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Sahara occidental : Le Honduras réaffirme sa solidarité avec le peuple sahraoui et sa juste cause

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  • Sahara occidental : Le Honduras réaffirme sa solidarité avec le peuple sahraoui et sa juste cause


    Le vice-ministre des Affaires étrangères de la République du Honduras, Torres Zelaya Gerardo José Antonio, a réaffirmé, samedi, la solidarité de son pays avec le peuple sahraoui et sa juste cause.

    Je suis venu manifester la solidarité (du Honduras) avec la cause sahraouie et incarner les liens de solidarité et d'amitié entre les deux peuples", a indiqué M. Gerardo dans des déclarations à la presse à son arrivée dans les camps de réfugiés sahraouis.

    Lors de sa visite, le vice-ministre des Affaires étrangères de la République du Honduras a été reçu par le Président sahraoui, Brahim Ghali et de hauts responsables de la République sahraouie. Le ministère des Affaires étrangères du Honduras avait indiqué dans un communiqué que la visite de M. Gerardo avait pour but d'exprimer "la solidarité avec le peuple sahraoui et sa cause juste".

    Lors de cette visite de deux jours, M. Gerardo rencontrera les hauts responsables de la République sahraouie reconnue par le Honduras depuis 1989.

    A cet effet, il rencontrera la ministre sahraouie de la santé publique ainsi que le ministre des affaires sociales et de la promotion de la femme et se rendra au Musée national, au siège de l'Association des familles de prisonniers et disparus sahraouis.


    SPS

  • #2
    Tout à votre honneur !

    Un des pays les plus pauvres et les plus corrompus de la planète. Voici un extrait d'un
    Article du Monde :
    Le Honduras, un pays « pris en étau entre pauvreté extrême et ultraviolence »

    « Ils ne courent pas après le rêve américain, ils fuient le cauchemar hondurien. » C’est par ces mots que le politicien d’opposition hondurien Jari Dixon a commenté le périple de 7 000 de ses compatriotes, partis à pied de San Pedro Sula la semaine passée pour gagner les Etats-Unis. Lancée suite à un appel sur les réseaux sociaux, le cortège de migrants a d’abord franchi la frontière guatémaltèque avant de gagner le Mexique, vendredi 19 octobre.

    Ce n’est pas la première fois qu’un tel mouvement de foule se produit. En mai, déjà, plusieurs centaines de Honduriens avaient tenté de rejoindre les Etats-Unis en convoi. Une poignée seulement avait pu gagner le sol américain et déposer une demande d’asile. « Ces migrations groupées ont pour but de sensibiliser l’opinion publique sur une situation sociale dramatique », analyse Christophe Ventura, chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).
    Taux de pauvreté de 64,3 %


    Malgré une croissance de près de 5 % l’an passé, le Honduras figure en vingt-septième position des pays les plus pauvres de la planète. En Amérique centrale, c’est le deuxième pays le plus en difficulté économique, derrière le Nicaragua. Gangrené par le chômage, ce pays de 9,1 millions d’habitants affiche un taux de pauvreté de 64,3 %. Sur la même période, dans les zones rurales du pays, près d’un habitant sur cinq vivait même en situation d’extrême pauvreté – soit moins de 1,90 dollar par jour (1,66 euro).

    Surtout, ce pays bordé par la mer des Caraïbes pâtit d’un taux d’homicide parmi les plus forts au monde – hors conflit militarisé. Les Nations unies établissaient ainsi en 2015 un taux de 63,8 homicides pour 100 000 habitants. Ce chiffre avait même culminé à 93,2 en 2011.
    Entretien avec Jorge Martinez Pizarro, géographe et démographe chilien : Article réservé à nos abonnés « Désigner les migrants comme une menace est irresponsable »
    Comment s’explique cette ultraviolence ? D’abord parce que le pays, indépendant depuis 1821, a vu son histoire émaillée de multiples coups d’Etat – dont le dernier en 2009 –, une guerre civile et des conflits récurrents avec ses voisins – le Guatemala en 1880 et le Salvador lors de la brève « guerre du foot » en 1969.
    « Exportation de la délinquance »


    Mais le grand basculement dans la violence du Honduras s’opère à la fin des années 1990. Les Etats-Unis procèdent alors à de grandes vagues de « déportations », renvoyant dans leur pays d’origine des délinquants arrêtés sur leur territoire. « Cette exportation de la délinquance américanisée a bouleversé le fragile équilibre social du pays, favorisant l’émergence de gangs ultraviolents », note Christophe Ventura, de l’IRIS.Un mouvement qui s’accompagne d’« une extension à toute l’Amérique latine du narcotrafic, suite à l’échec de la militarisation de la lutte contre les trafics de drogue, imposée par les Etats-Unis ».

    Résultat : avec le Guatemala et le Salvador, le Honduras fait désormais partie du Triangle du nord d’Amérique centrale. Point de fixation du narcotrafic continental, cette zone est devenue le lieu par lequel transite la drogue conduite de Colombie vers les Etats-Unis. « La société hondurienne est minée par l’ultraviolence des gangs, notamment les organisations mafieuses du MS13 et du Barrio 18 », souligne Christophe Ventura. Ces maras « sont devenues des entrepreneurs du crime et pratiquent l’extorsion et toutes formes de barbarie sur toutes les strates de la population », rappelle le chercheur. Selon le média Radio Progreso, cité par un rapport de la Commission de l’immigration du Canada,« un contrat peut être exécuté pour aussi peu que 200 HNL » (7,23 euros).

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    • #3
      Le narcotique marocain est bien le leader dans le monde. N'est ce pas?
      Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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      • #4
        Il n'y a pas si longtemps, la dictature marocaine s'était félicitée du retrait de la reconnaissance de la RASD par le Salvador, une république bananière pire que Maroc et le Honduras!

        - « Le gouvernement du Salvador informe le gouvernement du Royaume du Maroc de sa décision de retirer sa reconnaissance de la « Rasd » et de rompre tout contact avec cette entité », a annoncé le gouvernement salvadorien dans un communiqué conjoint signé par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita et son homologue salvadorienne Alexandra Hill Tinoco, en présence du président du Salvador, Nayib Bukele.

        Ya..bi

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        • #5
          C'est juste une question idéologique

          Rien de nouveau ni de concret
          Droite des Valeurs
          Gauche du Travail
          Centre "Intérêt de Mon Pays"

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          • #6
            Honduras Pérou Bolivie etc....

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            • #7
              Le peuple algérien qui réalisera l'impossible en obtenant sa décolonisation armée restera éternellement un mythe pour tous les peuples d'âmes révolutionnaires. Et l'âme révolutionnaire est propre à tous les peuples sud-américains!

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              • #8
                C'est quoi ta définition d'une république bananiiere?

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                • #9
                  C'est quoi ta définition d'une république bananiiere?

                  ​​​​​​est-ce que ça peut être une monarchie

                  Commentaire


                  • #10
                    - "C'est quoi ta définition d'une république bananiiere?"

                    Pourquoi commettez-vous tant de fautes?

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