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Le Royaume-Uni clarifie sa position sur la question de la souveraineté du Sahara occidental.
Le Royaume-Uni réitère son soutien à une solution durable au conflit du Sahara occidental qui garantit l'autodétermination de son peuple conformément aux principes des Nations Unies.
ECS. Londres. | Le ministre britannique des Affaires étrangères, James Cleverley, a réaffirmé que la position de son pays soutient pleinement les efforts menés par l'ONU, comme mentionné dans la résolution 2548 du Conseil de sécurité, pour parvenir à une solution juste, durable et politique mutuellement acceptable pour les parties, sur la base d'un accord qui prévoit l'autodétermination du peuple du Sahara occidental conformément aux principes et aux buts de la Charte des Nations Unies.
Il a également expliqué en réponse aux questions du Parlement sur les efforts du Royaume-Uni à cet égard : « Il y a des discussions régulières avec les Nations Unies, à la fois à New York et dans la région, ainsi qu'avec les parties sur la situation au Sahara occidental. , exprimant également que le Royaume-Uni se félicite de la nomination de Staffan De Mistura en tant qu'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental et encourage les parties à tirer le meilleur parti de cette opportunité pour un processus politique renouvelé. »
Concernant la déclaration unilatérale de Trump, Cleverley a noté que le Royaume-Uni définit le Sahara occidental comme un territoire non autonome et soutient les efforts menés par l'ONU pour parvenir à une solution politique mutuellement acceptable et durable qui accorde le droit à l'autodétermination au peuple du Sahara occidental. .
Concernant l'accord d'association avec le Maroc, le responsable britannique a souligné que l'accord d'association entre le Royaume-Uni et le Maroc ne porte pas atteinte à la position de son pays sur le statut du Sahara occidental, qu'il considère indéterminé et dans l'attente d'une solution politique permanente et mutuellement acceptable qui prévoit le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.
Le ministre britannique des Affaires étrangères a reçu des questions de parlementaires sur la question du Sahara occidental et les développements liés au processus de paix dirigé par l'ONU et à l'exploitation des ressources naturelles du territoire.
Le député Barry Sherman, à travers une question écrite, a demandé des éclaircissements sur les discussions qu'il a eues avec ses homologues de l'ONU sur la fin de la guerre au Sahara occidental.
André Gouyin s'est également interrogé sur les résultats des discussions tenues par le ministre des Affaires étrangères et son homologue américain sur la reconnaissance des revendications du Maroc sur la prétendue souveraineté du Sahara occidental.
Pendant ce temps, le député Kim Johnson a demandé si le peuple sahraoui du Sahara Occidental occupé et des camps de réfugiés avait été consulté sur l'inclusion de certains produits du Sahara Occidental dans l'accord de partenariat entre le Royaume-Uni et le Maroc.
Notamment, les événements au Sahara occidental reçoivent une attention sans précédent au Parlement britannique. Depuis novembre de l'année dernière, le gouvernement a reçu plus de 80 demandes de renseignements.
Le Royaume-Uni réitère son soutien à une solution durable au conflit du Sahara occidental qui garantit l'autodétermination de son peuple conformément aux principes des Nations Unies.
ECS. Londres. | Le ministre britannique des Affaires étrangères, James Cleverley, a réaffirmé que la position de son pays soutient pleinement les efforts menés par l'ONU, comme mentionné dans la résolution 2548 du Conseil de sécurité, pour parvenir à une solution juste, durable et politique mutuellement acceptable pour les parties, sur la base d'un accord qui prévoit l'autodétermination du peuple du Sahara occidental conformément aux principes et aux buts de la Charte des Nations Unies.
Il a également expliqué en réponse aux questions du Parlement sur les efforts du Royaume-Uni à cet égard : « Il y a des discussions régulières avec les Nations Unies, à la fois à New York et dans la région, ainsi qu'avec les parties sur la situation au Sahara occidental. , exprimant également que le Royaume-Uni se félicite de la nomination de Staffan De Mistura en tant qu'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental et encourage les parties à tirer le meilleur parti de cette opportunité pour un processus politique renouvelé. »
Concernant la déclaration unilatérale de Trump, Cleverley a noté que le Royaume-Uni définit le Sahara occidental comme un territoire non autonome et soutient les efforts menés par l'ONU pour parvenir à une solution politique mutuellement acceptable et durable qui accorde le droit à l'autodétermination au peuple du Sahara occidental. .
Concernant l'accord d'association avec le Maroc, le responsable britannique a souligné que l'accord d'association entre le Royaume-Uni et le Maroc ne porte pas atteinte à la position de son pays sur le statut du Sahara occidental, qu'il considère indéterminé et dans l'attente d'une solution politique permanente et mutuellement acceptable qui prévoit le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.
Le ministre britannique des Affaires étrangères a reçu des questions de parlementaires sur la question du Sahara occidental et les développements liés au processus de paix dirigé par l'ONU et à l'exploitation des ressources naturelles du territoire.
Le député Barry Sherman, à travers une question écrite, a demandé des éclaircissements sur les discussions qu'il a eues avec ses homologues de l'ONU sur la fin de la guerre au Sahara occidental.
André Gouyin s'est également interrogé sur les résultats des discussions tenues par le ministre des Affaires étrangères et son homologue américain sur la reconnaissance des revendications du Maroc sur la prétendue souveraineté du Sahara occidental.
Pendant ce temps, le député Kim Johnson a demandé si le peuple sahraoui du Sahara Occidental occupé et des camps de réfugiés avait été consulté sur l'inclusion de certains produits du Sahara Occidental dans l'accord de partenariat entre le Royaume-Uni et le Maroc.
Notamment, les événements au Sahara occidental reçoivent une attention sans précédent au Parlement britannique. Depuis novembre de l'année dernière, le gouvernement a reçu plus de 80 demandes de renseignements.
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