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Israël reconnaît-il le Sahara marocain ?

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  • #16
    "aggresion "...6 gendarmes sans armes qui se positionne sur un rocher pour faire la traque au trafiquant...une aggresion

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    • #17
      Envoyé par Tiregwa Voir le message
      en politique, on peut s'exprimer avec plusieurs casquettes.



      Que Trump reconnaisse le Sahara c différent du fait que l'État américain le reconnaisse.

      Idem pour Netanyahu
      Si tu n'enleves pas la casquette de ton regime, tu continuera à nier la reconnaissance americaine et israelienne

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      • #18
        " aggresion "...6 gendarmes sans armes qui se positionne sur un rocher pour faire la traque au trafiquant...une aggresion"

        C'est faux! il s'agissait de douze (12) soldats des FARces et non des flics. De plus, pourquoi ces soldats avaient-ils planté un drapeau marocain sur cet ilot reconnu internationalement de propriété espagnol comme les présides de Ceuta et Melilla?

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        • #19
          Sources ?

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          • #20
            - Déjà tendues depuis la dénonciation par le Maroc d’un accord de pêche dont l’Espagne était le principal bénéficiaire, les relations entre Madrid et Rabat se sont encore détériorées avec l’occupation jeudi par le Maroc d’un îlot désertique d’une dizaine d’hectares situé au large de Tanger et dont l’Espagne affirme qu’il est sous sa souveraineté. Cet incident intervient au moment où Espagnols et Britanniques achèvent des négociations sur le statut de Gibraltar que revendique l’Espagne alors que Madrid a toujours refusé de négocier avec Rabat le sort des deux enclaves de Ceuta et de Melilla et celui de quelques îlots voisins.


            L’information a été communiquée tard dans la soirée de jeudi par l’agence de presse officielle marocaine. La MAP, qui citait «un haut responsable du ministère des Affaires étrangères», affirmait en effet que le Maroc avait décidé d’installer «un poste de surveillance» sur l’îlot Leila, aussi appelé île du Persil, situé à une quarantaine de kilomètres de la ville de Tanger, «à l’intérieur des eaux territoriales du royaume». Les autorités marocaines, qui communiquent rarement sur leurs activités, ont même justifié une telle initiative en l’inscrivant dans «le cadre d’une campagne de lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine dans la zone du détroit de Gibraltar». Une douzaine de soldats marocains, sous la direction d’un commandant, avaient en effet débarqué jeudi après-midi sur cet îlot désertique d’une superficie de 13,5 hectares et habité par quelques chèvres. Ils y avaient dressé deux tentes et planté deux drapeaux marocains.

            Dès jeudi soir, un bâtiment de la marine espagnole et une vedette de la guardia civil se sont approchés de l’îlot pour réclamer, en vain, le départ des militaires marocains. Sur le plan politique, le gouvernement de José Maria Aznar, dont les rapports avec les autorités marocaines sont tendus depuis plusieurs mois, a violemment condamné, vendredi matin, la présence de l’armée marocaine sur l’île du Persil et a exigé de Rabat de «prendre les mesures nécessaires pour un retour à la normale». Pour Madrid en effet, cette situation représente «une modification du statu quo actuel et ne correspond pas à la volonté de maintenir des relations amicales dans un esprit de coopération et de respect mutuel». Le nouveau chef de la diplomatie espagnole, Ana de Palacio, a par ailleurs vivement rejeté l’argument de Rabat sur la présence de soldats marocains sur l’île du Persil. «Qu’on m’explique en quoi la lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine a à voir avec l’installation d’une tente, d’un drapeau et de quelques membres de l’armée sur cet îlot», s’est-elle insurgée. Elle n’a d’ailleurs pas hésité à qualifier la situation d’«incident sérieux».

            Cette position espagnole est largement partagée par la Commission européenne pour qui la présence de militaires marocains sur l’île du Persil est une «violation de l’intégrité territoriale espagnole». Bruxelles estime en effet qu’il s’agit d’une «question de souveraineté avant toute chose» et affirme que le problème a atteint «un stade délicat». Mais si elle a condamné l’initiative marocaine, Bruxelles s’est en revanche bien gardée de s’impliquer directement dans un différend qu’elle considère comme bilatéral. «C’est clairement un incident regrettable, a ainsi déclaré un porte-parole de la Commission européenne, mais il doit être réglé bilatéralement entre Rabat et Madrid». Le Maroc, malgré les appels de Madrid à «un retour à la normale», a affirmé qu’il ne retirerait pas ses militaires de l’île du Persil.

            Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays.

            Une situation tendue depuis des mois

            L’occupation de l’île du Persil intervient une semaine après que le ministère marocain des Affaires étrangères a protesté auprès de Madrid à propos de la présence dans ses eaux territoriales de cinq navires de la marine espagnole. Rabat avait même convoqué l’ambassadeur espagnol qui avait justifié cette présence comme étant une simple excursion d’un groupe de jeunes lauréats de la marine espagnole. Les relations entre les deux pays n’ont cessé de se dégrader depuis notamment le rappel pour consultation, en octobre dernier, de l’ambassadeur du Maroc à Madrid. Officiellement Rabat entendait protester contre «l’accumulation de plusieurs incidents regrettables» et n’a depuis pas encore envoyé de représentant dans la capitale espagnole.

            Les litiges entre les deux pays sont nombreux et concernent notamment l’émigration clandestine vers l’Espagne, à partir des côtes marocaines. Madrid estime en effet que le Maroc ne fait pas grand chose pour endiguer le flot croissant des clandestins et ne punit pas assez les mafias marocaines à l’origine de ce trafic. Ils concernent également le non renouvellement de l’accord de pêche qui liait le Maroc à l’Europe jusqu’en novembre 1999 et dont les pêcheurs andalous étaient les principaux bénéficiaires. Rabat accuse de plus Madrid de favoriser les thèses indépendantistes du Front Polisasio qui dispute au Maroc la souveraineté sur le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole.

            Source RFI.

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            • #21
              En gras c'est la position espagnole pas celle de la communauté international
              Sinon face a combien de personne, l'Espagne a envoyer 28 commando des Forces spéciales, 6 helicoptere, un detachement d'avions de chasse, des fregates, des sous-marins et des vedettes ?

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              • #22
                " Sinon face a combien de personne, l'Espagne a envoyer 28 commando des Forces spéciales, 6 helicoptere, un detachement d'avions de chasse, des fregates, des sous-marins et des vedettes ?"

                Vous éludez le sujet relatif à l'agression relative des FARce d'un ilot reconnu internationalement espagnol comme les présides de Ceuta et Melilla.

                Pourquoi quelle raison, les FARces avaient-elles agressé l'Espagne par leur occupation de l'ilot à chèvres de Persil en juillet 2002?

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                • #23
                  Vous ne repondez pas a ma question car vous savez que la reponse va vous mettre en porte a faux avec vos dire precedent...

                  Encore une fois parler d'aggresion avec 6 gendarmes sur un rocher inhabiter pour faire de la surveillance de trafic, c'est tout simplement rigolo

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                  • #24
                    Bof!, venant d'un maroquin, la mauvaise foi est une règle générale!

                    - L’information a été communiquée tard dans la soirée de jeudi par l’agence de presse officielle marocaine. La MAP, qui citait «un haut responsable du ministère des Affaires étrangères», affirmait en effet que le Maroc avait décidé d’installer «un poste de surveillance» sur l’îlot Leila, aussi appelé île du Persil, situé à une quarantaine de kilomètres de la ville de Tanger, «à l’intérieur des eaux territoriales du royaume». Les autorités marocaines, qui communiquent rarement sur leurs activités, ont même justifié une telle initiative en l’inscrivant dans «le cadre d’une campagne de lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine dans la zone du détroit de Gibraltar».

                    Une douzaine de soldats marocains, sous la direction d’un commandant, avaient en effet débarqué jeudi après-midi sur cet îlot désertique d’une superficie de 13,5 hectares et habité par quelques chèvres. Ils y avaient dressé deux tentes et planté deux drapeaux marocains-.

                    Source RFI.

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                    • #25
                      Selon mon épouse de nationalité marocaine, la dictature marocaine avait voulu testé la réaction des USA avec son agression du territoire espagnol reconnu internationalement qu'est le rocher à chèvres de Persil.

                      En effet, il faut se rappeler qu'à cette époque, le Président américain BUSH père était au Maroc à l'occasion du mariage du narcotrafiquant et addictif à la coke M6 qui, dans un état comateux d'éthylisme, avait donné l'ordre aux FARces d'envahir le rocher espagnol.

                      Lire aussi la version espagnol de ce différend:

                      https://elpais.com/diario/2006/03/19...60_850215.html

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                      • #26
                        Quant aux arguments fallacieux de la dictature marocaine prônant que l'occupation par les FARces de l'ilot à chèvres espagnol de Persil avait pour but d'annihiler le trafic de drogue et l'immigration clandestine, il s'agit d'un mensonge digne d'un maroquin!:22:

                        - Pêche, immigration clandestine, trafic de drogue sont autant de dossiers sur lesquels Madrid – et l'Union Européenne – accusent leurs «partenaires» marocains de mauvaise volonté.

                        A Tétouan, la grande cité en bordure du massif du Rif, on reconnaît volontiers que là-haut, dans les montagnes, on se livre à la monoculture du kif (cannabis), destiné en priorité au marché européen. Elle expliquerait à elle seule le nombre de Mercedes au mètre carré au centre-ville. Mais comment faire autrement? «Les paysans du coin passeraient probablement à la tomate ou aux agrumes si l'Europe débloquait enfin les fonds promis depuis longtemps pour développer les cultures de substitution, dit un commerçant. Et puis chez nous, le kif, ce n'est pas illégal. Vous parlez d'un problème? Mais tout dépend de quel côté on l'aborde. Pareil pour l'immigration clandestine: la loi marocaine n'interdit pas à ses ressortissants de quitter le pays!»

                        Le Temps.ch

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                        • #27
                          encore une fois vaut mieux éviter de critiquer les services de sécurité des autres pays quand chez soit les troupes restent planquer dans leur caserne alors que le village voisin se fait massacré

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                          • #28
                            encore une fois vaut mieux éviter de critiquer les services de sécurité des autres pays quand chez soit les troupes restent planquer dans leur caserne alors que le village voisin se fait massacré
                            Des conflits réglés entre famille a l'amiable sans ingérence des voisins comme partout dans le monde, où est le mal ?
                            أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                            • #29
                              encore une fois vaut mieux éviter de critiquer les services de sécurité des autres pays quand chez soit les troupes restent planquer dans leur caserne alors que le village voisin se fait massacré
                              Espérons qu'après leur mésaventure de l'ile persil, les FAR ont compris pour de bon, qu'il est contre-indiquer de bomber le torse inutilement d'autant plus qu'ils n'ont pas les cojones pour ca.
                              ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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