Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La souffrance des immigrés clandestins au Maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Envoyé par dalhouss
    un petit article bien chaud mon grand:

    Immigration : l’Algérie refoule les clandestins subsahariens.
    Merci pour ton article.

    Mais biensur l'Algérie rapatrie les immigrés clandestins dans leur pays d'origine, elle ne va tout de même pas les laisser indéfiniment sur son territoire.

    Mais ils sont rapatriés sans le racisme primaire qu'on trouve au Maroc avec tout le traitement qui va avec.

    Commentaire


    • #17
      Le Maroc convoité par les étudiants subsahariens

      Le Maroc convoité par les étudiants subsahariens
      11 décembre 2007 -

      Le Maroc serait devenu une destination de formation universitaire convoitée. Tout porte à le croire lorsqu’on regarde de près les chiffres avancés par l’Agence marocaine de coopération internationale. De 7038 étudiants en 2005/2006, ils étaient plus de 7500 à être inscrits dans nos cycles de formation pour l’année universitaire 2006/2007. La majorité des étudiants étrangers accueillis sur notre sol, soit 70%, proviennent des pays subsahariens. Les pays arabes et asiatiques sont également représentés mais dans une moindre proportion. Ces chiffres montrent que l’affluence des étudiants étrangers sur les établissements d’enseignement supérieur marocains connaît une croissance régulière durant ces dernières années.


      Si ces statistiques témoignent d’une attraction pour notre pays, il n’en demeure pas moins que pour certains étudiants, le quotidien est loin d’être facile et ce, notamment dans le Nord du Royaume où l’Université Abdelmalek Essaâdi reçoit un nombre important de ces universitaires. Que ce soit à Tanger, à Martil ou à Tétouan, la majorité souffre d’un « amalgame » qui est fait entre eux et les clandestins subsahariens. C’est ce que nous explique Josias, étudiant togolais à Tétouan : « Le problème majeur, c’est l’amalgame qui vise à nous attribuer cette étiquette de clandestin (…) Les préjugés existent et nous en faisons les frais car bon nombre de Marocains pensent que notre principal objectif est de passer les frontières pour rejoindre l’Espagne… »

      Il est vrai que le Maroc n’attire pas seulement des étudiants dont le but est de retourner chez eux après leur cycle d’études mais, vu sa position géographique, notre pays est devenu un important espace de transit pour des milliers de migrants provenant d’Afrique subsaharienne. Et si la situation des clandestins au Maroc est peu réjouissante, celle des étudiants africains, par amalgame, l’est aussi.

      Le premier écueil qu’ils rencontrent n’est pas des moindres puisqu’il concerne le logement. Les étudiants peuvent rencontrer des problèmes avec des propriétaires qui, pour échapper aux différentes taxes de location, préfèrent repousser continuellement la remise du contrat de bail. Résultat : le processus d’attribution de carte de séjour se retrouve entravé. C’est le cas de cet étudiant nigérian : « L’année dernière, j’ai changé quatre fois d’appartement. Mais le problème persistait avec les propriétaires. J’ai pris beaucoup de retard dans mes études alors que, dans mon pays, je faisais partie des premiers de ma promotion. A la fin de l’année, j’ai dû consulter régulièrement mon médecin car je faisais une dépression (…) ». Une carte de séjour qui devient nécessaire, voire primordiale, lors des sorties. Les contrôles d’identité se multipliant… « Je comprends tout à fait que l’on me contrôle au sein d’une gare ou dans la rue mais de là à nous demander nos papiers d’identité dans une buvette, en face de la Faculté, cela devient de l’acharnement, par délit de faciès », poursuivra Josias. Il continue en nous racontant qu’un de ses amis se serait fait arrêter sans sa carte de séjour. Après moult explications, c’est dans un poste de police que cet étudiant a élu domicile pour une nuit. Il aurait été relâché, le lendemain, après l’intervention de l’Agence de Coopération… D’autres se font arrêter aux portes des moyens de transport pour contrôle d’identité improvisé…

      Dans l’enceinte des Universités, les étudiants africains circulent généralement en groupe. Et très peu de Marocains en font partie : « Il y a un problème sérieux qui nous empêche de vivre en mixité. Nous parlons exclusivement le français et pas l’arabe alors que nos amis marocains ne communiquent qu’en arabe et ont du mal à le faire en français (…) », selon Muriel, étudiant béninois. De plus, ajoute-t-il, « nous avons également des difficultés en cours. Certains professeurs oublient trop souvent que la langue d’enseignement, à l’Université, est le français. Les explications sont teintées de mots arabes que nous ne comprenons pas… ».

      Dans ces conditions, à la question de vouloir rester au Maroc pour y travailler, ils nous répondront sans sourciller : « Nous préférons tout de même rentrer chez nous… »

      Libération - Amel Nejjari

      Commentaire


      • #18
        Envoyé par rahmani
        d'abord le maroc n'a jamais mis les harraga en prison, qui'ils soient marocains ou étrangers. en algérien les harragas algériens et étrangers sont justiciables.

        quand les africains du sud sahara arrivent au maroc , ils sont déjà sans le sous , ils ont été délesté de leurs biens au cours de la traversée algérienne, la population marocaine font tout pour venir en leur aide. et il y déjà qui ont élu domicile au maroc. ne racontez pas n'importe quoi le vis est en algérie.
        Ah alors toi, tu ne trouve pas mieux que de rédiger un nouvel article imaginaire juste pour contredire l'enquête sérieuse menée sur le terrain par le Monde.

        Bonne chance !

        Commentaire


        • #19
          mendz t'a jamais vu cela au Maroc,ou bien tu donnes des prejugés selon tel ou tel journal,je dirai pas qu'il y a racisme a leur egard mais certains leur comportement laisse a desiré'non repect des voisins en cas de location,mendier,et surtout agression envers les gens surtout au nord du Maroc et d'ailleurs c'est pour ca que les gens les denoncent,...),avec moi y avait des etudiants subsahariens il avait vers les 300 euro par mois comme bourse,on fesait des match de foot ensemble ,on preparais ensemble,on fesait des excursions ,ça m'etonne,mais j'espere que t'a vraiment visité le Maroc,car sinon c'est injuste des jugements.

          Commentaire


          • #20
            mendz,



            moi je te dis ce que je vois ici au maroc, je les vois tous les jours , il ne sont pas inquiétés ni par la police ni par la population, au contraire la populutation est solidaire, moi-meme j'ai donné de l'argent. je n'attends pas qu'un étranger vient me dire ce qui se passe dans mon pays.

            Commentaire


            • #21
              il y a deux type d'immigre, le legale et etudiants.
              http://video.google.com/videoplay?do...66487130&hl=en

              et il y a les illigaux c'est la ou est le probleeme parcequee sa cree au maroc des probleme.
              http://www.dailymotion.com/video/x4c...orocc_politics

              le maroc n'a pas les moyens ni les resource de l'europe c'est tous ce quue je peuss dire.

              Commentaire


              • #22
                Pas de reponse. Donc il n'y a pas d'article de la presse internationale sur la situaiton d'immigres en algerie. Pourquoi? Par ce que tout simplement ce n'est pas possible pour la presse internationale d'etablir un tel reportage sur la situation en algerie, bien que des dizaines sinon des centaines de milliers de clandestin subsahariens soient plus qu'interessant.

                Au Maroc par contre, la presse internationale peut ecrire de tels articles. Du coup on exploite ce fait pour dennoncer le Maroc.

                Il faut etaler cette situation a tous les autres cas. A un moment donne on cryait par exemple que les harragas ne vennaient que du Maroc, puis peu a peu, la presse algerienne nationalea ouvert les yeux sur ce drame de tres grande ampluer en algerie.

                Mendz, la lecon de cela? Il faut garder la la balance et l'esprit fair et sportif. Et surtout ne pas lancer de cailloux sur les autres quand sa propre maison est faite de verre.

                Bonsoir Mendz,

                Mais c'est juste une estimation. Mais est-ce que tu connais un article de la presse etrangere sur la situation en Algerie, comme celui en haut? S'il sont aussi nombreux donc la presse mondiale doit en parler non? Je pense qu'aljazeera avait parle d'eux aussi au Maroc mais pas en algerie?? Ca m'interesserait de savoir.

                Merci

                Commentaire


                • #23
                  il y a deux type d'immigre, le legale et etudiants.
                  http://video.google.com/videoplay?do...66487130&hl=en

                  et il y a les illigaux c'est la ou est le probleeme parcequee sa cree au maroc des probleme.
                  http://www.dailymotion.com/video/x4c...orocc_politics

                  le maroc n'a pas les moyens ni les resource de l'europe c'est tous ce quue je peuss dire.
                  tres bien fait les films....

                  évidamant que le maroc ou l'algerie ou la libye ..etc non pas les moyen d'accueillir des millié de clandestins ç pas qu'ils soit de mauvaise fois ou qu'ils aient de mauvaise intention...ç juste que ç des pays du tier monde ou émérgant qui ont déja du mal a s'occuper de leur propre citoyen .....on ne peut en aucun cas les blamer......ce qui est juste condanable ç les vols ou le raquétte que subisse les clandestin lors de controle de police ou de gendarmerie de par en d'autre de chaque frontier....ça par contre ç évitable...mais la ç une question d'éducation....et bon on connais bien l'éducation de nos service de sécurité en matiere de raquéttage
                  tu tombe je tombe car mane e mane
                  après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X