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Festival international du film du Caire

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  • #16
    Une petite mise a jour s'impose. je rappelle les propos de Mr Mabrouki d'El Watan... No comment... J'attends impatiement son article d'envoye speciale pour nous expliquer pourquoi ce cinema marocain sans qualite remporte le premier prix du cinema arabe...

    Les Marocains produisent, dit-on, beaucoup. Mais la quantité ne veut pas dire qualité.
    Festival du Caire

    Le long métrage d'Oulad Syad remporte le prix du meilleur film arabe

    Publié le : 08.12.2007 | 10h28

    Intervenant à cette occasion, le réalisateur marocain a indiqué que ce Prix est un honneur pour le cinéma marocain et reflète la dynamique qu'il connaît, ajoutant que les films marocains projetés lors de cette édition ont eu un franc succès auprès du public égyptien et des critiques du cinéma.

    Plusieurs films marocains ont remporté des prix importants dans des festivals cinématographiques internationaux, a-t-il rappelé, soulignant que ce succès est dû essentiellement au fonds d'aide à la production cinématographique, à la politique culturelle adoptée au Maroc et à la Haute sollicitude dont S.M. le Roi Mohammed VI entoure le secteur du cinéma.

    "En Attendant Pasolini", qui a représenté le Maroc à cette compétition aux côtés de "La Beauté éparpillée" de Lahcen Zinoun, raconte l'histoire de Thami, qui travaillait comme figurant dans les films étrangers tournés dans son village non loin de Ouarzazate. Il devient ami du réalisateur italien Pier Paolo Pasolini lors du tournage de son film "Oedipe Roi" en 1966.

    Quarante ans après, une équipe d'Italiens, arrive à Ouarzazate pour préparer le tournage d'un film sur la bible. Thami croit, et fait croire aux villageois, que son ami Pasolini est de retour à Ouarzazate. Tout le village se prépare à cet événement.

    "En attendant Pasolini" a été produit en 2007, sur un scénario de Youssef Fadel, et interprété, entre autres, par Mohamed Majd et Mohamed Bastaoui.

    Outre "En Attendant Pasolini" et "La Beauté éparpillée", 11 autres films représentant cinq pays arabes, à savoir l'Egypte, la Syrie, l'Algérie, le Liban et le Maroc.

    Les deux films ont été également en lice dans le cadre de la compétition officielle, qui a connu la participation de 19 long-métrages représentant des pays d'Europe, d'Amérique latine, d'Asie et du Monde arabe.

    Le festival international du film du Caire a rendu hommage, lors de cette édition, au 7e Art marocain à travers la projection de plusieurs films dont "Mémoire en détention" de Jilali Ferhati, "Juanita de Tanger" de Farida Belyazid, "Mille Mois" de Faouzi Bensaïdi, "La Symphonie marocaine" de Kamal Kamal et "Ici et là" de Mohamed Ismaïl.

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    • #17
      ayoub7

      a mon avis,les gens mures vont chercher l'information dans des des des journeaux de renomé et les journeaux de renomé abrite des gens mures qui ecrivent des sujets objective et si c'est subjective c'est logique,moi j'aurai attendu de ayoub7 une source plus digne.

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      • #18
        Le 31e Festival du film du Caire s’est achevé le soir du 7 décembre sans crise, sans problème.
        Le Caire. De notre envoyé spécial
        En beauté sans aucun doute, dans une grande cérémonie à l’Opéra House. Ce qui est frappant, c’est que ces cérémonies d’ouverture et de clôture qui soulèvent à chaque fois beaucoup de travail et d’énergie se passent bien et même très bien au Festival du Caire. Ce sont ici des moments politico-stratégiques d’une haute importance. Il faut faire mieux que l’autre. Car, au même moment au Caire se déroulait un énigmatique festival des médias arabes... Les Misris sont capables de tout inventer... Lors de la fête de clôture, Lakhdar Hamina a sauvé l’honneur en recevant la Pyramide d’or d’honneur. Lakhdar a fait un discours ferme sur la nécessité de préserver la liberté et l’identité du cinéma arabe et l’urgence d’aider ce cinéma sur toutes les formes, sans restrictions possibles. Car dans l’annonce des prix de la compétition des films arabes, les cinéastes algériens ont été oubliés. Les Egyptiens à peine mentionnés et la belle libanaise Nadine Labaki (Caramel) snobée, puisqu’elle a obtenu seulement qu’un accessit. Oublions ce chapitre peu glorieux pour le jury arabe, qui a primé en revanche un film marocain de Daoud Sayed sans aucun talent, flou, ennuyeux, bref pas grand chose. Le jury de la section internationale en revanche, a très bien travaillé en donnant la Pyramide d’or à l’excellent film français L’Ennemi Intime. Une superbe et crédible actrice russe Tatiana a fait un show sur la scène de l’Opéra House, en traçant des arabesques avec sa statuette, son prix d’interprétation féminine. En phase, en adéquation totale avec ce qui se passe au Pakistan aujourd’hui, In The Name of God, film pakistanais en compétition, a décroché la Pyramide d’argent. Un jeune musicien devient un militant radical de base, floué par un prédicateur islamiste aussi laid que borné. Son frère part faire des études à Chicago et se retrouve pris dans la vague anti-islam après le 11 septembre. Ce film, sans être un chef d’œuvre, fait part des préoccupations de la société civile pakistanaise. D’habitude, on n’entend que Musharaf, Buttho et compagnie. Ce film essaye de changer l’idée que l’on a sur le Pakistan. Comme Caramel de Nadine Labaki a totalement changé l’idée que les gens se font du Liban.
        Azzedine Mabrouki
        from the cradle to the grave.

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        • #19
          Oublions ce chapitre peu glorieux pour le jury arabe, qui a primé en revanche un film marocain de Daoud Sayed sans aucun talent, flou, ennuyeux, bref pas grand chose.
          vraiment ces marocains ils payent les jurys du festival du caire pour faire gagner un film marocain .
          pour le reste de l'article no comment.

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          • #20
            Oublions ce chapitre peu glorieux pour le jury arabe, qui a primé en revanche un film marocain de Daoud Sayed sans aucun talent, flou, ennuyeux, bref pas grand chose. Le jury de la section internationale en revanche, a très bien travaillé en donnant la Pyramide d’or à l’excellent film français L’Ennemi Intime.
            incroyable mais vrai.Des ''jouranalistes'' comme si Mabrouki existent.

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            • #21
              salam

              a qui croire??? au journaliste ou au jury...je doix voire le film et decider moi meme
              merci

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              • #22
                si le film gagnant est marocain il faut croire le jury si c'est pas le cas il faut croire les journalistes.
                c'est ca la logique des choses.nn mé serieux le film est extra du scenario jusqu'au generique.

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                • #23
                  Le mec persiste et signe, contre vents et marees, il connait za3ma mieux que le jury lol..

                  Alors apres le premier film marocain "enfantin", le deuxieme film marocain qui a fini par gagne le meilleur prix pour le cinema arabe, on a droit a "sans aucun talent, flou, ennuyeux, bref pas grand chose", le type n'est meme pas fichu de rapporter le nom du film gagnant

                  Ah la la le professionalisme...

                  et bien entendu, quand on lit avant, on comprend ce que le chauvinisme peut faire comme degat journalistique : "Car dans l’annonce des prix de la compétition des films arabes, les cinéastes algériens ont été oubliés."

                  No comment...

                  Le 31e Festival du film du Caire s’est achevé le soir du 7 décembre sans crise, sans problème.

                  Le Caire. De notre envoyé spécial

                  En beauté sans aucun doute, dans une grande cérémonie à l’Opéra House. Ce qui est frappant, c’est que ces cérémonies d’ouverture et de clôture qui soulèvent à chaque fois beaucoup de travail et d’énergie se passent bien et même très bien au Festival du Caire. Ce sont ici des moments politico-stratégiques d’une haute importance. Il faut faire mieux que l’autre. Car, au même moment au Caire se déroulait un énigmatique festival des médias arabes... Les Misris sont capables de tout inventer... Lors de la fête de clôture, Lakhdar Hamina a sauvé l’honneur en recevant la Pyramide d’or d’honneur. Lakhdar a fait un discours ferme sur la nécessité de préserver la liberté et l’identité du cinéma arabe et l’urgence d’aider ce cinéma sur toutes les formes, sans restrictions possibles. Car dans l’annonce des prix de la compétition des films arabes, les cinéastes algériens ont été oubliés. Les Egyptiens à peine mentionnés et la belle libanaise Nadine Labaki (Caramel) snobée, puisqu’elle a obtenu seulement qu’un accessit. Oublions ce chapitre peu glorieux pour le jury arabe, qui a primé en revanche un film marocain de Daoud Sayed sans aucun talent, flou, ennuyeux, bref pas grand chose. Le jury de la section internationale en revanche, a très bien travaillé en donnant la Pyramide d’or à l’excellent film français L’Ennemi Intime. Une superbe et crédible actrice russe Tatiana a fait un show sur la scène de l’Opéra House, en traçant des arabesques avec sa statuette, son prix d’interprétation féminine. En phase, en adéquation totale avec ce qui se passe au Pakistan aujourd’hui, In The Name of God, film pakistanais en compétition, a décroché la Pyramide d’argent. Un jeune musicien devient un militant radical de base, floué par un prédicateur islamiste aussi laid que borné. Son frère part faire des études à Chicago et se retrouve pris dans la vague anti-islam après le 11 septembre. Ce film, sans être un chef d’œuvre, fait part des préoccupations de la société civile pakistanaise. D’habitude, on n’entend que Musharaf, Buttho et compagnie. Ce film essaye de changer l’idée que l’on a sur le Pakistan. Comme Caramel de Nadine Labaki a totalement changé l’idée que les gens se font du Liban.

                  Azzedine Mabrouki

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