Le Maroc veut acquérir le sous-marin russe, l’Amur 1650
Après le rétablissement de ses relations avec Israël, le royaume entend, dans le cadre de sa coopération militaire avec la Russie, acquérir l’Amur 1650.
La Russie a des intérêts importants au Maroc avec lequel il a noué plusieurs accords dans le domaine minier, militaire et des BTP. Le Maroc quant à lui, nourrit depuis huit ans, le vœu d’acquérir un sous-marin, seul engin militaire naval dont il ne dispose pas encore.
La société russe de vente d’armes Rosoboronexport s’est proposée de lui réaliser le sous-marin Amur 1650 qui, faut-il le préciser, n’est pas un sous-marin nucléaire. Le modèle Amur 1650 à concevoir pour le Maroc sera équipé d’un système de propulsion AIP (Air-Independent Propulsion) qui lui permet de rester plus longtemps sous l’eau.
Selon la fiche technique Rosoboron, l’Amur 1650 « est conçu pour la destruction de sous-marins, de navires de surface, de navires, d’objets terrestres et pour des travaux de reconnaissance ». La version AIP a une longueur de 83,3 mètres, un diamètre de 7,4 mètres, une profondeur d’immersion maximale de 400 mètres, une vitesse de 19 nœuds et une portée immergée de 2 000 miles à 5 nœuds, rappelle le journal El espanol.
De plus, il a une autonomie de 60 jours, 6 tubes de lancement, une capacité de stockage de 18 missiles, torpilles et mines et peut accueillir jusqu’à 38 membres d’équipage.
Le Maroc prévoit d’installer ce sous-marin sur sa base d’opérations à Ksar Sghir, ce qui lui permettra de surveiller, voire contrôler, le détroit de Gibraltar, et au-delà, l’Atlantique dans les eaux proches du Sahara, des îles Canaries et de la Méditerranée.
bladi
Après le rétablissement de ses relations avec Israël, le royaume entend, dans le cadre de sa coopération militaire avec la Russie, acquérir l’Amur 1650.
La Russie a des intérêts importants au Maroc avec lequel il a noué plusieurs accords dans le domaine minier, militaire et des BTP. Le Maroc quant à lui, nourrit depuis huit ans, le vœu d’acquérir un sous-marin, seul engin militaire naval dont il ne dispose pas encore.
La société russe de vente d’armes Rosoboronexport s’est proposée de lui réaliser le sous-marin Amur 1650 qui, faut-il le préciser, n’est pas un sous-marin nucléaire. Le modèle Amur 1650 à concevoir pour le Maroc sera équipé d’un système de propulsion AIP (Air-Independent Propulsion) qui lui permet de rester plus longtemps sous l’eau.
Selon la fiche technique Rosoboron, l’Amur 1650 « est conçu pour la destruction de sous-marins, de navires de surface, de navires, d’objets terrestres et pour des travaux de reconnaissance ». La version AIP a une longueur de 83,3 mètres, un diamètre de 7,4 mètres, une profondeur d’immersion maximale de 400 mètres, une vitesse de 19 nœuds et une portée immergée de 2 000 miles à 5 nœuds, rappelle le journal El espanol.
De plus, il a une autonomie de 60 jours, 6 tubes de lancement, une capacité de stockage de 18 missiles, torpilles et mines et peut accueillir jusqu’à 38 membres d’équipage.
Le Maroc prévoit d’installer ce sous-marin sur sa base d’opérations à Ksar Sghir, ce qui lui permettra de surveiller, voire contrôler, le détroit de Gibraltar, et au-delà, l’Atlantique dans les eaux proches du Sahara, des îles Canaries et de la Méditerranée.
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