisation de véhicules aériens sans pilote, sur les victimes après l'explosion à Marioupol. Auparavant, le ministère russe de la Défense avait annoncé un cessez-le-feu à partir de 07h00 GMT pour permettre aux civils d'évacuer Marioupol et Volnovakha. Selon le vice-Premier ministre ukrainien, jusqu'à 200 000 personnes devraient être évacuées de Marioupol après midi, heure locale. "Nous attendions un message du Comité international de la Croix-Rouge. Aujourd'hui, le 5 mars, nous nous sommes mis d'accord sur la mise en place du couloir humanitaire à partir de 09h00 heure ukrainienne (07h00 GMT) dans deux directions : Marioupol et Volnovakha. ..À partir de maintenant, les itinéraires seront exploités dans les directions suivantes : Mariupol, Nikolskoye, Rozovka, Bilmak, Pologi, Orekhov, Zaporozhye. C'est la première direction.
Nous prévoyons d'évacuer environ 200 000 personnes. La prochaine direction est Volnovakha, Valeryanovka, Novoandreevka, Kyrylovka, Pokrovsk, Zaporozhye. Par ici, nous prévoyons d'évacuer plus de 15 000 personnes", a déclaré la vice-première ministre ukrainienne Iryna Vereshchuk dans une allocution vidéo. Pendant ce temps, le DPR a déclaré que les nationalistes ukrainiens refusaient de laisser les habitants de Marioupol utiliser le couloir d'évacuation. En 2014, Marioupol, avec une population de 450 000 habitants, était la deuxième plus grande ville de la RPD après Donetsk. En juin de cette année, les troupes ukrainiennes ont pris le contrôle de la ville, sa banlieue est sur la côte de la mer d'Azov devenant l'une des zones de conflit les plus chaudes. Le 28 février, le porte-parole de la milice populaire de la RPD, Eduard Basurin, a déclaré que les forces de la république bloqueraient Marioupol mais que la question de sa libération serait résolue par le processus de négociation. Les couloirs humanitaires et les voies de sortie ont été convenus avec Kiev à la suite du deuxième cycle de négociations entre la Russie et l'Ukraine en Biélorussie plus tôt cette semaine. La Russie a souligné à plusieurs reprises que les nationalistes ukrainiens empêchaient les civils, y compris les femmes et les enfants, ainsi que les citoyens étrangers, de quitter les zones touchées par les combats et les utilisaient comme boucliers humains.
Chef de la DPR : Jusqu'à 200 personnes enterrées sous les décombres alors que les militants d'Azov font exploser un bâtiment à Marioupol.
L’Administration Biden sonne l’hallali, annonçant l’attaque imminente et la défaite certaine de la Russie. Pourtant, un à un, ses principaux alliés font la moue. De son côté, la Russie rappelle ses exigences du 17 décembre 2021 (le respect du Droit international par les États-Unis) et manifeste sa supériorité militaire. Le voile est sur le point de se déchirer.
DPR Head: Up to 200 People Buried Under Rubble as Azov Militants Blow Up Building in Mariupol.
Cela survient quelques minutes avant que l'évacuation des civils de Marioupol ne soit sur le point de commencer conformément à un accord conclu entre Moscou et Kiev lors de pourparlers plus tôt cette semaine. Des militants ukrainiens du bataillon "Azov" ont déclenché un engin explosif placé plus tôt, provoquant l'effondrement du bâtiment situé au 15/20 boulevard Meotida à Marioupol. Dans ce dernier cas, jusqu'à 200 personnes, dont des enfants qui se cachaient dans le sous-sol, ont été enterrées sous les décombres, a déclaré le chef de la République populaire de Donetsk, Denis Pushilin.
"L'administration de Marioupol a déclaré un couloir vers Zaporozhye... Selon nos informations, c'est extrêmement dangereux là-bas. Il est donc extrêmement problématique pour nous d'assumer la responsabilité car des bataillons nationalistes sont là et des provocations ont déjà été commises. Juste quelques minutes Il y a quelques jours, les militants d'Azov ont activé des engins explosifs installés plus tôt, ce qui a entraîné l'effondrement de la maison située au 15/20, boulevard Meotida. Jusqu'à 200 personnes sont restées au sous-sol à l'époque, principalement des femmes et des enfants. Il est donc extrêmement problématique pour nous d'assumer la responsabilité de ce corridor », a déclaré Pushilin.
Il a ajouté que les autorités de la DPR recueillent actuellement des informations, y compris avec l'utilisation de véhicules aériens sans pilote, sur les victimes après l'explosion à Marioupol. Auparavant, le ministère russe de la Défense avait annoncé un cessez-le-feu à partir de 07h00 GMT pour permettre aux civils d'évacuer Marioupol et Volnovakha. Selon le vice-Premier ministre ukrainien, jusqu'à 200 000 personnes devraient être évacuées de Marioupol après midi, heure locale. "Nous attendions un message du Comité international de la Croix-Rouge. Aujourd'hui, le 5 mars, nous nous sommes mis d'accord sur la mise en place du couloir humanitaire à partir de 09h00 heure ukrainienne (07h00 GMT) dans deux directions : Marioupol et Volnovakha. ..À partir de maintenant, les itinéraires seront exploités dans les directions suivantes : Mariupol, Nikolskoye, Rozovka, Bilmak, Pologi, Orekhov, Zaporozhye. C'est la première direction.
Nous prévoyons d'évacuer environ 200 000 personnes. La prochaine direction est Volnovakha, Valeryanovka, Novoandreevka, Kyrylovka, Pokrovsk, Zaporozhye. Par ici, nous prévoyons d'évacuer plus de 15 000 personnes", a déclaré la vice-première ministre ukrainienne Iryna Vereshchuk dans une allocution vidéo. Pendant ce temps, le DPR a déclaré que les nationalistes ukrainiens refusaient de laisser les habitants de Marioupol utiliser le couloir d'évacuation. En 2014, Marioupol, avec une population de 450 000 habitants, était la deuxième plus grande ville de la RPD après Donetsk. En juin de cette année, les troupes ukrainiennes ont pris le contrôle de la ville, sa banlieue est sur la côte de la mer d'Azov devenant l'une des zones de conflit les plus chaudes. Le 28 février, le porte-parole de la milice populaire de la RPD, Eduard Basurin, a déclaré que les forces de la république bloqueraient Marioupol mais que la question de sa libération serait résolue par le processus de négociation. Les couloirs humanitaires et les voies de sortie ont été convenus avec Kiev à la suite du deuxième cycle de négociations entre la Russie et l'Ukraine en Biélorussie plus tôt cette semaine. La Russie a souligné à plusieurs reprises que les nationalistes ukrainiens empêchaient les civils, y compris les femmes et les enfants, ainsi que les citoyens étrangers, de quitter les zones touchées par les combats et les utilisaient comme boucliers humains.