Lorsque les bonnes intentions sont là, le reste suit.
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“Les relations entre l’Algérie et la Tunisie sont exemplaires»
mardi 01 janvier 2008
Le nouvel ambassadeur de Tunisie en Algérie, M. Habib M’barek, a été reçu avant-hier par le directeur général d’El Moudjahid, M. Abdelmadjid Cherbal, en présence du directeur délégué au forum, M. Tarreb Madjid.
Le diplomate tunisien s’est dit honoré de retrouver au début de la mission qu’il entame en Algérie, dans une enceinte aussi prestigieuse que l’est El Moudjahid, dont l’histoire se confond avec celle du pays, sa Révolution armée.
M. Habib M’barek a rappelé l’intensité des rapports entre les deux pays, la récente réunion de la grande commission mixte, les rencontres entre les deux Chefs d’Etat, à l’occasion d’événements concernant le monde arabe, ou d’autres événements dans la vie internationale.
Les relations entre les deux pays sont très vastes rappelle le diplomate tunisien dans le domaine politique, économique et social.
Les échanges entre Tunis et Alger sont ininterrompus soit au niveau de hauts responsables, soit à celui des opérateurs économiques.
M. Habib M’barek évoque la complémentarité dans les relations tout à fait appréciée par les uns comme par les autres dit-il.
On compte vingt-six réunions de la grande commission mixte, ce qui donne une indication sur l’intensité des échanges.
Le diplomate tunisien se félicite du niveau de ces relations, de l’approche politique, économique adoptée par les deux parties ces efforts vont dans le sens de la consolidation. L’ambassadeur rappelle combien les relations humaines comptent dans les échanges pour les deux pays. Elles sont un puissant indicateur de la bonne santé des relations vues de façon globale suggère le diplomate.
Près d’un million d’Algériens visitent la Tunisie. Il y a un flux important dans le sens Tunisie Algérie aussi. Plus de 700 entreprises tunisiennes sont implantées en Algérie et couvrent de nombreux domaines d’activité notamment dans le domaine commercial.
M. Habib M’barek n’hésite pas alors à dire que les relations algéro-tunisiennes se posent comme un modèle. Il s’agit de relations soutenues et des échanges croissants.
S’agissant de la Tunisie, on peut en dire autant de nos échanges avec le Maroc, la Libye également. Il s’agit d’échanges fondés sur l’intérêt mutuel tout comme avec l’Algérie.
Pour M. Habib M’barek, on peut dire que la Tunisie et l’Algérie sont les véritables soutiens de l’UMA.
La Tunisie et l’Algérie font tout ce qui est possible de faire pour que l’UMA émerge en tant qu’entité politique, économique aussi.
C’est notre volonté commune note l’ambassadeur qui se dit convaincu que la consolidation de cette entité se fera avec le temps. Nous sommes optimistes ajoute l’ambassadeur.
Pour l’heure, il y a des relations bilatérales privilégiés entre les pays et notamment entre l’Algérie et la Tunisie. Nous œuvrons pour qu’elles s’élargissent à l’avenir.
M. Habib M’barek, souligne que les deux Chefs d’Etats, Abdelaziz Bouteflika et Ben Ali, se vouent un immense respect et s’apprécient. Les positions adoptées sur le plan bilatéral comme sur le plan international témoignent par leur concordance de cet immense capital d’estime, et de cette communion d’idées sur les grands problèmes.
La priorité absolue est donné à la consolidation de liens fraternels.
L’ambassadeur rappelle que l’Algérie et la Tunisie ont une même destinée. Ensemble, les deux pays essayent d’apporter leur contribution à la consolidation de ces liens. Evoquant l’avancée des réformes politiques, économiques et sociales en Tunisie, M. Habib M’barek relève que depuis l’avènement du Président Ben Ali, au pouvoir, il y a eu des réformes sur le plan structurel dans le domaine économique notamment.
L’économie de marché est aujourd’hui une réalité dans notre monde et on y adhère pleinement.
La Tunisie a été le premier pays du Maghreb à signer un accord d’association avec l’Union européenne en 1995.
C’est un choix lucide qui correspond à celui du modèle économique sur lequel fonctionne notre monde présentement estime l’ambassadeur. Il nous fallait saisir l’occasion, ce qui a été fait.
L’Union européenne, l’accord qui nous lient à elle, l’OMC sont des réalités que nous avons intégrés dans notre démarche politique et économique estime M. Habib M’barek. Parallèlement, le diplomate tunisien a évoqué le travail de modernisation qui a été accomplit permettant à l’administration de s’impliquer pleinement et efficacement dans l’effort de développement et de service rendu au citoyen.
L’ambassadeur a rappelé les efforts faits pour la mise à niveau de l’industrie du pays. Il a parlé d’un taux de croissance de 5,9% ces dernières années. On a fait en sorte que notre base économique soit diversifiée, et qui résiste à la concurrence.
Concernant l’accord d’association qui a été signé en 1995 avec l’Union européenne, le diplomate tunisien relève que cela s’est fait dans le sens d’une certaine complémentarité cela a exigé des concessions de notre part affirme M. Habib M’barek qui note que l’accord n’est pas parfait dans l’absolu bien sûr, mais nous ouvre des portes, nous permet d’évoluer en économie ouverte, et d’avoir des relations partenariales.
Cela étant, l’Union européenne à ses contraintes note l’ambassadeur, les pays du Maghreb ont les leurs aussi.
Le diplomate tunisien à l’idée de savoir si la négociation de l’accord d’associations n’aurait pas eu plus d’efficacité si elle avait été réalisée par un délégation maghrébine commune, ne nie pas cela.
Mais encore une fois, chaque pays du Maghreb a et avait ses propres contraintes.
Aujourd’hui ces accords sont signés. Il y a des efforts entrepris par les trois pays, Algérie, Tunisie, Maroc pour une réelle politique de coordination qui permette d’améliorer le contenu de ces accords.
S’agissant de la Tunisie, des avancées importantes sont aujourd’hui visibles à travers les grands secteurs d’activité, industrie, agriculture, etc., c’est comme cela qu’on a pu réussir.
Nous devons au niveau du Maghreb tenir compte de l’intérêt que porte l’Union européenne aux pays de l’Est. Il nous appartient de faire en sorte que les relations avec les pays du Maghreb, ceux de la Rive méditerranéenne, que l’UE entretient se poursuivent et s’intensifient.
L’ambassadeur affirme que les accords d’associations le processus de Barcelone, et dans l’avenir peut être, l’Union méditerranéenne, proposée par le Président français, M. Nicolas Sarkozy, constituent des canaux importants que nous devons soutenir. Il y a aujourd’hui une concrétisation à propos de l’idée de l’Union méditerranéenne soutient l’ambassadeur.
Concernant l’idée de l’émergence d’un Maghreb central qui avait l’actualité à une certaine période, le diplomate tunisien note que cette idée n’a pas eu de suite.
A propos de l’évolution des réformes en Algérie, M. Habib M’barek relève que l’Algérie a emprunté la voie des réformes. Elle l’a fait avec courage dans la perspective de bâtir une économie assez solide. Pour le diplomate tunisien, les réformes entamées en Algérie commencent à donner leurs fruits dans tous les domaines dit-il économiques comme dans le domaine social.
L’économie de marché est une réalité aujourd’hui en Algérie. Il y a des résultats qui commencent à se faire sentir confortés par les engagements internationaux pris par l’Algérie, notamment au travers de l’accord d’association avec l’Union européenne, les négociations avec l’OMC. La part du privé a augmenté dans le cadre économique général. L’ambassadeur note à ce propos qu’on ne peut de nos jours construire une économie par le seul effort de l’Etat. S’agissant toujours de l’Algérie M. Habib M’barek, souligne que les résultats sont-là. Ils le sont pour un avenir meilleur.
L’ambassadeur de Tunisie à Alger relève que depuis les années 90, où il a visité l’Algérie, le pays connaît une amélioration réelle à présent.
L’ouverture de l’économie est réelle. L’Etat algérien fait de gros efforts pour la promotion des secteurs économiques, stratégiques notamment et le privé occupe de plus en plus la place qui lui revient.
Concernant le processus démocratique en Algérie, M. Habib M’barek note qu’il est réel. La liberté de la presse est réelle. Le multipartisme est là dit-il. Il y a un climat de concorde. L’ambassadeur relève qu’il y a une fraîcheur politique dans laquelle baigne le pays avec un paysage politique qui est assez performant.
S’agissant de vœux formulés pour 2008, le diplomate tunisien affirme souhaiter prospérité et développement pour nos pays, la paix et la sécurité pour tous.
Concernant l’approche sécuritaire entre la Tunisie et l’Algérie, M. Habib M’barek affirme qu’il s’agit d’une approche commune.
La Tunisie et l’Algérie connaissent bien le contexte dans lequel elles évoluent et coordonnent leurs efforts. Pour nos deux Nations affirme le diplomate il y a une seule et même destinée, et une même vision des problèmes auxquelles elles sont confrontées ma priorité en tant qu’ambassadeur souligne M. Habib M’barek est de faire en sorte que les relations entre nos deux pays s’intensifient.
Tout nous rassemble insiste à dire le diplomate.
Nous avons les mêmes besoins Tunisiens et Algériens sont sur la bonne voie. Les échanges sont très denses. Il y a des entreprises tunisiennes qui sont présentes en Algérie. Nous connaissons entre les deux économies un partenariat commercial privilégié.
Les difficultés qui surgissent ou continueront à surgir sont prises en charge. Il y a des commissions qui travaillent dans ce sens. Ce que l’on peut dire en définitive, c’est qu’entre l’Algérie et la Tunisie, il existe des relations exemplaires. Elles peuvent servir de modèle.
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“Les relations entre l’Algérie et la Tunisie sont exemplaires»
mardi 01 janvier 2008
Le nouvel ambassadeur de Tunisie en Algérie, M. Habib M’barek, a été reçu avant-hier par le directeur général d’El Moudjahid, M. Abdelmadjid Cherbal, en présence du directeur délégué au forum, M. Tarreb Madjid.
Le diplomate tunisien s’est dit honoré de retrouver au début de la mission qu’il entame en Algérie, dans une enceinte aussi prestigieuse que l’est El Moudjahid, dont l’histoire se confond avec celle du pays, sa Révolution armée.
M. Habib M’barek a rappelé l’intensité des rapports entre les deux pays, la récente réunion de la grande commission mixte, les rencontres entre les deux Chefs d’Etat, à l’occasion d’événements concernant le monde arabe, ou d’autres événements dans la vie internationale.
Les relations entre les deux pays sont très vastes rappelle le diplomate tunisien dans le domaine politique, économique et social.
Les échanges entre Tunis et Alger sont ininterrompus soit au niveau de hauts responsables, soit à celui des opérateurs économiques.
M. Habib M’barek évoque la complémentarité dans les relations tout à fait appréciée par les uns comme par les autres dit-il.
On compte vingt-six réunions de la grande commission mixte, ce qui donne une indication sur l’intensité des échanges.
Le diplomate tunisien se félicite du niveau de ces relations, de l’approche politique, économique adoptée par les deux parties ces efforts vont dans le sens de la consolidation. L’ambassadeur rappelle combien les relations humaines comptent dans les échanges pour les deux pays. Elles sont un puissant indicateur de la bonne santé des relations vues de façon globale suggère le diplomate.
Près d’un million d’Algériens visitent la Tunisie. Il y a un flux important dans le sens Tunisie Algérie aussi. Plus de 700 entreprises tunisiennes sont implantées en Algérie et couvrent de nombreux domaines d’activité notamment dans le domaine commercial.
M. Habib M’barek n’hésite pas alors à dire que les relations algéro-tunisiennes se posent comme un modèle. Il s’agit de relations soutenues et des échanges croissants.
S’agissant de la Tunisie, on peut en dire autant de nos échanges avec le Maroc, la Libye également. Il s’agit d’échanges fondés sur l’intérêt mutuel tout comme avec l’Algérie.
Pour M. Habib M’barek, on peut dire que la Tunisie et l’Algérie sont les véritables soutiens de l’UMA.
La Tunisie et l’Algérie font tout ce qui est possible de faire pour que l’UMA émerge en tant qu’entité politique, économique aussi.
C’est notre volonté commune note l’ambassadeur qui se dit convaincu que la consolidation de cette entité se fera avec le temps. Nous sommes optimistes ajoute l’ambassadeur.
Pour l’heure, il y a des relations bilatérales privilégiés entre les pays et notamment entre l’Algérie et la Tunisie. Nous œuvrons pour qu’elles s’élargissent à l’avenir.
M. Habib M’barek, souligne que les deux Chefs d’Etats, Abdelaziz Bouteflika et Ben Ali, se vouent un immense respect et s’apprécient. Les positions adoptées sur le plan bilatéral comme sur le plan international témoignent par leur concordance de cet immense capital d’estime, et de cette communion d’idées sur les grands problèmes.
La priorité absolue est donné à la consolidation de liens fraternels.
L’ambassadeur rappelle que l’Algérie et la Tunisie ont une même destinée. Ensemble, les deux pays essayent d’apporter leur contribution à la consolidation de ces liens. Evoquant l’avancée des réformes politiques, économiques et sociales en Tunisie, M. Habib M’barek relève que depuis l’avènement du Président Ben Ali, au pouvoir, il y a eu des réformes sur le plan structurel dans le domaine économique notamment.
L’économie de marché est aujourd’hui une réalité dans notre monde et on y adhère pleinement.
La Tunisie a été le premier pays du Maghreb à signer un accord d’association avec l’Union européenne en 1995.
C’est un choix lucide qui correspond à celui du modèle économique sur lequel fonctionne notre monde présentement estime l’ambassadeur. Il nous fallait saisir l’occasion, ce qui a été fait.
L’Union européenne, l’accord qui nous lient à elle, l’OMC sont des réalités que nous avons intégrés dans notre démarche politique et économique estime M. Habib M’barek. Parallèlement, le diplomate tunisien a évoqué le travail de modernisation qui a été accomplit permettant à l’administration de s’impliquer pleinement et efficacement dans l’effort de développement et de service rendu au citoyen.
L’ambassadeur a rappelé les efforts faits pour la mise à niveau de l’industrie du pays. Il a parlé d’un taux de croissance de 5,9% ces dernières années. On a fait en sorte que notre base économique soit diversifiée, et qui résiste à la concurrence.
Concernant l’accord d’association qui a été signé en 1995 avec l’Union européenne, le diplomate tunisien relève que cela s’est fait dans le sens d’une certaine complémentarité cela a exigé des concessions de notre part affirme M. Habib M’barek qui note que l’accord n’est pas parfait dans l’absolu bien sûr, mais nous ouvre des portes, nous permet d’évoluer en économie ouverte, et d’avoir des relations partenariales.
Cela étant, l’Union européenne à ses contraintes note l’ambassadeur, les pays du Maghreb ont les leurs aussi.
Le diplomate tunisien à l’idée de savoir si la négociation de l’accord d’associations n’aurait pas eu plus d’efficacité si elle avait été réalisée par un délégation maghrébine commune, ne nie pas cela.
Mais encore une fois, chaque pays du Maghreb a et avait ses propres contraintes.
Aujourd’hui ces accords sont signés. Il y a des efforts entrepris par les trois pays, Algérie, Tunisie, Maroc pour une réelle politique de coordination qui permette d’améliorer le contenu de ces accords.
S’agissant de la Tunisie, des avancées importantes sont aujourd’hui visibles à travers les grands secteurs d’activité, industrie, agriculture, etc., c’est comme cela qu’on a pu réussir.
Nous devons au niveau du Maghreb tenir compte de l’intérêt que porte l’Union européenne aux pays de l’Est. Il nous appartient de faire en sorte que les relations avec les pays du Maghreb, ceux de la Rive méditerranéenne, que l’UE entretient se poursuivent et s’intensifient.
L’ambassadeur affirme que les accords d’associations le processus de Barcelone, et dans l’avenir peut être, l’Union méditerranéenne, proposée par le Président français, M. Nicolas Sarkozy, constituent des canaux importants que nous devons soutenir. Il y a aujourd’hui une concrétisation à propos de l’idée de l’Union méditerranéenne soutient l’ambassadeur.
Concernant l’idée de l’émergence d’un Maghreb central qui avait l’actualité à une certaine période, le diplomate tunisien note que cette idée n’a pas eu de suite.
A propos de l’évolution des réformes en Algérie, M. Habib M’barek relève que l’Algérie a emprunté la voie des réformes. Elle l’a fait avec courage dans la perspective de bâtir une économie assez solide. Pour le diplomate tunisien, les réformes entamées en Algérie commencent à donner leurs fruits dans tous les domaines dit-il économiques comme dans le domaine social.
L’économie de marché est une réalité aujourd’hui en Algérie. Il y a des résultats qui commencent à se faire sentir confortés par les engagements internationaux pris par l’Algérie, notamment au travers de l’accord d’association avec l’Union européenne, les négociations avec l’OMC. La part du privé a augmenté dans le cadre économique général. L’ambassadeur note à ce propos qu’on ne peut de nos jours construire une économie par le seul effort de l’Etat. S’agissant toujours de l’Algérie M. Habib M’barek, souligne que les résultats sont-là. Ils le sont pour un avenir meilleur.
L’ambassadeur de Tunisie à Alger relève que depuis les années 90, où il a visité l’Algérie, le pays connaît une amélioration réelle à présent.
L’ouverture de l’économie est réelle. L’Etat algérien fait de gros efforts pour la promotion des secteurs économiques, stratégiques notamment et le privé occupe de plus en plus la place qui lui revient.
Concernant le processus démocratique en Algérie, M. Habib M’barek note qu’il est réel. La liberté de la presse est réelle. Le multipartisme est là dit-il. Il y a un climat de concorde. L’ambassadeur relève qu’il y a une fraîcheur politique dans laquelle baigne le pays avec un paysage politique qui est assez performant.
S’agissant de vœux formulés pour 2008, le diplomate tunisien affirme souhaiter prospérité et développement pour nos pays, la paix et la sécurité pour tous.
Concernant l’approche sécuritaire entre la Tunisie et l’Algérie, M. Habib M’barek affirme qu’il s’agit d’une approche commune.
La Tunisie et l’Algérie connaissent bien le contexte dans lequel elles évoluent et coordonnent leurs efforts. Pour nos deux Nations affirme le diplomate il y a une seule et même destinée, et une même vision des problèmes auxquelles elles sont confrontées ma priorité en tant qu’ambassadeur souligne M. Habib M’barek est de faire en sorte que les relations entre nos deux pays s’intensifient.
Tout nous rassemble insiste à dire le diplomate.
Nous avons les mêmes besoins Tunisiens et Algériens sont sur la bonne voie. Les échanges sont très denses. Il y a des entreprises tunisiennes qui sont présentes en Algérie. Nous connaissons entre les deux économies un partenariat commercial privilégié.
Les difficultés qui surgissent ou continueront à surgir sont prises en charge. Il y a des commissions qui travaillent dans ce sens. Ce que l’on peut dire en définitive, c’est qu’entre l’Algérie et la Tunisie, il existe des relations exemplaires. Elles peuvent servir de modèle.
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