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08 juillet 2021
L'ancien président américain Donald Trump a été particulièrement irrité par le fait que l'ex-Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ait félicité Joe Biden pour sa victoire aux élections américaines de 2020, et aurait qualifié le geste de son allié de "trahison ultime".
Les faits, qui sont décrits dans le prochain livre du journaliste Michael Wolff sur la présidence Trump, ont été rapportés mercredi par le site Forward, qui a obtenu une copie de l'ouvrage "Landslide : The Final Days of the Trump Presidency".
"Même s'ils s'attendaient à une éruption, les adjoints de Trump ont été surpris de voir sa colère s'abattre sur Bibi Netanyahou", écrit M. Wolff, qui cite Trump disant à ses assistants que le tweet de Netanyahou à Biden a été envoyé "avant que l'encre ne sèche" et qu'il s'agissait d'une "ultime trahison".
"Comme pour toutes les réactions de Trump, une variété de griefs a rejailli", a souligné M. Wolff dans son livre qui sortira le 13 juillet. "Il y avait la conviction qu'il avait singulièrement fait plus pour Israël que n'importe quel président américain - et que, par conséquent, on lui devait quelque chose."
La colère apparente de M. Trump est intervenue alors que M. Netanyahou était l'un des tout derniers grands dirigeants mondiaux à féliciter M. Biden et Mme Kamala Harris, suscitant même des avertissements selon lesquels il mettait en péril les relations d'Israël avec les États-Unis.
Le Premier ministre israélien a félicité Joe Biden et Kamala Harris via un message sur Twitter, plus de 12 heures après que les médias américains ont annoncé la victoire des démocrates.
Dans un deuxième tweet, B. Netanyahou a remercié Donald Trump "pour l'amitié que vous avez témoignée à l'État d'Israël et à moi personnellement, pour avoir reconnu Jérusalem et le Golan, pour avoir tenu tête à l'Iran, pour les accords de paix historiques et pour avoir porté l'alliance américano-israélienne à des sommets sans précédent".
B. Netanyahou avait bâti une relation étroite avec D. Trump et son administration, qui a inversé des décennies de politique américaine en reconnaissant la souveraineté israélienne sur Jérusalem et le plateau du Golan, et en mettant à mal l'opposition à la construction d'implantations israéliennes en Cisjordanie.
24news.tv
L'ancien président américain Donald Trump a été particulièrement irrité par le fait que l'ex-Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ait félicité Joe Biden pour sa victoire aux élections américaines de 2020, et aurait qualifié le geste de son allié de "trahison ultime".
Les faits, qui sont décrits dans le prochain livre du journaliste Michael Wolff sur la présidence Trump, ont été rapportés mercredi par le site Forward, qui a obtenu une copie de l'ouvrage "Landslide : The Final Days of the Trump Presidency".
"Même s'ils s'attendaient à une éruption, les adjoints de Trump ont été surpris de voir sa colère s'abattre sur Bibi Netanyahou", écrit M. Wolff, qui cite Trump disant à ses assistants que le tweet de Netanyahou à Biden a été envoyé "avant que l'encre ne sèche" et qu'il s'agissait d'une "ultime trahison".
"Comme pour toutes les réactions de Trump, une variété de griefs a rejailli", a souligné M. Wolff dans son livre qui sortira le 13 juillet. "Il y avait la conviction qu'il avait singulièrement fait plus pour Israël que n'importe quel président américain - et que, par conséquent, on lui devait quelque chose."
La colère apparente de M. Trump est intervenue alors que M. Netanyahou était l'un des tout derniers grands dirigeants mondiaux à féliciter M. Biden et Mme Kamala Harris, suscitant même des avertissements selon lesquels il mettait en péril les relations d'Israël avec les États-Unis.
Le Premier ministre israélien a félicité Joe Biden et Kamala Harris via un message sur Twitter, plus de 12 heures après que les médias américains ont annoncé la victoire des démocrates.
Dans un deuxième tweet, B. Netanyahou a remercié Donald Trump "pour l'amitié que vous avez témoignée à l'État d'Israël et à moi personnellement, pour avoir reconnu Jérusalem et le Golan, pour avoir tenu tête à l'Iran, pour les accords de paix historiques et pour avoir porté l'alliance américano-israélienne à des sommets sans précédent".
B. Netanyahou avait bâti une relation étroite avec D. Trump et son administration, qui a inversé des décennies de politique américaine en reconnaissant la souveraineté israélienne sur Jérusalem et le plateau du Golan, et en mettant à mal l'opposition à la construction d'implantations israéliennes en Cisjordanie.
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