L’enquête menée par le juge d’instruction, Rafael Lasala, pour identifier la partie qui a autorisé l’atterrissage, le 18 avril, à la base de Saragosse, de l’avion de la présidence algérienne avec à son bord le chef du Polisario, commence à fournir de nouvelles données.
Les premiers éléments pointent une responsabilité directe du ministère des Affaires étrangères, annonce le média Heraldo. Le département d’Arancha Gonzalez n’a pas facilité aux militaires l’accès à l’identité de Brahim Ghali et son compagnon, précise le général de la base de Saragosse, Ortiz Cañabate dans ses réponses aux questions du juge d’instruction. Le ministère a seulement indiqué que parmi les passagers de l’avion il y a une personne malade qui sera évacuée vers un hôpital.
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Le général Cañabate affirme que l'avion de la présidence algérienne a atterri «conformément à l'ordre communiqué par téléphone aux responsables de la Base par la Commission des relations internationales de l'état-major général de l’armée de l’air». A son arrivée, l'avion a été conduit «pour des raisons de sécurité» vers la plate-forme militaire, «une pratique courante pour les avions d'Etat», raconte le général. Une fois les ordres du ministère des Affaires étrangères reçus par l’état-major de l’armée de l’air, le personnel de l’avion «n’ont pas subi le traditionnel contrôle des passagers à la frontière». Par téléphone, il a été signalé qu’«il y avait un passager malade», de nationalité «algérienne venu sur une civière» et accompagné d’une autre personne.
Pour rappel, le juge d’instruction au tribunal n°7 à Saragosse, Rafael Lasala a exigé le 18 juin au ministère de la Défense et au commandement militaire aérien de la base de Saragosse de révéler l’identité de la partie qui a autorisé l’entrée de Brahim Ghali en Espagne.
Ya.bil
Les premiers éléments pointent une responsabilité directe du ministère des Affaires étrangères, annonce le média Heraldo. Le département d’Arancha Gonzalez n’a pas facilité aux militaires l’accès à l’identité de Brahim Ghali et son compagnon, précise le général de la base de Saragosse, Ortiz Cañabate dans ses réponses aux questions du juge d’instruction. Le ministère a seulement indiqué que parmi les passagers de l’avion il y a une personne malade qui sera évacuée vers un hôpital.
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Le général Cañabate affirme que l'avion de la présidence algérienne a atterri «conformément à l'ordre communiqué par téléphone aux responsables de la Base par la Commission des relations internationales de l'état-major général de l’armée de l’air». A son arrivée, l'avion a été conduit «pour des raisons de sécurité» vers la plate-forme militaire, «une pratique courante pour les avions d'Etat», raconte le général. Une fois les ordres du ministère des Affaires étrangères reçus par l’état-major de l’armée de l’air, le personnel de l’avion «n’ont pas subi le traditionnel contrôle des passagers à la frontière». Par téléphone, il a été signalé qu’«il y avait un passager malade», de nationalité «algérienne venu sur une civière» et accompagné d’une autre personne.
Pour rappel, le juge d’instruction au tribunal n°7 à Saragosse, Rafael Lasala a exigé le 18 juin au ministère de la Défense et au commandement militaire aérien de la base de Saragosse de révéler l’identité de la partie qui a autorisé l’entrée de Brahim Ghali en Espagne.
Ya.bil
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