Après avoir participe a un gala a eddakhla
Le Maroc offre un terrain à Kadhem Essaher dans les territoires sahraouis occupés
Une polémique occupe depuis quelque temps les Marocains sur une affaire d’attribution de lot de terrain par les autorités marocaines au chanteur irakien Kadhem Essaher (à qui tous les mélomanes reconnaissent un talent artistique avéré) dans des territoires appartenant au Sahara occidental. Ce chanteur a participé à un gala dans la ville Eddakhla, dans les territoires sahraouis occupés, en compagnie d’autres chanteurs. Ce gala a pris fin début mars dernier. Les Marocains n’écartent pas l’hypothèse que d’autres parmi les chanteurs ayant participé à ce gala soient parmi les bénéficiaires de lots de terrains dans la même ville. Le chanteur irakien qui aurait, selon des informations parues dans le journal marocain Ennahar, été payé avec une somme dépassant les 150 millions pour deux heures de chant dans une grande place de cette ville, aurait bénéficié d’un lot de terrain d’une superficie supérieure à 200 m2 dans un site stratégique de cette ville sahraouie colonisée. La chanteuse Nadjet Atabou qui a participé à ce gala, n’a eu droit qu’à 4 000 dirhams. Le chanteur irakien a séjourné dans un lieu donnant sur la mer, malgré l’existence d’hôtels luxueux dans cette ville et a exprimé son émerveillement pour cette ville et son climat, annonçant son intention d’y revenir une deuxième fois. C’est ce qui aurait fait décider quelques responsables à lui attribuer ce terrain, «sans aucune contrepartie». Cette attribution de terrain par des responsables marocains au chanteur irakien dans les territoires sahraouis occupés constitue une bonne partie des discussions des habitants de cette ville. Les autorités marocaines n’ont pas annoncé cette attribution. Un responsable d’une délégation du ministère marocain du Tourisme dans cette ville, a, dans le même contexte, certifié qu’il a été effectivement attribué au dirham symbolique le mètre carré des terres réservées aux projets d’investissement.
M. Abi
http://www.lejourd***********/Editio...e/Lejour.htm#2
NO COMMENT...
Le Maroc offre un terrain à Kadhem Essaher dans les territoires sahraouis occupés
Une polémique occupe depuis quelque temps les Marocains sur une affaire d’attribution de lot de terrain par les autorités marocaines au chanteur irakien Kadhem Essaher (à qui tous les mélomanes reconnaissent un talent artistique avéré) dans des territoires appartenant au Sahara occidental. Ce chanteur a participé à un gala dans la ville Eddakhla, dans les territoires sahraouis occupés, en compagnie d’autres chanteurs. Ce gala a pris fin début mars dernier. Les Marocains n’écartent pas l’hypothèse que d’autres parmi les chanteurs ayant participé à ce gala soient parmi les bénéficiaires de lots de terrains dans la même ville. Le chanteur irakien qui aurait, selon des informations parues dans le journal marocain Ennahar, été payé avec une somme dépassant les 150 millions pour deux heures de chant dans une grande place de cette ville, aurait bénéficié d’un lot de terrain d’une superficie supérieure à 200 m2 dans un site stratégique de cette ville sahraouie colonisée. La chanteuse Nadjet Atabou qui a participé à ce gala, n’a eu droit qu’à 4 000 dirhams. Le chanteur irakien a séjourné dans un lieu donnant sur la mer, malgré l’existence d’hôtels luxueux dans cette ville et a exprimé son émerveillement pour cette ville et son climat, annonçant son intention d’y revenir une deuxième fois. C’est ce qui aurait fait décider quelques responsables à lui attribuer ce terrain, «sans aucune contrepartie». Cette attribution de terrain par des responsables marocains au chanteur irakien dans les territoires sahraouis occupés constitue une bonne partie des discussions des habitants de cette ville. Les autorités marocaines n’ont pas annoncé cette attribution. Un responsable d’une délégation du ministère marocain du Tourisme dans cette ville, a, dans le même contexte, certifié qu’il a été effectivement attribué au dirham symbolique le mètre carré des terres réservées aux projets d’investissement.
M. Abi
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