Le mensonge à l'état pur! Combien la dictature marocaine a-t-elle payé pour une telle ineptie?
- Aminatou Haidar, la militante sahraouie la plus récompensée à l’échelon international, a été arrêtée par des fonctionnaires de la sécurité marocains à son arrivée à l’aéroport de Laâyoune (la capitale du Sahara occidental) le 13 novembre 2009. Mme Haidar revenait d’un voyage aux États-Unis, où elle s’est vu remettre le Civil Courage Prize 2009. Elle a été interrogée et son passeport lui a été confisqué parce qu’elle n’aurait pas rempli les formalités administratives afin de pouvoir entrer dans le pays. Elle serait libérée si elle reconnaissait la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, ce qu’elle a refusé de faire. Après quoi, elle a été mise contre son gré sur un avion à destination de Lanzarote (îles Canaries). Selon la version marocaine, elle aurait «nié sa nationalité marocaine et confirmé son appui aux idées séparatistes». À son arrivée à Lanzarote, elle a entamé une grève de la faim pour protester contre le traitement dont elle a fait l’objet et contre son expulsion.
Pour la gestion de cette affaire, les autorités marocaines se sont payé les services du cabinet Communication&Institutions. Ci-après, les documents élaborés par ce cabinet à ce sujet :
Le vendredi 13 novembre 2009, lors de son arrivée à l’aéroport de Laâyoune au Maroc, Madame Aminatou Haidar, militante marocaine au service du Polisario, a refusé de remplir les formalités de police et de mentionner sa nationalité sur sa fiche de débarquement, comme l’exige pourtant la réglementation internationale en vigueur. Elle a également renié, par écrit, devant le Procureur du Roi et témoins, sa nationalité marocaine. Cet incident était prémédité : Mme Aminatou Haidar était accompagnée de deux journalistes espagnols appartenant à une compagnie de communication privée rémunérée.
Son interpellation s’est effectuée dans le respect de la loi, en présence de membres de sa famille, sans préjudice moral ni physique, à l’heure où plusieurs médias, préparés à l’avance, annonçaient de prétendues « arrestation », « enlèvement » et « disparition ». En réalité, Mme Aminatou Haidar n’a pas été autorisée à entrer sur le territoire marocain, en application du règlement de l’Organisation de l’aviation civile internationale, puisqu’elle refusait de remplir les formalités d’usage.
- Aminatou Haidar, la militante sahraouie la plus récompensée à l’échelon international, a été arrêtée par des fonctionnaires de la sécurité marocains à son arrivée à l’aéroport de Laâyoune (la capitale du Sahara occidental) le 13 novembre 2009. Mme Haidar revenait d’un voyage aux États-Unis, où elle s’est vu remettre le Civil Courage Prize 2009. Elle a été interrogée et son passeport lui a été confisqué parce qu’elle n’aurait pas rempli les formalités administratives afin de pouvoir entrer dans le pays. Elle serait libérée si elle reconnaissait la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, ce qu’elle a refusé de faire. Après quoi, elle a été mise contre son gré sur un avion à destination de Lanzarote (îles Canaries). Selon la version marocaine, elle aurait «nié sa nationalité marocaine et confirmé son appui aux idées séparatistes». À son arrivée à Lanzarote, elle a entamé une grève de la faim pour protester contre le traitement dont elle a fait l’objet et contre son expulsion.
Pour la gestion de cette affaire, les autorités marocaines se sont payé les services du cabinet Communication&Institutions. Ci-après, les documents élaborés par ce cabinet à ce sujet :
Le vendredi 13 novembre 2009, lors de son arrivée à l’aéroport de Laâyoune au Maroc, Madame Aminatou Haidar, militante marocaine au service du Polisario, a refusé de remplir les formalités de police et de mentionner sa nationalité sur sa fiche de débarquement, comme l’exige pourtant la réglementation internationale en vigueur. Elle a également renié, par écrit, devant le Procureur du Roi et témoins, sa nationalité marocaine. Cet incident était prémédité : Mme Aminatou Haidar était accompagnée de deux journalistes espagnols appartenant à une compagnie de communication privée rémunérée.
Son interpellation s’est effectuée dans le respect de la loi, en présence de membres de sa famille, sans préjudice moral ni physique, à l’heure où plusieurs médias, préparés à l’avance, annonçaient de prétendues « arrestation », « enlèvement » et « disparition ». En réalité, Mme Aminatou Haidar n’a pas été autorisée à entrer sur le territoire marocain, en application du règlement de l’Organisation de l’aviation civile internationale, puisqu’elle refusait de remplir les formalités d’usage.
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