En 2021, l’Algérie a reculé devant plusieurs pays africains comme le Rwanda, le Kenya, le Sénégal ou le Ghana qui disposent aujourd’hui d’une meilleure qualité de réseau télécoms, explique un important rapport international établi par un organisme indépendant qui est régulièrement consulté pour son expertise par l’Union internationale des télécommunications (UIT), une agence des Nations unies pour le développement spécialisé dans les technologies de l’information et de la communication et basée à Genève.
Dans son rapport « ECONOMIC IMPACT OF COVID-19 ON DIGITAL INFRASTRUCTURE », l’Union internationale des télécommunications (UIT) a effectivement présenté le réseau télécoms comme une composante essentielle de l’économie d’un pays, facilitant le flux de marchandises, permettant les exportations et assurant la fourniture de services publics à la population. Ce rapport a souligné que les pays d’Afrique ont intérêt à le renforcer pour ne pas rater l’économie numérique qui pourrait générer un revenu de 180 milliards $ sur le continent d’ici 2025 selon la Société financière internationale (SFI) et Google.
Malheureusement, l’Algérie, en matière de qualité du réseau télécoms, est non seulement largement en dessous de la moyenne mondiale, mais elle est aussi, désormais, distancée par plusieurs pays africains qui ont beaucoup investi et mieux gérer leur modernisation des réseaux télécoms à l’instar de Maurice, de l’Afrique du Sud ou encore du Kenya, expliquent à ce propos le le Portulans Institute (PI), un prestigieux institut de recherche et d’enseignement indépendant à but non lucratif basé à Washington DC, et Sterlite Technologies Limited, l’une des plus importantes sociétés technologiques multinationales indienne, dans leur rapport « THE NETWORK READINESS INDEX 2020 : Accelerating Digital Transformation in a post-COVID Global Economy » qui propose une analyse comparative de l’avenir de l’économie de réseau à l’échelle mondiale.
Ces deux organismes soulignent justement que « lorsque l’on compare les performances dans les six régions par pilier, il n’en reste pas moins que l’Europe est le groupe le plus prêt pour les réseaux, tandis que l’Afrique est la région la moins prête ». En effet, sur les quatre critères retenus dans le rapport pour juger de la qualité du réseau télécoms : le niveau technologique, l’accès pour les populations, l’environnement réglementaire, l’impact sur l’économie, l’Afrique occupe la dernière place au plan mondial.
Mais sur le continent africain, plusieurs pays surmontent leurs difficultés et réussissent des avancées notables dans la modernisation de leurs infrastructures télécoms. Et malheureusement, l’Algérie ne fait pas partie de ces pays qui tentent de rattraper leur retard.
Elle se retrouve ainsi dépassée par plusieurs autres pays africains aux moyens financiers beaucoup plus modestes. L’Algérie peine à concurrencer l’Ile Maurice, l’Afrique du Sud ou le Kenya qui ont été classés comme étant les 3 premiers pays africains disposant de la meilleure qualité des réseaux télécoms.
En réalité, l’Algérie ne fait même pas partie du TOP 10 des pays africains jouissant de la meilleure qualité des réseaux télécoms. Notre est classé à peine au 11e rang et se retrouve déclassé par l’Egypte, le Cap-Vert, la Tunisie, le Maroc, le Rwanda, le Ghana, le Botswana, le Sénégal ou la Namibie. Tous ces pays récolent une meilleure note délivrée par « THE NETWORK READINESS INDEX 2020 » appelé communément l’indice de préparation en réseau. Cet indice international était par le passé élaboré par le Forum économique mondial pour mesurer la propension des pays à exploiter les opportunités offertes par les technologies de l’information et des communications.
Algeriepartplus
Dans son rapport « ECONOMIC IMPACT OF COVID-19 ON DIGITAL INFRASTRUCTURE », l’Union internationale des télécommunications (UIT) a effectivement présenté le réseau télécoms comme une composante essentielle de l’économie d’un pays, facilitant le flux de marchandises, permettant les exportations et assurant la fourniture de services publics à la population. Ce rapport a souligné que les pays d’Afrique ont intérêt à le renforcer pour ne pas rater l’économie numérique qui pourrait générer un revenu de 180 milliards $ sur le continent d’ici 2025 selon la Société financière internationale (SFI) et Google.
Malheureusement, l’Algérie, en matière de qualité du réseau télécoms, est non seulement largement en dessous de la moyenne mondiale, mais elle est aussi, désormais, distancée par plusieurs pays africains qui ont beaucoup investi et mieux gérer leur modernisation des réseaux télécoms à l’instar de Maurice, de l’Afrique du Sud ou encore du Kenya, expliquent à ce propos le le Portulans Institute (PI), un prestigieux institut de recherche et d’enseignement indépendant à but non lucratif basé à Washington DC, et Sterlite Technologies Limited, l’une des plus importantes sociétés technologiques multinationales indienne, dans leur rapport « THE NETWORK READINESS INDEX 2020 : Accelerating Digital Transformation in a post-COVID Global Economy » qui propose une analyse comparative de l’avenir de l’économie de réseau à l’échelle mondiale.
Ces deux organismes soulignent justement que « lorsque l’on compare les performances dans les six régions par pilier, il n’en reste pas moins que l’Europe est le groupe le plus prêt pour les réseaux, tandis que l’Afrique est la région la moins prête ». En effet, sur les quatre critères retenus dans le rapport pour juger de la qualité du réseau télécoms : le niveau technologique, l’accès pour les populations, l’environnement réglementaire, l’impact sur l’économie, l’Afrique occupe la dernière place au plan mondial.
Mais sur le continent africain, plusieurs pays surmontent leurs difficultés et réussissent des avancées notables dans la modernisation de leurs infrastructures télécoms. Et malheureusement, l’Algérie ne fait pas partie de ces pays qui tentent de rattraper leur retard.
Elle se retrouve ainsi dépassée par plusieurs autres pays africains aux moyens financiers beaucoup plus modestes. L’Algérie peine à concurrencer l’Ile Maurice, l’Afrique du Sud ou le Kenya qui ont été classés comme étant les 3 premiers pays africains disposant de la meilleure qualité des réseaux télécoms.
En réalité, l’Algérie ne fait même pas partie du TOP 10 des pays africains jouissant de la meilleure qualité des réseaux télécoms. Notre est classé à peine au 11e rang et se retrouve déclassé par l’Egypte, le Cap-Vert, la Tunisie, le Maroc, le Rwanda, le Ghana, le Botswana, le Sénégal ou la Namibie. Tous ces pays récolent une meilleure note délivrée par « THE NETWORK READINESS INDEX 2020 » appelé communément l’indice de préparation en réseau. Cet indice international était par le passé élaboré par le Forum économique mondial pour mesurer la propension des pays à exploiter les opportunités offertes par les technologies de l’information et des communications.
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