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27 février 1976- 27 février 2022: La RASD célèbre ses 46 ans!

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  • 27 février 1976- 27 février 2022: La RASD célèbre ses 46 ans!

    Bonne fête nationale à toutes Sahraouies et à tous les Sahraouis.

    Hasta la victoria siempre!

  • #2
    - Une cause juste

    La célébration du 46e anniversaire de la proclamation de la RASD intervient dans un contexte marqué par des victoires diplomatiques et militaires du peuple sahraoui.
    L’Armée populaire de libération sahraouie a réalisé une série de victoires sur le champ de bataille, infligeant de lourdes pertes à l'armée marocaine.

    Khatri Adouh, responsable du secrétariat du Front Polisario, a déclaré que l'ère de l'expectative est révolue, notamment après l'escalade du Maroc parrainée par l'entité sioniste.
    La RASD continue de remporter des succès sur la scène internationale et enregistre de multiples adhésions à la légitimité de sa cause.

    Elle est également membre fondateur de l'Union africaine, participe à de nombreux évènements régionaux, africains et internationaux. Le dernier en date est le sommet ayant regroupé les dirigeants de l'Union africaine et ceux de l'Union européenne les 17 et 18 février à Bruxelles.

    La participation au sommet UE/UA d'une importante délégation sahraouie dirigée par le président de la RASD, Brahim Ghali, a été, à cet égard, qualifiée de grande victoire diplomatique et politique.


    La célébration du 46e anniversaire de la proclamation de la RASD intervient dans un contexte marqué par des victoires diplomatiques et militaires du peuple sahraoui.
    L’Armée populaire de libération sahraouie a réalisé une série de victoires sur le champ de bataille, infligeant de lourdes pertes à l'armée marocaine.

    Khatri Adouh, responsable du secrétariat du Front Polisario, a déclaré que l'ère de l'expectative est révolue, notamment après l'escalade du Maroc parrainée par l'entité sioniste.
    La RASD continue de remporter des succès sur la scène internationale et enregistre de multiples adhésions à la légitimité de sa cause.

    Elle est également membre fondateur de l'Union africaine, participe à de nombreux évènements régionaux, africains et internationaux. Le dernier en date est le sommet ayant regroupé les dirigeants de l'Union africaine et ceux de l'Union européenne les 17 et 18 février à Bruxelles.

    La participation au sommet UE/UA d'une importante délégation sahraouie dirigée par le président de la RASD, Brahim Ghali, a été, à cet égard, qualifiée de grande victoire diplomatique et politique.

    El Moudjahid

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    • #3
      Un monde multipolaire se prepare .

      Avec un peu de chance, les rasdiens feteront leur 123 (viva l'algere) eme anniversaire à tindouf. Fini tifariti.

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      • #4
        - Fort malaise marocain face à l’interview de Sanchez avec le chef du Polisario

        Ils soulignent qu’il était le seul chef de gouvernement à avoir rencontré Ghali à Bruxelles et que les paroles de l’exécutif sur la résolution de la crise ne valent rien (la Razon.es)

        -Espagne : Ghali a obtenu son statut de résident légalement et sans preuve de fraude, conclut l’enquête

        L’enquête de la police espagnole sur l’entrée de Brahim Ghali en Espagne a conclu, selon Europa Press, que le responsable du Polisario n’était pas entré sur le territoire grâce à une «fraude» ou une «tromperie» mais qu’il avait obtenu «légalement» son «statut d'étranger résident et de ressortissant espagnol».

        Ainsi, Europa Press fait état d’une lettre officielle du 30 juillet du Commissariat général à l'information de la police nationale assurant avoir «identifié de nombreux documents, tant espagnols qu’étrangers», liés à Brahim Ghali ainsi qu’aux «vérifications pertinentes» de ces documents.

        Parmi les documents identifiés, la police a transmis une carte d'identité sahraouie au nom de Gali Sidi Mustafa Sidi Mohamed délivrée le 14 novembre 1970 qui «certifiant la nationalité espagnole à laquelle tout Sahraoui avait droit avant 1975, lorsque le Sahara était une province espagnole». Une carte d’identité espagnole a ensuite été délivrée à Gali Sidi-Mohamed Abdelyelil en décembre 2004 par le registre civil de Valence sur «présomption simple, qui exige 10 ans de possession d'un document espagnol, dans ce cas, la carte d'identité sahraouie», répondant aux exigences légales selon la police.

        Ya...bi (extraits)


        .

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        • #5
          Comment peut-on être aussi menteur comme ce maroquin nommé Samir Bennis? Ignore-t-il que la RASD est membre fondateur de l'Union africaine et à cette raison, elle ne peut être écartée des Sommets impliquant l'organisation panaricaine supra (UA).

          - Polisario au Sommet UE-UA : Bruxelles a fini par céder aux pressions

          La participation du Front Polisario à cette rencontre a été au cœur d’une visite de travail de la ministre sud-africaine des Relations internationale et de la coopération, Lindiwe Sisulu, en Algérie le 14 janvier dernier.

          Contacté par Yabiladi, une source diplomatique a expliqué la présence du Polisario à la réunion des chefs de la diplomatie de l’UA et de l’UE par le fait que désormais, le sommet entre l’Afrique et l’Europe est devenu un «Sommet UE-UA». «Avant que le Maroc réintègre l’UA, on parlait de sommets UE-Afrique. Actuellement, cette rencontre de haut niveau concerne désormais l’Union africaine où le Polisario dispose d’un siège», détaille notre source.

          Ya...bi, le 22/01/2019 à 12h30


          - Brahim Ghali au Sommet EU-UA: quand l'Europe confirme sa duplicité

          Si la participation de Brahim Ghali n’a apporté que peu d’avantages pratiques, elle a dévoilé l’ambiguïté stratégique persistante de l’Union européenne qui met en jeu la paix et la stabilité dans les provinces du sud du Maroc.

          Bruxelles a accueilli, les 17 et 18 février, le sixième sommet UE-UA, avec la participation de Brahim Ghali, chef du Front Polisario et de son autoproclamée République arabe sahraouie démocratique (RASD).

          Il est clair que la participation de Ghali à ce sommet est passée totalement inaperçue et a constitué une source d’embarras pour lui, pour ses parrains algériens, ainsi que pour l’Union européenne ; laquelle a autorisé la participation du chef d’un État imaginaire à un sommet Europe-Afrique qui se voulait déterminant pour les relations entre les deux continents.

          Ghali à Bruxelles

          Mais, contraire aux autres chefs d’État ou de gouvernement africains présents au sommets, Ghali s’est vu rappeler son statut lorsqu’il a été empêché de serrer la main de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, du chef du Conseil de l’Union européenne, Charles Michel, et du président français Emmanuel Macron pendant la cérémonie de réception officielle.

          Le chef du Polisario n’a pas reçu, à son arrivée à Bruxelles, l’accueil officiel que l’on réserve habituellement aux chefs de délégations participant à de tels événements politiques. Il n’a été salué par aucun responsable de l’UE et n’a eu aucune discussion bilatérale avec un chef d’État ou de gouvernement au cours du sommet.

          Sa présence au sommet a néanmoins révélé la duplicité et le double discours que continue d’entretenir l’UE vis-à-vis du Maroc. C’était en quelque sorte la confirmation de la mauvaise volonté de l’UE à contribuer de manière constructive à la résolution du conflit autour du Sahara, et à affirmer clairement qu’elle est contre la création d’un État dans le sud du Maroc.

          Par Samir Bennis in Medias24.ma

          A suivre





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          • #6
            Combien de fois faudra-t-il répéter que M. Brahim Ghali est Espagnol et donc peut entrer chez lui sans aucun document?

            En outre: " Interpol informe le juge qu’il n’y avait pas de mandat pour localiser Ghali à son arrivée en Espagne

            Dans l’espace Schengen, il n’y avait pas d’alerte d’arrestation ou d’entrée du chef du Front Polisario lorsque son avion a atterri à la base militaire de Saragosse le 18 avril" La Razon


            - La participation de Ghali, criminel de guerre, pourfendeur des droits de l’Homme et violeur présumé, était à la fois indigne de l’UE et inacceptable pour les Marocains. En plus des accusations de crimes de premier degré – viols, tortures, enlèvements arbitraires, et assassinats ciblés, etc. – auxquelles il fait face, Ghali a récemment déclaré la guerre contre le Maroc, rompu unilatéralement le cessez-le-feu de 1991 et rejeté la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur la question du Sahara.

            La participation de Ghali au sommet est d’autant plus problématique pour les Marocains qu’elle intervient moins d’un an après l’éclatement d’une crise diplomatique non résolue entre le Maroc et l’Espagne. Il est désormais de notoriété publique que l’Espagne a collaboré avec l’Algérie pour accueillir Ghali sur son sol, bien que ce dernier fût sous mandat de perquisition d’un juge espagnol pour des accusations criminelles dont il faisait l’objet. Pire encore, Ghali a utilisé une fausse identité et l’Espagne n’a pas informé le Maroc, ce qui a suscité une crise entre Madrid et Rabat.
            (...).
            Ainsi, consciente des implications diplomatiques que la gênante participation de Ghali pouvait avoir pour les relations Maroc-UE, l’instance européenne se lavait les mains de toute responsabilité afin d’apaiser Rabat ou, mieux, de redorer son image de mauvaise volonté à l’égard des intérêts suprêmes du Maroc.

            Dans une certaine mesure, cet argument aurait pu être acceptable si l’UE elle-même avait été une invitée, et non pas l’organisatrice principale du sommet. Car en tant que co-organisatrice, l’UE pouvait, compte tenu de son poids politique et économique, refuser la participation du chef d’un État imaginaire non reconnu par ses États membres, ni par aucune autre grande organisation internationale ou régionale.

            En co-organisant et en accueillant ledit sommet sur son sol, l’UE aurait pu, comme elle l’avait d’ailleurs fait huit ans auparavant lors d’un autre sommet UE-UA, déclaré Ghali persona non grata car ne représentant pas un État souverain.

            A suivre

            Ibidem

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            • #7
              Mchaw fiha kafta daba

              A Mr le fronci

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              • #8
                Le Président sahraoui de nationalité ibérique n'a pas besoin de visa pour entrer en Europe et il est le seul à jouir de ce privilège. De plus, ce n'est pas le Polisario qui participe aux Sommets africains mais la RASD reconnue même par le Maroc.

                - Rebuffades historiques

                En effet, la RASD autoproclamée du Polisario a été snobée par l’UE en 2014 pour la simple raison qu’elle ne bénéficie d’aucune reconnaissance internationale. Par ailleurs, il y a eu bien des cas où l’UE, en étant co-organisatrice de sommet, a refusé la participation des représentants d’États souverains pour leurs violations des droits de l’Homme.

                C’était le cas du président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi et du président soudanais de l’époque, Omar El Béchir, lors du sommet de 2014. Dès lors, il est évident que l’argument principal du communiqué d’avant-sommet de l’UE-UA – selon lequel Bruxelles avait les mains liées devant l’invitation de Ghali qui émanait de l’UA – ne tient pas la route.

                Même si l’invitation de Ghali était, en effet, l’idée de l’UA, dont la fictive RASD est un membre, l’UE aurait pu simplement refuser au chef séparatiste un visa d’entrée (!), comme elle l’avait fait avant le sommet de 2014 en refusant un visa à l’épouse du président zimbabwéen de l’époque, Robert Mugabe. Donc, en convenant à la participation de Ghali au sommet, l’UE a raté une occasion de montrer sa bonne foi envers le Maroc. Et il n’y aurait même pas eu de boycott du sommet par les États membres de l’Union africaine si l’UE avait agi de la sorte. Car ceci n’aurait tout simplement pas été la première fois pour le Polisario de se voir interdire la participation à un sommet co-organisé par l’UA et à d’autres grands pays ou organisations régionales.


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                • #9
                  Rago ne sait pas qu'il y a une crise mondiale entre Russie et l'Ukraine.
                  le pauvre. Il ne connaît que le polisario.

                  Commentaire


                  • #10
                    Le saviez-vous? Pour ma part, je le savais: l'Espagne est toujours la puissance administrate du Sahara Occidental colonisé.

                    - Pourquoi l’ONU considère-t-elle toujours le Sahara occidental comme une colonie espagnole ?

                    C’est le seul des 17 territoires non autonomes qui a l’Espagne comme puissance coloniale.

                    Le Sahara occidental est l’un des 17 territoires du monde considérés comme une colonie par le Comité spécial des Nations Unies sur la décolonisation. Le dernier est resté sur le continent africain et le seul des 17 territoires non autonomes qui a l’Espagne comme puissance coloniale.

                    L’Espagne est devenue la puissance coloniale du Sahara occidental après la Conférence de Berlin (1884-85), une réunion au cours de laquelle les puissances européennes ont divisé l’Afrique comme si c’était un gâteau. Depuis, il a géré ce territoire, qui a acquis le statut de province à partir de 1958.

                    L’Organisation des Nations Unies a créé le Comité spécial de la décolonisation en 1961 pour promouvoir le processus d’autodétermination des nombreux territoires non autonomes restants dans le monde. Le « Sahara espagnol » alors connu sous le nom d'« Espagnol » est entré dans cette liste de territoires non autonomes.

                    Le 14 novembre 1975, l’Espagne franquiste, qui mourra six jours plus tard, décide d’abandonner sa colonie à son sort. Face à la pression de l’ONU pour mettre fin à la colonisation et à celle des pays voisins du Sahara qui ont revendiqué le territoire et après la Marche verte, l’Espagne a signé avec le Maroc et la Mauritanie l’Arrangement de Madrid, qui prévoyait un référendum sur l’autodétermination, et retire ses forces. Les deux pays voisins se partagent le Sahara, la plupart d’entre eux restant le Maroc.

                    Depuis lors, 80% du territoire a été occupé par le Maroc, qui se dispute le contrôle avec le Front Polisario qui s’est proclamé République arabe sahraouie démocratique.

                    Cependant, les Nations Unies considèrent l’Arrangement de Madrid comme nul et non avenu : l’Espagne ne pouvait pas transférer sa souveraineté au Maroc et à la Mauritanie, et donc la cession de l’administration ne modifie pas le statut du territoire en attendant la décolonisation du Sahara Occidental. Par conséquent, les Nations Unies considèrent que l’Espagne est la puissance administrante, bien que le Maroc exerce un contrôle sur le territoire, et qu’elle continue d’avoir l’obligation de garantir la décolonisation de la colonie.

                    Le moyen de sortir de cette situation réside dans l’autodétermination du Sahara occidental, pour laquelle le Conseil de sécurité de l’ONU a lancé en 1991 une mission de paix - minurso - qui n’a pas encore atteint son objectif. Le 31 octobre 2020, la mission de paix est prolongée d’un an, comme au cours des 29 dernières années, en raison de l’absence d’accord sur le statut du territoire et la composition de l’électorat pour le référendum sur l’autodétermination.


                    La Razon

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                    • #11
                      L'abruti Samir Bennis pense berner tout le monde avec sa diatribe à l'encontre de l'Union européenne, mais sait-il que l'Espagne n'est pas de son avis: " Ce n’est pas que l’Espagne soit fidèle à ses principes, c’est surtout qu’elle a une crainte : quand le Maroc en aura terminé avec le Sahara, il se tournera vers Ceuta et Melilla, les deux villes espagnoles enclavées sur la côte nord-africaine". dixit IGNACIO CEMBRERO >

                      In fine, il faut se rappeler l'agression des FARces de l'ilot à chèvres ibérique de Persil en 2002.


                      - Mais, bien plus qu’un gage de bonne volonté et de neutralité positive, la non-participation de Ghali au sommet malgré la supposée invitation de l’UA aurait satisfait pour montrer que Bruxelles prend au sérieux les préoccupations de Rabat et que l’UE n’est pas disposée à entériner des actes ou décisions qui pourraient être interprétés comme hostiles à la position marocaine.

                      Certains présument qu’il existe un argument selon lequel, contrairement à la Russie, la Chine et l’Inde, qui n’ont pas signé de partenariat avec l’UA, l’UE est liée par son partenariat avec l’UA qui stipulerait que tous les États membres de l’instance africaine soient invités à tout sommet co-organisé par les deux organismes.

                      Cette thèse pourrait toutefois être valable si tous les États membres de l’UA étaient reconnus par la communauté internationale en tant qu’États souverains et indépendants. Mais le caractère particulier de l’UA est qu’elle compte un État membre qui n’a ni les attributs d’un État souverain, ni la reconnaissance internationale.

                      D’un point de vue purement politique, l’UE aurait dû éviter de s’immiscer dans des zones grises ou de donner des raisons susceptibles de nuire à ses relations déjà tendues avec le Maroc. En autorisant la participation de Ghali au sommet, l’UE lui a tendu la perche et offert, ainsi qu’à l’Algérie, un moyen de renforcer leur rejet du processus politique mené par l’ONU et leur conviction que la création d’un État indépendant dans le sud du Maroc est toujours possible.
                      (...).
                      L’ingérence répétitive de la Cour de justice de l’UE dans le conflit du Sahara, prérogative exclusive du Conseil de sécurité des Nations unies, ainsi que la participation de Ghali au sommet UE-UA, prouvent amplement que les pays européens doivent encore se défaire de leur mentalité coloniale et considérer le Maroc comme un véritable partenaire, plutôt que comme leur chasse-gardée.

                      Le Maroc devrait prendre note de ces récents développements et profiter de son influence croissante en Afrique pour rallier le soutien nécessaire afin d’expulser l’entité du Polisario de l’UA. L’admission de la RASD en 1984 à l’Organisation de l’Union africaine, le précurseur de l’UA, était une anomalie et une violation flagrante des règles du droit international. Il est temps que le Maroc entame les premières démarches pour remédier à cette anomalie historique.

                      A suivre

                      Ibidem

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                      • #12
                        La RA quoi ? quelle République ? Quels "ARABES" ? Quelle "Démocratie" ?

                        Commentaire


                        • #13
                          Marcel Piaf
                          Tu veux dire que c des rago..ts

                          Commentaire


                          • #14
                            Reste à savoir pourquoi seule la dictature marocaine est opposée à la présence de la RASD à chaque Sommet concernant l'Union africaine? de plus, pourquoi donc la dictature marocaine ne boycotte-t-elle pas ces Sommets pour cause de la présence de la RASD?

                            - Même si les trois quarts des membres retirent ou gèlent leur reconnaissance de cette entité, ne pas contester sa présence, c’est accepter la normalisation de l’illégalité. Il faut au contraire, que le Maroc entame une diplomatie offensive en prenant l’initiative de faire sortir la majorité silencieuse de sa léthargie, de briser cette espèce d’omerta qui prévaut actuellement au sein de l’Organisation africaine, et mettre la Conférence des Chefs d’Etat devant sa responsabilité, et cela, non pour créer un problème au sein de l’Organisation ou entraver sa marche, mais au contraire pour lui rétablir sa crédibilité internationale.

                            La présence de cette entité est une nuisance permanente. Il suffit de voir les problèmes qui se posent à chaque conférence internationale où doit participer l’Afrique en tant que telle.

                            Les réunions périodiques entre l’Afrique et l’Union Européenne en sont un exemple significatif. Avant l’adhésion du Maroc à l’Union Africaine, la «rasd» était bannie de ces réunions. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, et par manque de vigilance de la part de la diplomatie, depuis l’adhésion du Maroc, cette prétendue «rasd» participe aux réunions et ses dirigeants ne manquent pas de s’en prévaloir dans leur propagande.


                            Medias24.ma

                            Commentaire


                            • #15
                              L'important est qu'il publie ces articles. Quel métier!

                              Commentaire

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