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Journée sanglante au Sahel : des villageois maliens dénoncent une bavure de l'armée française contre des civils.

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  • #16
    Journée sanglante au Sahel : des villageois maliens dénoncent une bavure de l'armée française contre des civils.
    Ca sent le reglement de compte.
    Les maliens se fachent, les autres aussi.
    Il est temps de plier bagage avant l'enlisement total et demander des comptes à sarkosy et son ami BHL.

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    • #17
      je suppose que si on Quelqu'un exécutait Nicolas Sarkozy le jour de Noel pour ces crimes en lybie ......... tu l'applaudirais
      Non, je n'applaudirais pas vu que je suis contre la peine de mort.
      Par contre, je le verrais bien en prison...oeilfermé

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      • #18
        Envoyé par manneke
        Il serait pertinent de faire une enquête pour démêler le vrai du faux.
        La MINUSMA devrait etre diligenté pour cette. Mission d'enquête pour nous apporter des réponses.
        C'est ce que j'ai mentionné dans mon message n° 2.
        Des experts indépendants sur les lieux peuvent faire des prélèvements sur les projectiles utilisés (roquettes, éclats d'obus) afin de déterminer leur provenance sachant que l'armée française et les FAMa n'utilisent pas les mêmes munitions.
        Seul le gouvernement malien peut autoriser une enquête sur les lieux et si c'est un hélicoptère de ce pays qui a commis les faits, il refuseront d'accueillir des experts.
        Si ce serait une mesure de représaille suite à la morts de soldats français..
        Impossible que ce soit une mesure de représailles sachant que rien ne peut être caché aux médias et que cela va entrainer une enquête.

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        • #19
          Envoyé par AigleNoir
          Qui a dit que la nosra (daech) faisait du "bon boulot" en Syrie ?
          Ce n'est pas si simple que cela !
          Voici les propos exacts de Laurent Fabius :
          « En revanche, la décision des Etats-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, a été vivement critiquée par des soutiens de l’opposition. M. Fabius a ainsi estimé, mercredi, que tous les Arabes étaient vent debout contre la position américaine, “parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot”. “C’était très net, et le président de la coalition était aussi sur cette ligne”, a ajouté le ministre. »

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          • #20
            Envoyé par AigleNoir
            Il est temps de plier bagage
            Attendez que la vérité éclate au lieu de condamner par avance car il y a de fortes chances pour que ce soit un hélicoptère malien.
            Plier bagage, moi je dis chiche !
            L'opération peut être faite en un mois environ et ensuite je ne donne pas deux mois avant l'écroulement du Mali et l'entrée des rebelles à Bamako.
            Sans compter l'effet domino sur les pays voisins.
            A moins de demander aux Russes d'intervenir. Eux ne font pas dans la dentelle.
            Voir les bombardements en Syrie et la destruction totale de Grozny.
            Mais eux, personne n'osera les critiquer...

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            • #21
              Il est temps de plier bagage
              au contraire, faut qu'ils restent ,ils sécurisent nos frontières sud .
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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              • #22
                Envoyé par xenon
                au contraire, faut qu'ils restent ,ils sécurisent nos frontières sud.
                Seriez vous le seul à être à contre courant des autres participants du forum qui ne rêvent que du départ de la France uniquement par malveillance envers ce pays ?
                Peu leur importe la sécurité du Sahel et de vos frontières sud dont ils se moquent comme de leur première djellaba.

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                • #23
                  denoncer la betise d'une intervention contreproductive..

                  n'a rien a voir avec le nationalisme débile.
                  ont aide pas un pays en envoyant ces avions le bombarder, et ces soldats y mener des opérations" de maintiens de l'ordre", de "police" donc, contre la population..c'est contreproductif .. débile.
                  Sa n'as pas marché au Vietnam, a Suez, en Algérie , en Afghanistan, en Irak, en Libye , en Syrie ...pourquoi sa fonctionnerait au Sahel ???
                  Dernière modification par kaghemoussa, 06 janvier 2021, 23h33.
                  "tout a été dit , tout reste a penser"
                  Alain

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                  • #24
                    Pour moi la présence ou l'absence de la France dans cette région est juste un symptôme...Pour que ces massacres arrêtent il faut se poser une question: pourquoi il y a autant de ''failed states'' en Afrique? ces états non viables sont un poids pour leurs populations et pour le monde...est ce la faute de la population ou est ce la faute des interventions étrangères? ou est ce la faute de quelqu'un d'autre?

                    Commentaire


                    • #25
                      Envoyé par kaghemoussa
                      y mener des opérations" de maintiens de l'ordre", de "police" donc, contre la population.
                      Contre toute la population ou contre une partie de celle qui a pris les armes avec l'appui de jihadistes étrangers au pays.
                      Souvenez vous de la joie de la population de Gao et de Tombouctou lorsqu'ils ont été libérés de ces vilains barbus qui pendant leur présence, pendant presque un an, avaient appliqué la charia et même détruit les mausolées du soufisme.

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                      • #26
                        @Kaghemoussa a dit : Sa n'as pas marché au Vietnam, a Suez, en Algérie , en Afghanistan, en Irak, en Libye , en Syrie ...pourquoi sa fonctionnerait au Sahel ???

                        La France partira, tu as raison, ça va dans le sens de l'histoire.
                        Partir maintenant, ça aurait l'air d'une reddition en rase campagne, elle ne le peut. Elle va réduire progressivement ses effectifs, et dans quelques années "après nous le déluge".
                        Mais là alors ce sera je pense une autre histoire, un cauchemar mais en pire, avec califat à vos portes. Et vous en serez peut être réduit,tout simplement pour vous protéger, à faire ou à essayer de faire, militairement, ce que vous reprochez en ce moment, aux autres,.
                        Car il faut arrêter de parler "d'enjeux économiques" français, il y a environ 15.000 ressortissants français dans la région, et pas de richesses à piller dans les sous sols, comme on le dit trop souvent dans ce forum;
                        Alors l'Algérie devra prendre sa part. Comme disait l'autre : l'histoire bégaye.
                        Dernière modification par gdesmon, 06 janvier 2021, 18h28.

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                        • #27
                          pour rester dans les ...

                          citations .. il n'y a que quand ont ne retient pas les leçons de l'histoire qu'elle se répète inlassablement.
                          Justement il est peut etre temps de s'attaquer au vrai sources du probleme...et a ceux qui financent tout cela .. et a ceux qui les soutiennent car leurs interet convergent .
                          Ceux qui financent et qui servent leur poison ideologico-religieux c'est les pays du golfe pour garder une emprise sur les pays sunnites..ceux qui ont cru pouvoir se servir de se type de "contrôle" en leur faveurs.;c'est l'occident .

                          Dans un premier temps cela a fonctionné..l'URSS s'est écroulé...mais dans un second temps "la bête" leur a échappé et là il ne tente plus de la contrôlé mais juste de la contenir.. en croyant encore qu'ils pourront pousser au combats des millions de "gogos sunnites" contre le dernier ennemis de leur grand amis israel ..l'Iran
                          "tout a été dit , tout reste a penser"
                          Alain

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                          • #28
                            Petit rappel d'Histoire qui montre la complexité des conflits actuels où souvent "des djihadistes" sunnites aidés puis incontrôlables sèment le désordre.

                            En Syrie nous avons constaté les énormes enjeux comme par exemple le conflit entre Ankara et les kurdes ou Poutine avec ses bases navales ou sunnisme contre chiisme ou l'Israël contre l'Iran....


                            Pour le Mali, l'Algérie tient beaucoup à l'unité de ce pays:


                            Wikepedia:

                            " La rébellion touareg de 1963-1964, parfois appelée première rébellion touareg ou Alfellaga, est une insurrection des populations Touaregs, dans ce qui est maintenant le nord du Mali, commençant peu après l'indépendance de cette nation vis-à-vis de la France en 19601,2. Cette courte révolte n'a pu être réprimée qu'avec l'entrée dans le conflit du Maroc et de l'Algérie en 1963, qui ont déposé les 35 chefs de la rébellion, puis imposé une autorité militaire sur les régions touaregs3.

                            Beaucoup dans le nord peu peuplé et ethniquement distinct du Mali ainsi que dans le sud de l'Algérie et le nord du Niger s'attendaient à ce qu'une nation touareg, berbère et arabe indépendante soit formée par les régions désertiques du Sahara à la fin du colonialisme français. Les Touareg et d'autres groupes minoritaires n'étaient pas intégrés dans le nouveau gouvernement du Mali, et lorsque le gouvernement a commencé à promouvoir une loi de réforme agraire qui pourrait menacer les terres traditionnelles des tribus touareg, ils ont protesté. Ceci ajouté au mécontentement suscité par le nouveau gouvernement a conduit certains Touaregs du nord du Mali à se rebeller en 1963. La révolte concernait essentiellement la tribu des Ifoghas4......"


                            "Coup d'État au Mali : les inquiétudes d'Alger
                            Les troubles dans cette profondeur stratégique de l'Algérie que sont le Mali et sa région nord risquent de déstabiliser le « front » sud algérien. Par Adlène Meddi, à Alger
                            Publié le 20/08/2020 à 07:37 | Le Point.fr

                            " L'Algérie, pays « frère et voisin » du Mali, a dénoncé le coup d'État militaire contre le président Ibrahim Boubacar Keïta, exprimant, ce mercredi 19 août, son « ferme rejet » de tout changement anticonstitutionnel de gouvernement. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a aussi affirmé que la doctrine de l'Union africaine en matière de respect de l'ordre constitutionnel « ne peut faire l'objet d'aucune violation ».

                            L'Algérie, qui a dit suivre avec « une très grande préoccupation la situation prévalant au Mali, a appelé « toutes les parties au respect de l'ordre constitutionnel et au retour à la raison pour une sortie de crise rapide ». Elle a rappelé, à cet égard, que « seules les urnes constituent la voie pour l'accession au pouvoir et à la légitimité ».

                            Front extérieur

                            Alger avait condamné le coup d'État du 21 mars 2012 contre Amadou Toumani Touré en usant des mêmes termes. Mais, au-delà d'un attachement à la voie constitutionnelle, le voisin du nord s'inquiète de l'évolution de la situation dans un Mali si fragile.

                            Lors du coup d'État de 2012, qui a désorganisé une armée malienne déjà éprouvée sur le terrain, les groupes armés, notamment djihadistes, avaient saisi l'occasion pour s'installer dans le nord du pays et renforcer leur présence dans cette zone. Quand le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) proclame, en avril 2012, « l'indépendance » de l'Azawad, le groupe Ansar Dine d'Iyad Ag Ghali est au faîte de sa puissance.

                            « Sanctuarisé » pour les différents groupes armés, le nord du Mali, collé à la frontière sud-ouest algérienne, constituait, pour Alger qui mène une longue guerre contre l'islamisme armé, un nouveau front extérieur contre le terrorisme. Depuis près de trente ans, de nombreux chefs terroristes algériens y trouvent refuge, dont des vétérans du djihad, à l'instar de Mokhtar Belmokhtar ou encore d'Abou Zeid.

                            Dès ce mois d'avril 2012, lorsque le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) attaque le consulat algérien à Gao, l'Algérie se retrouve en plein centre des troubles. Le groupe kidnappe alors sept Algériens, dont le consul, qui décédera en captivité à la suite d'une maladie chronique, alors qu'un autre diplomate, Tahar Touati, sera exécuté par ses ravisseurs. Les autres otages pourront être libérés deux ans plus tard grâce aux services de renseignements extérieurs algériens (l'ex-DDSE).


                            Le traumatisme Tiguentourine

                            Et c'est aussi à partir de cette base arrière qu'est menée une des pires attaques terroristes contre l'Algérie ces dernières années. Le 16 janvier 2013, le complexe gazier de Tiguentourine, près de la frontière libyenne, subit un assaut mené par la nouvelle organisation de Belmokhtar, Les signataires par le sang, dont le convoi a démarré du nord du Mali, passant par la Libye, avant de fondre sur la base de vie et l'usine de Tiguentourine, prenant en otage des employés algériens et étrangers.

                            L'opération se termine par l'intervention de l'armée algérienne, qui évite la fuite des assaillants avec leurs otages vers leur zone de repli, au nord du Mali, et empêche aussi le projet terroriste de faire exploser le complexe gazier. Le bilan est lourd : 37 otages sont tués, dont un Algérien, et 29 terroristes sont éliminés.

                            Cette attaque extraterritoriale d'envergure, combinée aux troubles chez le voisin libyen, a amené les autorités algériennes à déployer des forces armées considérables tout au long des vastes frontières sud du pays et a profondément traumatisé les décideurs à Alger, conscients que les bourbiers nord malien et libyen ne s'arrêteraient pas aux frontières.

                            L'accord d'Alger en difficulté

                            Et ce danger reste d'actualité : le 9 février 2020, un attentat kamikaze à la voiture piégée fait un mort, un soldat, dans une caserne de l'armée algérienne à proximité des frontières avec le Mali dans la région de Timiaouine. L'assaillant serait venu du territoire malien.

                            En parallèle, Alger a pesé de tout son poids diplomatique – et aussi de par ses réseaux avec les différentes parties au nord du Mali – pour faire aboutir les négociations dans la capitale algérienne entre les autorités de Bamako et les « groupes » du nord Mali. C'est ainsi qu'est signé l'accord d'Alger en 2015 entre le gouvernement malien et l'ex-rébellion à dominante touareg. Mais cet accord qui cible la pacification du nord du Mali et le règlement politique des questions sécuritaires connaît des retards : cette semaine, l'ONU a directement accusé de hauts gradés de l'armée et du renseignement maliens de menacer et de retarder l'application de l'accord de paix d'Alger.

                            Comment assécher le maquis nord malien

                            L'activisme diplomatique d'Alger se double d'un autre axe plus discret qui a pour objectif d'assécher le maquis terroriste nord malien sans pour autant intervenir directement sur le terrain. En août 2018, par exemple, et loin du regard des médias, la ville saharienne algérienne d'Adrar (1 400 kilomètres au sud-est d'Alger) a accueilli des notables de onze tribus du nord du Mali afin de trouver un moyen de contrer la montée en puissance du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans fondé par Iyad Ag Ghali et fédérant plusieurs chefs et mouvements djihadistes. Les observateurs de la scène djihadiste ont également noté que, depuis 2017, le nombre de terroristes qui se rendent à l'armée algérienne avoisine la centaine : tous issus des katibas (phalanges) du nord du Mali, ils bénéficient des procédures des lois d'amnistie algériennes qui ont vidé les maquis du nord du pays depuis le début des années 2000.

                            « Nos hommes sur place maintiennent un contact permanent avec les proches et familles de ces éléments, qui finissent par être convaincus qu'ils n'ont plus d'issue, coincés qu'ils sont entre les opérations françaises et nos frontières hermétiques », nous expliquait, à l'été 2018, un officier du renseignement algérien. Ces redditions ont été aussi possibles grâce à un accord passé entre Alger, Paris et Bamako en ouvrant des « pistes sécurisées » et en permettant des « contacts directs » avec ceux qui veulent se rendre à partir du nord Mali.

                            Mais ces opérations discrètes et ces efforts diplomatiques n'ont pas pour autant calmé ce nouveau front de la guerre contre le terrorisme : avec l'instabilité chronique du Mali, le poids de plus en plus grandissant des groupes armés islamistes ou autres, la poudrière malienne reste un risque pour Alger. Même si la situation est différente par rapport à 2012, avec le déploiement de Barkhane et la présence de la Minusma onusienne, le ventre mou sahélien risque d'accoucher encore de périls terroristes menaçant toute la région. L'Algérie en premier."
                            Dernière modification par panshir, 06 janvier 2021, 22h30.

                            Commentaire


                            • #29
                              ce n'est pas parce que c'est dit par des "villageois" que c'est forcement une vérité, faudrait une enquête non partisane pour la trouver "la vérité" ( les guerre propre ça n'excite pas mais ce n'est pas une excuse a tous )
                              sur le terrain de plus en plus on vois la limite des 5000 soldats français, cette limite est du au faite que sur place , les armes locale sont complètement démunis, l'armée française était théoriquement un soutiens ...mais un soutiens a rien ça donne rien .. on vas pas dire qu'ils servent a grand chose, mais leur départ n'est pas souhaitable pour les pays concerné par la menace des djihadistes don fait parti l'Algérie ...
                              tu tombe je tombe car mane e mane
                              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                              Commentaire


                              • #30
                                @Kaghemoussa a dit : Justement il est peut etre temps de s'attaquer au vrai sources du probleme...et a ceux qui financent tout cela ..

                                Le financement on sait aussi d'où il vient : trafic de drogues, d'êtres humains, d'armes etc ...
                                La vrai source, c'est aussi une idéologie bien répandue en Islam qui le soutient : soutien actif des sunnites à l' arrivée des djiadistes en Irak, soutien des populations à Tombouctou, idéologies salafistes dans les pays musulmans et aussi en Europe et en France en particulier, où chaque mort d'un soldat français au Sahel est louée dans certaines banlieues comme une victoire sur l'Occident mécréant.

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