On voudrait que croire ce militaire espagnol. Mais qui aurait songé que les FARces envahiraient l'ilot à chèvres ibérique de Persil en juillet 2002? Donc, il faut toujours se méfier de la dictature marocaine et de son impérialisme légendaire.
- A l'opposé des Cassandre politiques et médiatiques en Espagne qui s’alarment quant à l’armement du Maroc et de son impact sur la présence espagnole à Ceuta et Melilla, le chef des armées espagnoles a affirmé que Rabat ne constitue pas une «menace» pour les deux enclaves.
«Le Maroc ne constitue pas une menace pour Ceuta et Melilla», a affirmé le chef des armées en Espagne, l’amiral Teodoro López Calderón, lors de sa participation à une conférence publique, ce lundi. En réponse à une question posée par le n°2 de Vox, Ortega Smith, le militaire a toutefois reconnu qu’il y a des actions de la part de Rabat entrant dans le cadre de ce qui est appelé «zone grise», citant particulièrement la crise migratoire de mai lors de l’exode de milliers de Marocains vers Ceuta.
(...). «n’est pas une menace directe pour l'Espagne, ni pour Ceuta et Melilla».
Et de préciser que «le Maroc n'a jamais exprimé sa volonté d'annexer les deux villes autonomes par la force», ajoutant que «l'Espagne a une capacité de dissuasion qui ne se limite pas seulement à ses forces armées».
Le Sahara occidental est un «casus belli» pour le Maroc
L’amiral a affirmé, par ailleurs, qu’en ce «moment le principal rival» du Maroc est l’Algérie, soulignant que le conflit du Sahara occidental est «le problème le plus grave» auquel Rabat fait face. Un constat conforme au rapport, intitulé «Scénario de sécurité Maghreb 2040», présenté à Pedro Sanchez en juin 2018. Son auteur, un colonel des renseignements militaires, a indiqué que le Maroc considère la question du Sahara comme étant une «cause sacrée» et «un casus belli».
Ya...bi (extraits)
- A l'opposé des Cassandre politiques et médiatiques en Espagne qui s’alarment quant à l’armement du Maroc et de son impact sur la présence espagnole à Ceuta et Melilla, le chef des armées espagnoles a affirmé que Rabat ne constitue pas une «menace» pour les deux enclaves.
«Le Maroc ne constitue pas une menace pour Ceuta et Melilla», a affirmé le chef des armées en Espagne, l’amiral Teodoro López Calderón, lors de sa participation à une conférence publique, ce lundi. En réponse à une question posée par le n°2 de Vox, Ortega Smith, le militaire a toutefois reconnu qu’il y a des actions de la part de Rabat entrant dans le cadre de ce qui est appelé «zone grise», citant particulièrement la crise migratoire de mai lors de l’exode de milliers de Marocains vers Ceuta.
(...). «n’est pas une menace directe pour l'Espagne, ni pour Ceuta et Melilla».
Et de préciser que «le Maroc n'a jamais exprimé sa volonté d'annexer les deux villes autonomes par la force», ajoutant que «l'Espagne a une capacité de dissuasion qui ne se limite pas seulement à ses forces armées».
Le Sahara occidental est un «casus belli» pour le Maroc
L’amiral a affirmé, par ailleurs, qu’en ce «moment le principal rival» du Maroc est l’Algérie, soulignant que le conflit du Sahara occidental est «le problème le plus grave» auquel Rabat fait face. Un constat conforme au rapport, intitulé «Scénario de sécurité Maghreb 2040», présenté à Pedro Sanchez en juin 2018. Son auteur, un colonel des renseignements militaires, a indiqué que le Maroc considère la question du Sahara comme étant une «cause sacrée» et «un casus belli».
Ya...bi (extraits)
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