Par Aylan Afir
L’un des activistes du mouvement de contestation populaire Hirak, Mohamed Larbi Zitout, est accusé d’être le chef d’un groupe terroriste. Selon le procureur de Bir Mourad Raïs, il est aussi accusé de financer un groupe terroriste qui cible la sûreté de l’Etat, de faux et usage de faux ainsi que de blanchiment d’argent dans le cadre d’un groupe terroriste.
Selon un communiqué du parquet, le groupe terroriste dirigé par Larbi Zitout complotait pour éloigner le mouvement Hirak de son caractère pacifique. Au sein du groupe, on trouverait même le youtubeur Amir Dz, l’ex-officier du DRS et journaliste, Hicham Aboud, ainsi que d’autres personnes contre lesquels des mandats d’arrêt internationaux ont été émis. A l’exception d’un certain A. M. mis sous mandat de dépôt puisqu’il se trouve en Algérie.
Il importe de relever que le nommé A. M. a été arrêté par les services de sécurité le 28 février. Selon le communiqué du parquet, c’est lui qui a confirmé les soupçons des services de sécurité. Présenté comme un ancien membre du FIS et ancien terroriste condamné à mort en 1994, il aurait bénéficié de la loi sur la Rahma de Liamine Zeroual et sur la Concorde civile de Abdelaziz Bouteflika.
Il serait également membre du mouvement islamiste Rachad dont Larbi Zitout est un dirigeant connu. Selon les actes d’accusation, A. M. s’adonnait à ses activités “subversives” sous couvert d’une activité commerciale dédiée à l’importation des pièces détachées d’équipements d’imprimerie et de voitures. C’est Zitout qui aurait financé cette société, selon l’accusation, qui précise la somme de 50.000 dollars US
L’un des activistes du mouvement de contestation populaire Hirak, Mohamed Larbi Zitout, est accusé d’être le chef d’un groupe terroriste. Selon le procureur de Bir Mourad Raïs, il est aussi accusé de financer un groupe terroriste qui cible la sûreté de l’Etat, de faux et usage de faux ainsi que de blanchiment d’argent dans le cadre d’un groupe terroriste.
Selon un communiqué du parquet, le groupe terroriste dirigé par Larbi Zitout complotait pour éloigner le mouvement Hirak de son caractère pacifique. Au sein du groupe, on trouverait même le youtubeur Amir Dz, l’ex-officier du DRS et journaliste, Hicham Aboud, ainsi que d’autres personnes contre lesquels des mandats d’arrêt internationaux ont été émis. A l’exception d’un certain A. M. mis sous mandat de dépôt puisqu’il se trouve en Algérie.
Il importe de relever que le nommé A. M. a été arrêté par les services de sécurité le 28 février. Selon le communiqué du parquet, c’est lui qui a confirmé les soupçons des services de sécurité. Présenté comme un ancien membre du FIS et ancien terroriste condamné à mort en 1994, il aurait bénéficié de la loi sur la Rahma de Liamine Zeroual et sur la Concorde civile de Abdelaziz Bouteflika.
Il serait également membre du mouvement islamiste Rachad dont Larbi Zitout est un dirigeant connu. Selon les actes d’accusation, A. M. s’adonnait à ses activités “subversives” sous couvert d’une activité commerciale dédiée à l’importation des pièces détachées d’équipements d’imprimerie et de voitures. C’est Zitout qui aurait financé cette société, selon l’accusation, qui précise la somme de 50.000 dollars US
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