Hillary et Bill Clinton poussent Barack Obama, dont ils ont naguère pointé du doigt l'inexpérience, à accepter d'être le colistier de l'ex-première dame des Etats-Unis, si tant est que celle-ci remporte les primaires démocrates.
En voyant dans Obama un possible candidat à la vice-présidence, les Clinton lui tendent la main et, aspect peut-être plus important, se tournent vers ses partisans, dont la sénatrice de New York aura grandement besoin pour battre le candidat républicain John McCain lors de la présidentielle du 4 novembre.
"Les Clinton sont dans une position difficile", estime Dennis Goldford, professeur en sciences politiques à l'université Drake dans l'Iowa, qui suit de près la course à la Maison blanche.
"Si elle (Hillary) remporte les primaires démocrates, elle aura besoin des partisans d'Obama. Mais elle se doit d'être prudente. Si les tractations pour l'avoir sur le ticket (démocrate) sont perçues comme une manoeuvre cynique, cela pourrait se retourner contre elle", estime Goldford.
Certains ténors du Parti démocrate, comme l'ancien candidat à la présidence John Kerry, ont tourné en dérision la volonté de Clinton de constituer un ticket avec Obama.
D'autres, comme le gouverneur de Pennsylvanie Edward Rendell, voient dans une telle perspective la chance d'aboutir à "un grand ticket".
source : Reuters
En voyant dans Obama un possible candidat à la vice-présidence, les Clinton lui tendent la main et, aspect peut-être plus important, se tournent vers ses partisans, dont la sénatrice de New York aura grandement besoin pour battre le candidat républicain John McCain lors de la présidentielle du 4 novembre.
"Les Clinton sont dans une position difficile", estime Dennis Goldford, professeur en sciences politiques à l'université Drake dans l'Iowa, qui suit de près la course à la Maison blanche.
"Si elle (Hillary) remporte les primaires démocrates, elle aura besoin des partisans d'Obama. Mais elle se doit d'être prudente. Si les tractations pour l'avoir sur le ticket (démocrate) sont perçues comme une manoeuvre cynique, cela pourrait se retourner contre elle", estime Goldford.
Certains ténors du Parti démocrate, comme l'ancien candidat à la présidence John Kerry, ont tourné en dérision la volonté de Clinton de constituer un ticket avec Obama.
D'autres, comme le gouverneur de Pennsylvanie Edward Rendell, voient dans une telle perspective la chance d'aboutir à "un grand ticket".
source : Reuters
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