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La fameuse centrale nucléaire est entre de bonnes mains
Les autorités ukrainiennes ont dramatisé un fait de guerre dont on n'est même pas sûr qu'il se soit déroulé selon leur version. L'attaque par les Russes de la centrale nucléaire de Zaporijja, la plus puissante d'Europe, apparait de plus en plus comme une information tendancieuse destinée à alerter les pays occidentaux sur le risque atomique et présentant Poutine comme un fou dangereux pouvant mettre le feu à la planète.
D'abord, quelques mots sur Zaporrijja. Elle se trouve dans le sud de l’Ukraine, sur le fleuve Dniepr. De conception soviétique (date de création : 1985), ses réacteurs ont une durée de vie estimée entre quarante et soixante ans. Leur fonctionnement est sécurisé et figure parmi les plus sûrs au monde.
Un général français a dit ce matin que si Poutine voulait bombarder la centrale, il l'aurait fait. Pourquoi s'en prendre à un bâtiment administratif en retrait des installations nucléaires ?
Les russes n'ont rien à gagner d'une telle opération. Ils n'en tirent aucun profit, ni militaire, ni psychologique. Et, surtout, une éventuelle fuite serait fatale pour tout le monde et le premier pays étranger menacé serait... la Russie ! Parceque l'atome ne s'arrête pas aux frontières.
Une telle aventure ne présente que des inconvénients d'autant plus que Volodymyr Zelenskyy est très bien conseillé dans le domaine de la manipulation via les réseaux sociaux. Son coup de cette nuit a semé la panique. Biden lui téléphone à 2h du matin. Johnson propose la tenue d'une réunion urgente du conseil de sécurité. Les télévisions et la presse occidentales se sont déchaînées ce matin pour exploiter cette affaire à satiété.
Pourtant, au petit matin, les Ukrainiens avouaient que les installations nucléaires ont été épargnées et que la sécurité était garantie. Le calme après la tempête... Les russes, peut être parce qu'ils ont compris le jeu de Zelenskyy, ont décidé d'occuper la centrale. La voilà en sécurité et ne servira plus au chantage des Ukrainiens. Mais les stratèges de la manip ne sont pas à court d'idées. Ils préparent leur prochaine story...
Maâmar Farah
D'abord, quelques mots sur Zaporrijja. Elle se trouve dans le sud de l’Ukraine, sur le fleuve Dniepr. De conception soviétique (date de création : 1985), ses réacteurs ont une durée de vie estimée entre quarante et soixante ans. Leur fonctionnement est sécurisé et figure parmi les plus sûrs au monde.
Un général français a dit ce matin que si Poutine voulait bombarder la centrale, il l'aurait fait. Pourquoi s'en prendre à un bâtiment administratif en retrait des installations nucléaires ?
Les russes n'ont rien à gagner d'une telle opération. Ils n'en tirent aucun profit, ni militaire, ni psychologique. Et, surtout, une éventuelle fuite serait fatale pour tout le monde et le premier pays étranger menacé serait... la Russie ! Parceque l'atome ne s'arrête pas aux frontières.
Une telle aventure ne présente que des inconvénients d'autant plus que Volodymyr Zelenskyy est très bien conseillé dans le domaine de la manipulation via les réseaux sociaux. Son coup de cette nuit a semé la panique. Biden lui téléphone à 2h du matin. Johnson propose la tenue d'une réunion urgente du conseil de sécurité. Les télévisions et la presse occidentales se sont déchaînées ce matin pour exploiter cette affaire à satiété.
Pourtant, au petit matin, les Ukrainiens avouaient que les installations nucléaires ont été épargnées et que la sécurité était garantie. Le calme après la tempête... Les russes, peut être parce qu'ils ont compris le jeu de Zelenskyy, ont décidé d'occuper la centrale. La voilà en sécurité et ne servira plus au chantage des Ukrainiens. Mais les stratèges de la manip ne sont pas à court d'idées. Ils préparent leur prochaine story...
Maâmar Farah
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