Des anciens combattants américains des guerres d’Irak et d’Afghanistan sont à Washington du 13 au 16 mars pour témoigner sur les crimes de guerre qu’ils ont commis.
«La presse ne couvre pas aussi bien qu’elle le devrait la guerre d’Irak, car c’est un théâtre très dangereux pour les journalistes. C’est pourquoi l’opinion américaine a une image aussi fausse de ce qu’est véritablement l’occupation militaire», explique Liam Madden, un ancien marine qui milite aujourd’hui au sein de l’association Iraq Veterans Against the War «les vétérans d’Irak contre la guerre».
Cette association affirme que les exemples de brutalité américaine les plus médiatisés – comme le scandale de la prison d’Abou Ghraib et le massacre d’une famille entière d’Irakiens dans la ville d’Haditha – ne sont pas des incidents isolés commis par «une poignée de brebis galeuses» ; ils s’inscrivent dans la logique «d’une occupation de plus en plus meurtrière».
- AFP
- À lire sur le Courrier international.
«La presse ne couvre pas aussi bien qu’elle le devrait la guerre d’Irak, car c’est un théâtre très dangereux pour les journalistes. C’est pourquoi l’opinion américaine a une image aussi fausse de ce qu’est véritablement l’occupation militaire», explique Liam Madden, un ancien marine qui milite aujourd’hui au sein de l’association Iraq Veterans Against the War «les vétérans d’Irak contre la guerre».
Cette association affirme que les exemples de brutalité américaine les plus médiatisés – comme le scandale de la prison d’Abou Ghraib et le massacre d’une famille entière d’Irakiens dans la ville d’Haditha – ne sont pas des incidents isolés commis par «une poignée de brebis galeuses» ; ils s’inscrivent dans la logique «d’une occupation de plus en plus meurtrière».
- AFP
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