Le Maroc, un mauvais élève selon l’Unesco
Le constat, amer, du ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique concernant la réforme du secteur de l’enseignement, vient d’être confirmé par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).
Dans le sixième rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous qu’elle vient de publier, l’organisation onusienne cite le Maroc parmi les pays qui ne sont pas en mesure d’atteindre les objectifs fixés pour 2015 en ce qui concerne l’enseignement pour tous.
La grande majorité des pays concernée par cette « mauvaise note » se situe en Afrique subsaharienne. S’y ajoutent aux côtés du royaume, le Bangladesh, l’Inde, le Népal, la Mauritanie et le Pakistan.
Selon, l’Unesco, bien que les budgets et le taux de scolarisation dans le monde aient augmenté, la médiocrité des services éducatifs, le coût élevé de l’éducation et le niveau toujours élevé de l’analphabétisme des adultes réduisent les chances de parvenir à l’éducation pour tous à l’horizon 2015.
Pour pallier au plus urgent, les États arabes, note l’Unesco, devront créer 450.000 nouveaux postes d’enseignants, principalement en Égypte, en Iraq, au Maroc et en Arabie saoudite.
Par ailleurs, parmi les pays « bien notés, se trouvent ceux d’Amérique du nord, d’Europe, mais aussi l’Argentine, Brunei, Bahreïn, le Mexique et la Corée du Sud.
Le rapport de l’Unesco se fonde sur l’évolution de six objectifs définis en 2000 à Dakar, au Sénégal, pour atteindre l’éducation pour tous, dont l’enseignement primaire obligatoire et gratuit, l’augmentation de 50% du taux d’alphabétisation des adultes, la disparition de la disparité entre les sexes et l’amélioration, sous tous ses aspects, de l’éducation.
Le constat, amer, du ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique concernant la réforme du secteur de l’enseignement, vient d’être confirmé par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).
Dans le sixième rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous qu’elle vient de publier, l’organisation onusienne cite le Maroc parmi les pays qui ne sont pas en mesure d’atteindre les objectifs fixés pour 2015 en ce qui concerne l’enseignement pour tous.
La grande majorité des pays concernée par cette « mauvaise note » se situe en Afrique subsaharienne. S’y ajoutent aux côtés du royaume, le Bangladesh, l’Inde, le Népal, la Mauritanie et le Pakistan.
Selon, l’Unesco, bien que les budgets et le taux de scolarisation dans le monde aient augmenté, la médiocrité des services éducatifs, le coût élevé de l’éducation et le niveau toujours élevé de l’analphabétisme des adultes réduisent les chances de parvenir à l’éducation pour tous à l’horizon 2015.
Pour pallier au plus urgent, les États arabes, note l’Unesco, devront créer 450.000 nouveaux postes d’enseignants, principalement en Égypte, en Iraq, au Maroc et en Arabie saoudite.
Par ailleurs, parmi les pays « bien notés, se trouvent ceux d’Amérique du nord, d’Europe, mais aussi l’Argentine, Brunei, Bahreïn, le Mexique et la Corée du Sud.
Le rapport de l’Unesco se fonde sur l’évolution de six objectifs définis en 2000 à Dakar, au Sénégal, pour atteindre l’éducation pour tous, dont l’enseignement primaire obligatoire et gratuit, l’augmentation de 50% du taux d’alphabétisation des adultes, la disparition de la disparité entre les sexes et l’amélioration, sous tous ses aspects, de l’éducation.
Mohamed Zainabi
Mis en ligne le 11 décembre 2007
Mis en ligne le 11 décembre 2007
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