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Ministre français des Affaires étrangères: "Nous soutenons les efforts visant à rechercher une solution juste au Sahara occidental conformément aux résolutions de l'ONU."
VENDREDI 9 AVRIL 2021
ECS. Paris.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français des Affaires étrangères pour l'Europe et la France, a confirmé lors d'une rencontre virtuelle avec son homologue marocain que son pays soutient les efforts pour rechercher une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, conformément aux résolutions du le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le ministre français a également appelé, selon un communiqué publié plus tard par le ministère des Affaires étrangères à accélérer la nomination d'un nouvel envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, à succéder à Horst Köhler, qui a démissionné il y a deux ans en raison de l'absence de une réelle volonté du Conseil de sécurité de soutenir leurs efforts ainsi que l'obstruction par Paris du dynamisme qu'il a lancé après deux rounds de pourparlers à Genève.
Le chef de la diplomatie française a révélé l'intention des responsables politiques de l'Elysée de faire obstruction à tous les efforts déployés pour calmer la situation dans la région et mettre en œuvre le droit international qui prévoit l'autodétermination, pour satisfaire leur homologue marocain, affirmant que: «La France considère le plan d'autonomie marocain une base sérieuse et crédible. ''
La déclaration d'Yves-Le Drian intervient à un moment de tension que la région connaît depuis le 13 novembre, en raison des affrontements militaires continus entre les armées sahraouie et marocaine le long du mur de la honte au Sahara occidental et dans les régions du sud du Maroc. Les attentes indiquent une escalade féroce des combats entre les deux parties, en l'absence d'une position sérieuse du Conseil de sécurité sur ce qui se passe dans la région et pour identifier les causes qui ont conduit à cette situation alarmante et dangereuse.
Pendant ce temps, l'Allemagne, la plus grande puissance européenne, l'Union européenne et les différents États membres ont souligné la nécessité de mettre en œuvre le droit international et les résolutions des Nations Unies liées à la question du Sahara occidental pour surmonter la nouvelle situation avant que le conflit armé ne s'aggrave. De son côté, la France continue de nager à contre-courant, soutenant le plan d'autonomie qui contredit les décisions prises et prévoit une solution convenue juste et définitive garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination.
VENDREDI 9 AVRIL 2021
ECS. Paris.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français des Affaires étrangères pour l'Europe et la France, a confirmé lors d'une rencontre virtuelle avec son homologue marocain que son pays soutient les efforts pour rechercher une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, conformément aux résolutions du le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le ministre français a également appelé, selon un communiqué publié plus tard par le ministère des Affaires étrangères à accélérer la nomination d'un nouvel envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, à succéder à Horst Köhler, qui a démissionné il y a deux ans en raison de l'absence de une réelle volonté du Conseil de sécurité de soutenir leurs efforts ainsi que l'obstruction par Paris du dynamisme qu'il a lancé après deux rounds de pourparlers à Genève.
Le chef de la diplomatie française a révélé l'intention des responsables politiques de l'Elysée de faire obstruction à tous les efforts déployés pour calmer la situation dans la région et mettre en œuvre le droit international qui prévoit l'autodétermination, pour satisfaire leur homologue marocain, affirmant que: «La France considère le plan d'autonomie marocain une base sérieuse et crédible. ''
La déclaration d'Yves-Le Drian intervient à un moment de tension que la région connaît depuis le 13 novembre, en raison des affrontements militaires continus entre les armées sahraouie et marocaine le long du mur de la honte au Sahara occidental et dans les régions du sud du Maroc. Les attentes indiquent une escalade féroce des combats entre les deux parties, en l'absence d'une position sérieuse du Conseil de sécurité sur ce qui se passe dans la région et pour identifier les causes qui ont conduit à cette situation alarmante et dangereuse.
Pendant ce temps, l'Allemagne, la plus grande puissance européenne, l'Union européenne et les différents États membres ont souligné la nécessité de mettre en œuvre le droit international et les résolutions des Nations Unies liées à la question du Sahara occidental pour surmonter la nouvelle situation avant que le conflit armé ne s'aggrave. De son côté, la France continue de nager à contre-courant, soutenant le plan d'autonomie qui contredit les décisions prises et prévoit une solution convenue juste et définitive garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination.
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