La presse algérienne est dans une mauvaise posture, dépassée qu’elle est par une réalité amère, celle d’un pays au bord du gouffre, dont les militaires étouffent le moindre souffle, et d’une population désoeuvrée, abandonnée à elle même, et manquant du minimum requis en termes de droits et dignité. Que fait elle alors? L’autruche! Au lieu de faire face et de jouer son rôle, elle préfère s’attaquer au Maroc, dépassant à chaque fois une limite et poussant le vil à son dernier retranchement.
Cette fois-ci, le bouchon a été poussé plus loin encore, à des niveaux de bassesse que les Marocains pensaient infranchissables, raison pour laquelle ils ont été scandalisés par le manque de respect manifeste de la chaîne de télévision algérienne Al-Shorouk, totalement pro-militaires, qui s’est attaquée aux symboles du Royaume, à leur tête le Roi Mohammed VI.
Dans son programme Weekend Story, la chaîne, financée par le régime algérien, et dans un acte totalement méprisable et anti-professionnel, a présenté le Souverain comme un personnage de dessin animé.
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Indignés par ce comportement pour le moins inqualifiable, des Marocains sont montés au créneau pour appeler à la rupture des relations avec le voisin de l’Est et à la convocation urgente de son ambassadeur à Rabat pour protester officiellement.
Les internautes marocains ont affirmé qu’au delà du lyrique, la chaine algérienne a fait dans l’impertinence et la médiocrité, faisant fi de toutes les valeurs de respect et de considération qui doivent prévaloir dans le travail journalistique professionnel.
Ils sont toutefois conscients que tous ces comportements vils émanent d’une rancoeur profonde, nourrie à l’infini par les dirigeants d’un pays qui peine à sortir la tête de l’eau dans tous les domaines, et meurtri de voir son voisin, qu’il traite (à tort) en ennemi, collectionner les victoires et susciter chaque jour davantage de respect à l’échelle internationale.
De la gifle de Gueguarat au coup de massue de la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara, en passant par les succès diplomatiques, ou encore le démarrage d’une campagne de vaccination nationale d’envergure, la dragée ne passe pas à Alger!
Et au lieu de jouer son rôle critique envers la politique de son pays, lui citer des exemples de pays qui avancent alors que le leur stagne, voire recule, la presse algérienne, dans toutes ses composantes, préfère donner dans les attaques et agressions verbales immorales, qui montrent à quel point le Maroc pose problème, fait envie et suscite la jalousie.
Si besoin était, les Marocains ont montré à quel point leur Roi est cher et leur pays est sacré. En uniformisant les photos de profil qui affichent désormais un portrait du Souverain, ils réaffirment que les symboles du pays sont intouchables et inébranlables, n’en déplaise aux esprits chagrins. Le hashtag #Notre roi est une ligne rouge (#ملكنا_خط_أحمر) envahit les réseaux sociaux et apporte la meilleure réponse qui soit à une presse aux ordres.
En fait, l’idée a été résumée sur Twitter par Talal Chakir, Professeur de sciences économiques et politiques, qui affirme : « Vos attaques contre le Maroc commencent à devenir ridicules et sont devenues très graves. Quant à votre presse, elle est honteuse et indigne de l’Algérie que je connais ».
« L’idée est débile. L’échange est gênant. Les faits sont faux. L’histoire est biaisée. Les chroniqueurs sont des flics du #FLN. L’humour est exécrable », ajoute-t-il.
Cette fois-ci, le bouchon a été poussé plus loin encore, à des niveaux de bassesse que les Marocains pensaient infranchissables, raison pour laquelle ils ont été scandalisés par le manque de respect manifeste de la chaîne de télévision algérienne Al-Shorouk, totalement pro-militaires, qui s’est attaquée aux symboles du Royaume, à leur tête le Roi Mohammed VI.
Dans son programme Weekend Story, la chaîne, financée par le régime algérien, et dans un acte totalement méprisable et anti-professionnel, a présenté le Souverain comme un personnage de dessin animé.
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Indignés par ce comportement pour le moins inqualifiable, des Marocains sont montés au créneau pour appeler à la rupture des relations avec le voisin de l’Est et à la convocation urgente de son ambassadeur à Rabat pour protester officiellement.
Les internautes marocains ont affirmé qu’au delà du lyrique, la chaine algérienne a fait dans l’impertinence et la médiocrité, faisant fi de toutes les valeurs de respect et de considération qui doivent prévaloir dans le travail journalistique professionnel.
Ils sont toutefois conscients que tous ces comportements vils émanent d’une rancoeur profonde, nourrie à l’infini par les dirigeants d’un pays qui peine à sortir la tête de l’eau dans tous les domaines, et meurtri de voir son voisin, qu’il traite (à tort) en ennemi, collectionner les victoires et susciter chaque jour davantage de respect à l’échelle internationale.
De la gifle de Gueguarat au coup de massue de la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara, en passant par les succès diplomatiques, ou encore le démarrage d’une campagne de vaccination nationale d’envergure, la dragée ne passe pas à Alger!
Et au lieu de jouer son rôle critique envers la politique de son pays, lui citer des exemples de pays qui avancent alors que le leur stagne, voire recule, la presse algérienne, dans toutes ses composantes, préfère donner dans les attaques et agressions verbales immorales, qui montrent à quel point le Maroc pose problème, fait envie et suscite la jalousie.
Si besoin était, les Marocains ont montré à quel point leur Roi est cher et leur pays est sacré. En uniformisant les photos de profil qui affichent désormais un portrait du Souverain, ils réaffirment que les symboles du pays sont intouchables et inébranlables, n’en déplaise aux esprits chagrins. Le hashtag #Notre roi est une ligne rouge (#ملكنا_خط_أحمر) envahit les réseaux sociaux et apporte la meilleure réponse qui soit à une presse aux ordres.
En fait, l’idée a été résumée sur Twitter par Talal Chakir, Professeur de sciences économiques et politiques, qui affirme : « Vos attaques contre le Maroc commencent à devenir ridicules et sont devenues très graves. Quant à votre presse, elle est honteuse et indigne de l’Algérie que je connais ».
« L’idée est débile. L’échange est gênant. Les faits sont faux. L’histoire est biaisée. Les chroniqueurs sont des flics du #FLN. L’humour est exécrable », ajoute-t-il.
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