Un ancien colonel algérien a appelé les séparatiste du polisario à lancer une guerre contre le Maroc, en visant Casablanca et Marrakech, la capitale économique et la capitale du tourisme. Ce dernier est poursuivi pour viol depuis plusieurs années, mais il est toujours en liberté car protégé par les secrets militaires qu’il détient contre l’Algérie.
Dans une intervention télévisée, un ancien militaire à la retraite, a appelé les milices du Polisario à commettre des actes terroristes dans le centre du Maroc, alors que jusqu’ici les attaques des séparatistes sahraouis, selon leurs communiqué de guerre, indiquaient qu’il attaquaient le sud du Maroc, dans ses provinces sahariennes.
« Déplacez la guerre sur le territoire marocain pour semer le chaos et la terreur à Casablanca, à Marrakech. Si vous voulez l’indépendance, vous devez mourir en martyrs », a lancé Mokhtar Said Mediouni, dans une déclaration aussi irresponsable que grave sur la chaine Al Hayat TV qui lui créé une émission sur mesure.
Dans cette déclaration publique de l’ancien militaire habitué des plateaux télévisés, et qui incarne l’une des voix de l’Algérie, les autorités algériennes dévoilent mieux leur jeu et démontrent la visée de l’escalade continue qu’Alger cherche depuis un an.
Le plan algérien contre le Maroc se dessine, et après l’escalade diplomatique c’est vers le militaire que l’Algérie se dirige. Mais de toute évidence, c’est à travers le polisario que l’Algérie cherche à déclarer la guerre au Maroc.
L’homme qui a fait cette dangereuse déclaration de guerre, sans que l’Algérie ne le recadre ou que la chaine fasse des excuses, a ses entrées au sein de l’armée algérienne, et s’est retrouvé protégé par la justice algérienne à la solde de l’Etat. Pourtant, il est poursuivi pour viol et agression sexuelle depuis 2015 mais n’a jamais été condamné.
Depuis 6 ans, rien n’a été fait pour la victime, tandis que le violeur continue d’être invité sur les plateaux de télévision algériens et d’intervenir comme un expert sécuritaire.
Selon Algérie Part, l’ancien officier aurait usé de ses relations pour faire enterrer le dossier et que son cas ne soit pas révélé au public. En contre partie, Mokhtar Said Mediouni devait garder le silence sur les pratiques sécuritaires et les secrets militaires de l’Algérie.
hespress
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