Kadhafi dispense les Algériens de la taxe d’entrée en Libye
Le colonel Mouammar Kadhafi a décidé d’annuler la taxe de 1000 euros imposée aux Algériens. Les deux pays se sont entendus afin de plier le dossier de la crise née de la décision libyenne d’imposer le visa à tous les voyageurs en direction de la Libye, y compris les ressortissants maghrébins.
Le Premier ministre libyen, Al Baghdadi Ali Al Mahmoudi, a précisé à des médias publics, hier après sa rencontre avec le président Bouteflika, que la réunion qu’il a tenu avec son homologue Abdelaziz Belkhadem « a abouti à la levée de toutes les contraintes liées à la circulation des personnes et des marchandises entre les deux pays ». Une source bien informée a indiqué que la levée des contraintes sur la circulation des personnes signifie que les Algériens seront dispensés de payer la taxe d’entrée en Libye. Cette mesure avait été prise par le ministère de l’Intérieur libyen l’année dernière, après que plusieurs Etats arabes et maghrébins, notamment l’Algérie, aient protesté contre la décision d’imposer le visa aux personnes désirant se rendre en Libye. Tripoli avait alors recouru à la taxe afin de remplacer le visa.
Al Mahmoudi a déclaré qu’il a transmis un message oral de la part du colonel Kadhafi à Bouteflika qui est « lié à la coopération bilatérale, et son désir d’asseoir une coopération solide entre l’Algérie et la Libye ». La même source a déclaré que la question des prisonniers algériens de Libye a été traitée avec acuité lors de la rencontre, et Al Mahmoudi s’est engagé à régler la crise prochainement.
Abdelaziz Belkhadem a révélé, à l’ouverture des travaux de la rencontre, que les deux pays « constituent un trait d’union entre les deux espaces arabe et méditerranéen ».
Il a également évoqué la construction du Maghreb, dans le discours d’ouverture de la rencontre, et il a appelé implicitement les Marocains à ne plus lier l’édification du Maghreb à la question du Sahara occidental. Il a déclaré à ce sujet : « Nous sommes appelés à multiplier les efforts, dans l’opération de construction du projet maghrébin, et à le mettre à l’abri des questions circonstancielles et des conflits collatéraux ».
Le colonel Mouammar Kadhafi a décidé d’annuler la taxe de 1000 euros imposée aux Algériens. Les deux pays se sont entendus afin de plier le dossier de la crise née de la décision libyenne d’imposer le visa à tous les voyageurs en direction de la Libye, y compris les ressortissants maghrébins.
Le Premier ministre libyen, Al Baghdadi Ali Al Mahmoudi, a précisé à des médias publics, hier après sa rencontre avec le président Bouteflika, que la réunion qu’il a tenu avec son homologue Abdelaziz Belkhadem « a abouti à la levée de toutes les contraintes liées à la circulation des personnes et des marchandises entre les deux pays ». Une source bien informée a indiqué que la levée des contraintes sur la circulation des personnes signifie que les Algériens seront dispensés de payer la taxe d’entrée en Libye. Cette mesure avait été prise par le ministère de l’Intérieur libyen l’année dernière, après que plusieurs Etats arabes et maghrébins, notamment l’Algérie, aient protesté contre la décision d’imposer le visa aux personnes désirant se rendre en Libye. Tripoli avait alors recouru à la taxe afin de remplacer le visa.
Al Mahmoudi a déclaré qu’il a transmis un message oral de la part du colonel Kadhafi à Bouteflika qui est « lié à la coopération bilatérale, et son désir d’asseoir une coopération solide entre l’Algérie et la Libye ». La même source a déclaré que la question des prisonniers algériens de Libye a été traitée avec acuité lors de la rencontre, et Al Mahmoudi s’est engagé à régler la crise prochainement.
Abdelaziz Belkhadem a révélé, à l’ouverture des travaux de la rencontre, que les deux pays « constituent un trait d’union entre les deux espaces arabe et méditerranéen ».
Il a également évoqué la construction du Maghreb, dans le discours d’ouverture de la rencontre, et il a appelé implicitement les Marocains à ne plus lier l’édification du Maghreb à la question du Sahara occidental. Il a déclaré à ce sujet : « Nous sommes appelés à multiplier les efforts, dans l’opération de construction du projet maghrébin, et à le mettre à l’abri des questions circonstancielles et des conflits collatéraux ».
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