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Crise maroco-espagnole: déclaration du Ministère des Affaires Étrangères Marocain

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  • #16
    La franchise n’a jamais été une menace et la défense légitime de positions ne saurait être assimilée à du chantage.
    Point final.

    Contrairement a nos amis aveuglés par leur complexes, je ne vois pas de médiocrité.

    Je concede cela dit que les mots sont forts et le ton autoritaire... un peu trop ? A suivre...

    Hate de voir le denouement de cette histoire, puisque au final, les impressions et opinions des uns et des autres ne valent rien... La réalité sur le terrain prime

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    • #17
      Envoyé par rago Voir le message
      Et si les FARces retentaient à libérer l'ilot à chèvres ibérique de Persil? Ne serait-ce pas une autre manière de démontrer à l'Espagne que la dictature marocaine peut lui tenir tête!
      Certains forumistes semblent oublier que l'Espagne possède aussi-malheureusement- ses racistes et il ne pas bon actuellement d'être Marocain en ce pays selon ma fille qui réside à Ibiza.

      Maroc : le discours d’un roi
      (...).
      "PAS UN MOT SUR L’ATTENTAT DE BARCELONE, SURVENU À PEINE TROIS JOURS PLUS TÔT"

      Reste que si ce discours d’un roi émeut par l’intensité de sa foi africaine, il étonne aussi les médias européens par son non-dit. Pas un mot sur l’attentat de Barcelone, survenu à peine trois jours plus tôt. Rien sur les terroristes des Ramblas ou celui de Turku (Finlande), tous marocainscette nationalité qui, disait Hassan II, ne s’acquiert ni ne se perd. Tout pour l’Afrique, rien que de l’Afrique, comme si le royaume n’était plus concerné par ce que perpètrent en Europe ses fils dévoyés.

      Cette indifférence n’est pourtant qu’apparente, elle est même tout le contraire de la réalité. Il y a d’abord l’habitude souveraine : dans ses discours comme dans ses actes, un roi marocain ne mélange pas les genres et ne saurait laisser flotter son propos au fil de l’actualité, si convulsive fût-elle. Il y a, surtout, la prise en compte d’un double constat. Le fait d’abord que l’État marocain n’a plus de prise sur ceux de ses ressortissants dont la radicalisation s’est effectuée en Europe, sous la juridiction et la surveillance (parfois aléatoires) des services de sécurité européens et dans un contexte (échec des politiques d’intégration, frustrations sociales, sentiment de rejet) spécifiquement européen. Parmi les terroristes de Barcelone, certains avaient quitté le royaume à l’âge de 5 ans, voire dès l’âge de 6 mois, et prenaient soin de ne donner, lors de leurs séjours dans leurs localités d’origine, aucun signe repérable de militantisme.

      Suggérer, comme l’ont fait des journaux espagnols ou britanniques, que le Maroc se débarrasserait de ses jihadistes en facilitant leur émigration vers l’Europe, voire qu’il existerait une sorte de prédisposition génétique des Marocains à l’extrémisme, n’a donc aucun sens-.

      Maroc : le discours d’un roi – Jeune Afrique

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