La Ligue arabe s'est dite lundi 28 février «inquiète» de l'invasion russe de l'Ukraine, appelant à une «solution diplomatique» pour cette crise qui divise les 22 pays de ce bloc régional en perte de vitesse.
La plupart des pays arabes n'ont jusqu'ici pas pris position pour un camp, soucieux de ménager la Russie, grand pourvoyeur de céréales et d'armes, sans toutefois se mettre à dos les États-Unis -qui ont pris fait et cause pour l'Ukraine-, allié historique de poids lourds régionaux. À l’issue d'une réunion extraordinaire convoquée au cinquième jour d'une invasion russe qui a déjà poussé plus de 500.000 Ukrainiens à fuir leur pays, l'organisation panarabe basée au Caire a publié un communiqué final reflétant cette volonté de ne froisser aucune partie. Il rappelle «l'importance du respect des principes du droit international» et plaide pour «la retenue» et «une solution diplomatique» pour un conflit dans lequel Moscou brandit désormais la menace nucléaire.
Le Figaro
La plupart des pays arabes n'ont jusqu'ici pas pris position pour un camp, soucieux de ménager la Russie, grand pourvoyeur de céréales et d'armes, sans toutefois se mettre à dos les États-Unis -qui ont pris fait et cause pour l'Ukraine-, allié historique de poids lourds régionaux. À l’issue d'une réunion extraordinaire convoquée au cinquième jour d'une invasion russe qui a déjà poussé plus de 500.000 Ukrainiens à fuir leur pays, l'organisation panarabe basée au Caire a publié un communiqué final reflétant cette volonté de ne froisser aucune partie. Il rappelle «l'importance du respect des principes du droit international» et plaide pour «la retenue» et «une solution diplomatique» pour un conflit dans lequel Moscou brandit désormais la menace nucléaire.
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