Faire porter le chapeau au Maroc pour tous les maux dont souffre
l'Algérie est devenu le rôle principal de l'APS, "agence de presse" du
régime algérien. Une agression médiatique qui ne semble pas près de
s'essouffler.
Faire porter le chapeau au Maroc pour tous les maux dont souffre
l'Algérie est devenu le rôle principal de l'APS, "agence de presse" du
régime algérien. Une agression médiatique qui ne semble pas près de
s'essouffler.
L’APS, « agence de presse » gouvernementale algérienne, consacre une
bonne partie de son flux “d’informations” à cibler le Maroc, soit en
l’accusant de comploter pour la déstabilisation de l’Algérie, soit en
brossant un tableau noir de la situation économique et sociale dans le pays.
La rubrique “Monde” de l’APS est désormais un concentré de haine envers
le Maroc. Par exemple, pour la seule journée du 3 janvier, le Royaume a
eu droit à dix dépêches, toutes allant dans le même sens : diaboliser le
pays, le déshumaniser, le rabaisser.
La terminologie utilisée dépasse toute imagination. Ainsi le Maroc y est
surnommé tantôt « voisin du mal et de la misère », tantôt « narco-État »
ou encore et tout simplement « l’ennemi ». Le mot Maroc en devient tabou.
La propagande algérienne contre le Maroc atteint des sommets inégalés.
Toute information, qu’elle soit vraie ou fausse, aura droit à une
dépêche de l’agence de presse algérienne dès lors qu’elle
est susceptible d’accabler le Royaume. Ce n’est pas écrit par des
journalistes, mais par des auteurs de fiction.
*Des attaques à répétition contre le Maroc*
Désireuse de projeter ses propres maux sur le Maroc, l’APS s’est mise à
l’affût de *toute information dans la presse marocaine ou dans les
réseaux sociaux* pour dépeindre le pays comme instable et au bord de
l’implosion.
Ainsi, *les comptes des Marocains sur les réseaux sociaux sont
minutieusement scrutés*, et toute critique ou colère envers le
gouvernement peut se transformer en dépêche de l’APS. Toute
manifestation ou grève, aussi minime soit-elle, va trouver son chemin
dans les grands titres de l’agence de presse algérienne.
La grogne des acteurs du tourisme, les appels à la grève, les
déclarations des partis de l’opposition, des associations ou des
syndicats, tout est bon à prendre pour *brosser un tableau noir sur une
supposée société marocaine en colère contre ses dirigeants*.
Les récents scandales de harcèlement sexuel dans des université
marocaines – pain bénit pour l’agence de propagande algérienne – ont
bien évidemment reçu un traitement de faveur de sa part.
Les informations à même d’exaspérer les tensions maroco-espagnoles sont
également relayées et mises en exergue, toujours en prenant position
pour l’Espagne, notamment quand il s’agit des villes occupées.
*Une usine de fake news
*
L’agence de presse algérienne s’est acharnée dernièrement, dans une
série d’articles, sur *un rapport de la Banque mondiale* qu’elle a
qualifié de biaisé, erroné, et qu’elle a considéré comme une tentative
de déstabiliser l’Algérie. La dernière dépêche en date s’en est pris
violemment au vice-président de la Banque mondiale en charge de la
région MENA, Ferid Belhaj, qu’elle a accusé d’être à la solde du Maroc.
Ce rapport est en vérité anodin et ne diffère pas des rapports que
publie la Banque mondiale sur tous les pays. Il a même été à plusieurs
reprises positif à l’égard de l’Algérie. Il a toutefois considéré que
cette dernière avait profité “d’un répit temporaire” grâce à la montée
des prix des hydrocarbures à l’international, tout en mettant en garde
contre la hausse de l’inflation qui contribue à la détérioration du
niveau de vie de la population.
L’APS a accusé ce rapport de prévoir un “séisme économique” en Algérie.
Pur mensonge, puisque la seule fois où le rapport cite le mot séisme,
c’est en évoquant un réel tremblement de terre survenu dans les années
1980, dans un chapitre consacré à la résilience de l’Algérie face aux
risques climatiques et de catastrophe naturelle.
*Le mensonge est devenu la marque de fabrique de l’APS*
D’ailleurs, un traitement régulier et journalier est fait à la guerre
qu’est supposé mener le polisario au Sahara contre les FAR. Là encore
les fake news déferlent pour rapporter “des pertes humaines et
matérielles considérables” du côté marocain.
L’APS use la rhétorique habituelle du régime algérien qui vise à
diaboliser le Royaume, en l’accusant d’inonder l’Algérie de drogues, de
déstabiliser le pays en soutenant les mouvements Rachad et le MAK
qu’Alger considère comme terroristes, de comploter avec “l’ennemi
israélien”, et la liste est encore longue…
Pire, elle n’hésite pas à déformer des faits historiques, comme
lorsqu’elle nie l’expulsion en 1975 de 350.000 ressortissants marocains
qui vivaient en Algérie, après les avoir dépouillés de leurs biens. *Un
négationnisme grossier et scandaleux* qui montre à quel point cette
stratégie de désinformation n’a aucune limite.
*De quoi ces agissements sont-ils le symptôme ?*
Ces attaques gratuites reflètent *l’insécurité que vit le régime
algérien* en interne vis-à-vis de son opinion publique, et qui s’est
transformée en *un comportement hystérique* contre le Maroc.
Le hirak étouffé par les nombreuses arrestations d’activistes, les
pénuries répétitives des denrées alimentaires, la gestion catastrophique
des feux de forêt en Kabylie, l’incertitude face à l’avenir économique
du pays, entre autres, font que ce régime militaire se sent *sous la
menace d’un nouveau soulèvement populaire*.
Cette stratégie de désinformation n’a pour but que de convaincre les
Algériens que leurs voisins ne sont pas en meilleure situation qu’eux,
et que la source de leurs problèmes est l’État marocain et non pas leurs
propres dirigeants.
La transition du régime du tandem Bouteflika-Gaïd Salah à celui de
Tebboune-Chengriha, qui s’est faite dans la douleur, a été accompagnée
de grandes incertitudes. *Le régime fragilisé* a opté pour la solution
de facilité qui consiste à désigner un ennemi extérieur créé de toutes
pièces.
medias24
l'Algérie est devenu le rôle principal de l'APS, "agence de presse" du
régime algérien. Une agression médiatique qui ne semble pas près de
s'essouffler.
Faire porter le chapeau au Maroc pour tous les maux dont souffre
l'Algérie est devenu le rôle principal de l'APS, "agence de presse" du
régime algérien. Une agression médiatique qui ne semble pas près de
s'essouffler.
L’APS, « agence de presse » gouvernementale algérienne, consacre une
bonne partie de son flux “d’informations” à cibler le Maroc, soit en
l’accusant de comploter pour la déstabilisation de l’Algérie, soit en
brossant un tableau noir de la situation économique et sociale dans le pays.
La rubrique “Monde” de l’APS est désormais un concentré de haine envers
le Maroc. Par exemple, pour la seule journée du 3 janvier, le Royaume a
eu droit à dix dépêches, toutes allant dans le même sens : diaboliser le
pays, le déshumaniser, le rabaisser.
La terminologie utilisée dépasse toute imagination. Ainsi le Maroc y est
surnommé tantôt « voisin du mal et de la misère », tantôt « narco-État »
ou encore et tout simplement « l’ennemi ». Le mot Maroc en devient tabou.
La propagande algérienne contre le Maroc atteint des sommets inégalés.
Toute information, qu’elle soit vraie ou fausse, aura droit à une
dépêche de l’agence de presse algérienne dès lors qu’elle
est susceptible d’accabler le Royaume. Ce n’est pas écrit par des
journalistes, mais par des auteurs de fiction.
*Des attaques à répétition contre le Maroc*
Désireuse de projeter ses propres maux sur le Maroc, l’APS s’est mise à
l’affût de *toute information dans la presse marocaine ou dans les
réseaux sociaux* pour dépeindre le pays comme instable et au bord de
l’implosion.
Ainsi, *les comptes des Marocains sur les réseaux sociaux sont
minutieusement scrutés*, et toute critique ou colère envers le
gouvernement peut se transformer en dépêche de l’APS. Toute
manifestation ou grève, aussi minime soit-elle, va trouver son chemin
dans les grands titres de l’agence de presse algérienne.
La grogne des acteurs du tourisme, les appels à la grève, les
déclarations des partis de l’opposition, des associations ou des
syndicats, tout est bon à prendre pour *brosser un tableau noir sur une
supposée société marocaine en colère contre ses dirigeants*.
Les récents scandales de harcèlement sexuel dans des université
marocaines – pain bénit pour l’agence de propagande algérienne – ont
bien évidemment reçu un traitement de faveur de sa part.
Les informations à même d’exaspérer les tensions maroco-espagnoles sont
également relayées et mises en exergue, toujours en prenant position
pour l’Espagne, notamment quand il s’agit des villes occupées.
*Une usine de fake news
*
L’agence de presse algérienne s’est acharnée dernièrement, dans une
série d’articles, sur *un rapport de la Banque mondiale* qu’elle a
qualifié de biaisé, erroné, et qu’elle a considéré comme une tentative
de déstabiliser l’Algérie. La dernière dépêche en date s’en est pris
violemment au vice-président de la Banque mondiale en charge de la
région MENA, Ferid Belhaj, qu’elle a accusé d’être à la solde du Maroc.
Ce rapport est en vérité anodin et ne diffère pas des rapports que
publie la Banque mondiale sur tous les pays. Il a même été à plusieurs
reprises positif à l’égard de l’Algérie. Il a toutefois considéré que
cette dernière avait profité “d’un répit temporaire” grâce à la montée
des prix des hydrocarbures à l’international, tout en mettant en garde
contre la hausse de l’inflation qui contribue à la détérioration du
niveau de vie de la population.
L’APS a accusé ce rapport de prévoir un “séisme économique” en Algérie.
Pur mensonge, puisque la seule fois où le rapport cite le mot séisme,
c’est en évoquant un réel tremblement de terre survenu dans les années
1980, dans un chapitre consacré à la résilience de l’Algérie face aux
risques climatiques et de catastrophe naturelle.
*Le mensonge est devenu la marque de fabrique de l’APS*
D’ailleurs, un traitement régulier et journalier est fait à la guerre
qu’est supposé mener le polisario au Sahara contre les FAR. Là encore
les fake news déferlent pour rapporter “des pertes humaines et
matérielles considérables” du côté marocain.
L’APS use la rhétorique habituelle du régime algérien qui vise à
diaboliser le Royaume, en l’accusant d’inonder l’Algérie de drogues, de
déstabiliser le pays en soutenant les mouvements Rachad et le MAK
qu’Alger considère comme terroristes, de comploter avec “l’ennemi
israélien”, et la liste est encore longue…
Pire, elle n’hésite pas à déformer des faits historiques, comme
lorsqu’elle nie l’expulsion en 1975 de 350.000 ressortissants marocains
qui vivaient en Algérie, après les avoir dépouillés de leurs biens. *Un
négationnisme grossier et scandaleux* qui montre à quel point cette
stratégie de désinformation n’a aucune limite.
*De quoi ces agissements sont-ils le symptôme ?*
Ces attaques gratuites reflètent *l’insécurité que vit le régime
algérien* en interne vis-à-vis de son opinion publique, et qui s’est
transformée en *un comportement hystérique* contre le Maroc.
Le hirak étouffé par les nombreuses arrestations d’activistes, les
pénuries répétitives des denrées alimentaires, la gestion catastrophique
des feux de forêt en Kabylie, l’incertitude face à l’avenir économique
du pays, entre autres, font que ce régime militaire se sent *sous la
menace d’un nouveau soulèvement populaire*.
Cette stratégie de désinformation n’a pour but que de convaincre les
Algériens que leurs voisins ne sont pas en meilleure situation qu’eux,
et que la source de leurs problèmes est l’État marocain et non pas leurs
propres dirigeants.
La transition du régime du tandem Bouteflika-Gaïd Salah à celui de
Tebboune-Chengriha, qui s’est faite dans la douleur, a été accompagnée
de grandes incertitudes. *Le régime fragilisé* a opté pour la solution
de facilité qui consiste à désigner un ennemi extérieur créé de toutes
pièces.
medias24
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