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Le Maroc transforme le Maghreb en baril de poudre en attente d'exploser.
VENDREDI 16 AVRIL 2021
Par Mah Iahdih Nan / ECS
Madrid (ECS). - Le conflit sahraoui et donc la région nord-africaine est en feu, les affrontements guerriers se multiplient par jours, la tension dans la région est haute tension et les esprits sont chauffés et exalté et tout cela Antonio Guterres et les Nations Unies ils sont absents, en un état de disparition totale.
Tout semble indiquer que les efforts du Makhzen pour cacher ce qui se passe dans la région, facilités par la situation causée par la pandémie et par le silence complice de l'ONU et de certaines puissances, sont à l'origine du manque d'intérêt et d'implication de la communauté internationale de sensibilisation de l’ampleur et de la gravité de la situation au Sahara occidental.
Même si l'Union africaine et de nombreux pays ont déjà mis en garde sur l'ampleur et l'effet de la situation actuelle et ont appelé les Nations Unies à s'engager dans une véritable médiation non soumise aux intérêts politiques ou aux jeux géostratégiques des grandes puissances. L'appel de l'UA, lancé à travers les résolutions officielles du sommet des chefs d'État et de leur Conseil de sécurité et de paix, est à la fois concret, clair et direct. L'UA a poursuivi; négociations directes entre les parties, un nouveau cessez-le-feu, nomination du Représentant spécial des Nations Unies pour le Sahara occidental, ouverture du bureau de l'UA dans les zones occupées, déclaration des services juridiques de l'ONU sur les ouvertures illégales de consulats dans les pays non autonomes Territoire du Sahara occidental, effectuant une mission urgente dans les zones occupées et les camps de réfugiés et demandant enfin l'implication urgente de la Troïka africaine, du Conseil de sécurité et de paix de l'Afrique, du Représentant spécial de l'UA pour le Sahara, M. Joaquim Chissano et l’ONU elle-même pour trouver une solution rapide au conflit.
Le conflit sahraoui et donc la région nord-africaine est en feu, les affrontements guerriers se multiplient par jours, la tension dans la région est haute tension et les esprits sont enflammés et exaltés, et l'ONU est absente.
Depuis que le Maroc, le 13 novembre, a rompu le cessez-le-feu en toute impunité, sous l'œil vigilant de la MINURSO, en tant que témoin privilégié des événements, sans lever un seul doigt, et encore moins dénoncer ou condamner l'agression, ce qui était le moins qu'il puisse faire. . Cinq mois après cette attaque contre la paix fragile qui régnait, la MINURSO ne s’est pas prononcée et continue d’agir comme un simple spectateur du scénario compliqué qui prévaut, qui devient déjà plus que préoccupant. Depuis le jour où le Maroc a rompu le cessez-le-feu, l'irrigation, l'instabilité et l'insécurité se sont installées dans la région, aggravées par la participation de forces étrangères au conflit. Il est vérifié par des témoins oculaires, la participation sur le terrain, avec la présence le long du mur construit par le Maroc de conseillers, d'instructeurs et d'officiers militaires des Émirats arabes unis, d'Israël et de France.
La participation de ces pays aux côtés du Maroc à cette guerre a éclairci l'atmosphère dans toute la région du Maghreb et a provoqué une nervosité et une agitation généralisées qui ont créé une situation critique et inconstante, qui peut conduire à la participation à la guerre des pays voisins, de peur pour leur stabilité et leur sécurité. L'implication de ces puissances étrangères aux antécédents guerriers dans d'autres domaines, avec des résultats désastreux, fatidiques et malheureux, a semé la panique, la confusion et la peur chez les peuples et les pays de tout l'environnement géographique, qui ont ajouté aux toujours tensions, au Maroc de mauvaises relations avec tous ses voisins, a motivé l'inquiétude et l'alarme face à la répétition dans le domaine des expériences tragiques et malheureuses telles que celles qui se sont produites en; Syrie, Yémen, Libye ou Sahel.
Le Maroc et ses alliés (la France, Israël et les monarchies du Golfe), qui sont probablement ceux qui l'ont amené à violer le cessez-le-feu, se trompent dans leurs calculs, s'ils croient qu'ils vont liquider les revendications et la lutte de le peuple Sahraoui par voie de guerre, cela n'arrivera jamais. Ils ont de nombreux exemples sur lesquels ils peuvent aller pour le certifier, de peuples beaucoup moins organisés et moins préparés que le peuple sahraoui, qui ont résisté à toutes sortes de guerres y compris la nouvelle guerre technologique et ont fini par s'imposer à des pouvoirs supersoniques que l'on croyait. être invincible. La seule chose qu’ils parviendront est de retarder la résolution du conflit et d’aggraver la délicate situation socio-économique des peuples de la région et en particulier celle du peuple marocain battu.
Le Maroc, la France, Israël et les monarchies du Golfe estiment que la situation est sous contrôle et qu'elle ne conduira pas à un conflit ouvert qui finira par éclabousser toutes les zones de la région, mais encore une fois, ils ont tort et plus encore maintenant qu'ils ont internationalisé le conflit avec l'ingérence d'Etats étrangers, pour attaquer le peuple sahraoui. Mais ils doivent savoir que leur agression ne restera pas impunie et que les Sahraouis sont prêts à tout mettre en œuvre pour défendre leur terre et leur peuple.
Les Nations Unies et les puissances occidentales font bien de ne plus se laisser guider par les appréciations, les critères et les recommandations d'un régime dépassé et anachronique tel que le makhzen marocain, qui tente de couvrir le soleil avec un tamis, faisant un black-out sur la réalité qui prévaut dans Sahara occidental et sud du Maroc. Pour éviter une catastrophe en Afrique du Nord; L'ONU et la communauté internationale doivent soumettre la situation à un examen sérieux et transparent et faire une évaluation objective et équilibrée, pour calibrer et mesurer les risques et la gravité qu'un scénario de guerre totale entraînera en Afrique du Nord. Il est certain que de nombreux gouvernements, organisations et spécialistes y verront en ce moment une possibilité lointaine et exagérée, comme ils ont vu il y a six mois l'impossibilité de reprendre les armes. Mais la vérité est que si nous n'intervenons pas de toute urgence avec rigueur, mesure et prévention, il n'est pas déraisonnable de se retrouver en peu de temps devant un panorama dévastateur qui fera de la zone un nouveau foyer de conflit de dimension internationale.
VENDREDI 16 AVRIL 2021
Par Mah Iahdih Nan / ECS
Madrid (ECS). - Le conflit sahraoui et donc la région nord-africaine est en feu, les affrontements guerriers se multiplient par jours, la tension dans la région est haute tension et les esprits sont chauffés et exalté et tout cela Antonio Guterres et les Nations Unies ils sont absents, en un état de disparition totale.
Tout semble indiquer que les efforts du Makhzen pour cacher ce qui se passe dans la région, facilités par la situation causée par la pandémie et par le silence complice de l'ONU et de certaines puissances, sont à l'origine du manque d'intérêt et d'implication de la communauté internationale de sensibilisation de l’ampleur et de la gravité de la situation au Sahara occidental.
Même si l'Union africaine et de nombreux pays ont déjà mis en garde sur l'ampleur et l'effet de la situation actuelle et ont appelé les Nations Unies à s'engager dans une véritable médiation non soumise aux intérêts politiques ou aux jeux géostratégiques des grandes puissances. L'appel de l'UA, lancé à travers les résolutions officielles du sommet des chefs d'État et de leur Conseil de sécurité et de paix, est à la fois concret, clair et direct. L'UA a poursuivi; négociations directes entre les parties, un nouveau cessez-le-feu, nomination du Représentant spécial des Nations Unies pour le Sahara occidental, ouverture du bureau de l'UA dans les zones occupées, déclaration des services juridiques de l'ONU sur les ouvertures illégales de consulats dans les pays non autonomes Territoire du Sahara occidental, effectuant une mission urgente dans les zones occupées et les camps de réfugiés et demandant enfin l'implication urgente de la Troïka africaine, du Conseil de sécurité et de paix de l'Afrique, du Représentant spécial de l'UA pour le Sahara, M. Joaquim Chissano et l’ONU elle-même pour trouver une solution rapide au conflit.
Le conflit sahraoui et donc la région nord-africaine est en feu, les affrontements guerriers se multiplient par jours, la tension dans la région est haute tension et les esprits sont enflammés et exaltés, et l'ONU est absente.
Depuis que le Maroc, le 13 novembre, a rompu le cessez-le-feu en toute impunité, sous l'œil vigilant de la MINURSO, en tant que témoin privilégié des événements, sans lever un seul doigt, et encore moins dénoncer ou condamner l'agression, ce qui était le moins qu'il puisse faire. . Cinq mois après cette attaque contre la paix fragile qui régnait, la MINURSO ne s’est pas prononcée et continue d’agir comme un simple spectateur du scénario compliqué qui prévaut, qui devient déjà plus que préoccupant. Depuis le jour où le Maroc a rompu le cessez-le-feu, l'irrigation, l'instabilité et l'insécurité se sont installées dans la région, aggravées par la participation de forces étrangères au conflit. Il est vérifié par des témoins oculaires, la participation sur le terrain, avec la présence le long du mur construit par le Maroc de conseillers, d'instructeurs et d'officiers militaires des Émirats arabes unis, d'Israël et de France.
La participation de ces pays aux côtés du Maroc à cette guerre a éclairci l'atmosphère dans toute la région du Maghreb et a provoqué une nervosité et une agitation généralisées qui ont créé une situation critique et inconstante, qui peut conduire à la participation à la guerre des pays voisins, de peur pour leur stabilité et leur sécurité. L'implication de ces puissances étrangères aux antécédents guerriers dans d'autres domaines, avec des résultats désastreux, fatidiques et malheureux, a semé la panique, la confusion et la peur chez les peuples et les pays de tout l'environnement géographique, qui ont ajouté aux toujours tensions, au Maroc de mauvaises relations avec tous ses voisins, a motivé l'inquiétude et l'alarme face à la répétition dans le domaine des expériences tragiques et malheureuses telles que celles qui se sont produites en; Syrie, Yémen, Libye ou Sahel.
Le Maroc et ses alliés (la France, Israël et les monarchies du Golfe), qui sont probablement ceux qui l'ont amené à violer le cessez-le-feu, se trompent dans leurs calculs, s'ils croient qu'ils vont liquider les revendications et la lutte de le peuple Sahraoui par voie de guerre, cela n'arrivera jamais. Ils ont de nombreux exemples sur lesquels ils peuvent aller pour le certifier, de peuples beaucoup moins organisés et moins préparés que le peuple sahraoui, qui ont résisté à toutes sortes de guerres y compris la nouvelle guerre technologique et ont fini par s'imposer à des pouvoirs supersoniques que l'on croyait. être invincible. La seule chose qu’ils parviendront est de retarder la résolution du conflit et d’aggraver la délicate situation socio-économique des peuples de la région et en particulier celle du peuple marocain battu.
Le Maroc, la France, Israël et les monarchies du Golfe estiment que la situation est sous contrôle et qu'elle ne conduira pas à un conflit ouvert qui finira par éclabousser toutes les zones de la région, mais encore une fois, ils ont tort et plus encore maintenant qu'ils ont internationalisé le conflit avec l'ingérence d'Etats étrangers, pour attaquer le peuple sahraoui. Mais ils doivent savoir que leur agression ne restera pas impunie et que les Sahraouis sont prêts à tout mettre en œuvre pour défendre leur terre et leur peuple.
Les Nations Unies et les puissances occidentales font bien de ne plus se laisser guider par les appréciations, les critères et les recommandations d'un régime dépassé et anachronique tel que le makhzen marocain, qui tente de couvrir le soleil avec un tamis, faisant un black-out sur la réalité qui prévaut dans Sahara occidental et sud du Maroc. Pour éviter une catastrophe en Afrique du Nord; L'ONU et la communauté internationale doivent soumettre la situation à un examen sérieux et transparent et faire une évaluation objective et équilibrée, pour calibrer et mesurer les risques et la gravité qu'un scénario de guerre totale entraînera en Afrique du Nord. Il est certain que de nombreux gouvernements, organisations et spécialistes y verront en ce moment une possibilité lointaine et exagérée, comme ils ont vu il y a six mois l'impossibilité de reprendre les armes. Mais la vérité est que si nous n'intervenons pas de toute urgence avec rigueur, mesure et prévention, il n'est pas déraisonnable de se retrouver en peu de temps devant un panorama dévastateur qui fera de la zone un nouveau foyer de conflit de dimension internationale.
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